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Re: Une vie simple [PV Fyodor]
Lun 15 Aoû - 20:51
Une vie simple
feat Fyodor N. Addams
Il insiste beaucoup trop sur le "rien" pour réellement le croire... Mais je ne vais pas l'embêter tout de suite non plus au risque de le braquer. Il y a certaines personnes pudiques sur leur couple alors je ne vais pas faire ma chieuse tout de suite ! Après avoir tout nettoyé, je lui explique le programme de la journée et nous sortons pour nous diriger vers le métro mais avant cela, je lui tends ma cigarette pour lui proposer une taff. Je sais, ce n'est pas très sérieux mais faut bien qu'il se décoince un peu quand même !
Je laisse échapper un petit rire lorsque je remarque sa tête dégoûtée après qu'il ait tiré sur la clope ; j'avoue que j'ai fait la même gueule la première fois que j'ai essayé ! Après, j'ai eu la mauvaise idée de continuer et d'être finalement accro aujourd'hui... J'ose espérer qu'il ne fera pas la même erreur que moi. Je reprends ma clope après qu'il m'ait annoncé que ce n'était pas très bon -il pouvait carrément dire que c'était dégueu-. Je termine une dernière taff et écrase la clope par terre avant de descendre dans le métro et tendre un ticket à Fyodor.
Je laisse échapper un nouveau sourire, ah retour de Fyodor l'inspecteur ! Je sors mon ticket de métro et m'approche de la borne pour mettre le ticket dans la fente puis passer le tourniquet. Je me tourne ensuite vers Fyodor et lui explique où mettre le ticket et qu'il ne doit pas trop tarder pour passer le tourniquet. Je lui retiens la porte pour éviter qu'elle se bloque car allez savoir pourquoi, parfois elle ne s'ouvre plus et t'es coincée entre le tourniquet et la porte. Bref, je lui ferais la blague quand il aura l'habitude du métro.
Bon, je suis mauvaise longue car il y a des trucs à faire quand même... Mais pas forcément des trucs que j'aime. Certes, il peut rentrer dans les bars mais il sera obligé de prendre un soda ou de l'eau et pas se mettre une sacré race ; tout ce qui est Pigalle, on oublie hein. Parce qu'il y a des monuments pour tous les âges, des boutiques à voir... Mais j'avoue que depuis que je suis majeure et vaccinée, j'ai tendance à faire ce que je veux sans réfléchir. Je lui fais signe de me suivre dans les couloirs du métro.
De toute façon, c'était facile et rapide de se balader dans Paris. Un métro, quelques changements de stations et hop, on arrive à un nouveau monument ! La ville est trop grande mais le métro, c'est clairement un avantage !
J'ai encore beaucoup de mal à parler en terme de "nos"... C'est encore tout une gymnastique d'adapter mes phrases en fonction de ma nouvelle famille ! Je descends les escaliers et regarde le panneau qui indique que le prochain métro arrive dans 3 minutes.
C'est pas un reproche mais j'aimerai savoir sur quel pied danser, quelle limite à ne pas dépasser... Est-ce que je suis réellement sa sœur et donc j'ai un nouveau rôle à assumer ou est-ce que je suis juste là pour occuper ses journées. Je ne voudrais pas dépasser des limites... m'imposer en donnant mes ordres de grande sœur alors que ce n'est pas ma place dans sa vie. Et aussi parce que je ne sais pas si sa mère adoptive me laisserait réellement prendre place dans la vie de Fyodor.
Je laisse échapper un petit rire lorsque je remarque sa tête dégoûtée après qu'il ait tiré sur la clope ; j'avoue que j'ai fait la même gueule la première fois que j'ai essayé ! Après, j'ai eu la mauvaise idée de continuer et d'être finalement accro aujourd'hui... J'ose espérer qu'il ne fera pas la même erreur que moi. Je reprends ma clope après qu'il m'ait annoncé que ce n'était pas très bon -il pouvait carrément dire que c'était dégueu-. Je termine une dernière taff et écrase la clope par terre avant de descendre dans le métro et tendre un ticket à Fyodor.
F
Tu peux m'apprendre comment on prend le métro grande soeur ? La dernière fois on n'a pas utilisé de ticket... Donc je ne sais pas comment ça se passe avec ça. Oh, et y'a d'autres choses à savoir sur Paris ? Et il habite où grand frère ?Je laisse échapper un nouveau sourire, ah retour de Fyodor l'inspecteur ! Je sors mon ticket de métro et m'approche de la borne pour mettre le ticket dans la fente puis passer le tourniquet. Je me tourne ensuite vers Fyodor et lui explique où mettre le ticket et qu'il ne doit pas trop tarder pour passer le tourniquet. Je lui retiens la porte pour éviter qu'elle se bloque car allez savoir pourquoi, parfois elle ne s'ouvre plus et t'es coincée entre le tourniquet et la porte. Bref, je lui ferais la blague quand il aura l'habitude du métro.
D
Alors ouais, y'a des trucs sympas à voir... Mais y'a des trucs qui ne sont pas de ton âge. Et... 'tain mais en fait y'a rien à faire quand t'es mineur.Bon, je suis mauvaise longue car il y a des trucs à faire quand même... Mais pas forcément des trucs que j'aime. Certes, il peut rentrer dans les bars mais il sera obligé de prendre un soda ou de l'eau et pas se mettre une sacré race ; tout ce qui est Pigalle, on oublie hein. Parce qu'il y a des monuments pour tous les âges, des boutiques à voir... Mais j'avoue que depuis que je suis majeure et vaccinée, j'ai tendance à faire ce que je veux sans réfléchir. Je lui fais signe de me suivre dans les couloirs du métro.
D
T'as tous les monuments de Paris, y'a les Galeries Lafayette mais c'est pas pour les pauvres comme no... comme moi. Parfois près du Louvre y'a une fête foraine, on pourra voir si elle y est si tu veux !De toute façon, c'était facile et rapide de se balader dans Paris. Un métro, quelques changements de stations et hop, on arrive à un nouveau monument ! La ville est trop grande mais le métro, c'est clairement un avantage !
D
J'ai pas été dans l'appart' de Marius encore... J'ai été chez ses... pardon, nos grands-parents déjà. Tu sais, on se connait depuis peu lui et moi.J'ai encore beaucoup de mal à parler en terme de "nos"... C'est encore tout une gymnastique d'adapter mes phrases en fonction de ma nouvelle famille ! Je descends les escaliers et regarde le panneau qui indique que le prochain métro arrive dans 3 minutes.
D
Le prends pas mal c'que je vais te dire... Mais t'attends quoi de Marius et moi ?C'est pas un reproche mais j'aimerai savoir sur quel pied danser, quelle limite à ne pas dépasser... Est-ce que je suis réellement sa sœur et donc j'ai un nouveau rôle à assumer ou est-ce que je suis juste là pour occuper ses journées. Je ne voudrais pas dépasser des limites... m'imposer en donnant mes ordres de grande sœur alors que ce n'est pas ma place dans sa vie. Et aussi parce que je ne sais pas si sa mère adoptive me laisserait réellement prendre place dans la vie de Fyodor.
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Invité
Re: Une vie simple [PV Fyodor]
Mar 16 Aoû - 23:25
Une vie simple - ft. Grande soeur
Tu avais beau être parisien, tu ne connaissais rien à la ville, donc tu étais forcément très heureux que l'on te propose de visiter. Même le plus minime et inutile des monuments était très intéressant à tes yeux, car tu n'avais jamais eu l'occasion ni l'autorisation de te perdre dans Paris pour comprendre là où tu vivais. Tu souriais comme un idiot quand ta soeur t'expliquait le fonctionnement des portiques pour le métro, essayant de comprendre et de refaire la même chose. Même si c'était un geste simple, vraiment banal, tu avais vraiment l'impression d'avoir accompli quelque chose d'incroyable qui méritait des applaudissements. Tu baissais la tête, un peu penaud, à sa remarque.
« — Désolé... Mais je t'assure qu'on n'est pas obligés de faire des choses énormes, vraiment même se poser dans un parc me ferait plaisir, tant que je suis avec ma grande soeur ! »
Tu la suivais dans les couloirs du métro, regardant tout autour de toi. Tu n'étais jamais allé ici, donc forcément, tous tes sens étaient en alerte, c'était absolument nouveau pour toi. Tu hochais la tête aux paroles de la brune, les yeux pétillants à sa dernière phrase.
« — La fête foraine ?? Je n'ai jamais pu y aller ! C'est comment ? Mes parents m'ont toujours dit que c'était bien trop bruyant et sale... Mais j'ai toujours voulu y aller.. »
La musique, les couleurs, tu voulais y voir de tes propres yeux. Mais tu n'avais jamais pu. Tu soupirais un peu, restant toujours auprès de ta soeur, car étant dans un endroit inconnu, tu n'étais pas non plus trop à l'aise. Elle te rappelait qu'elle et ton aîné, Marius, ne se connaissaient pas non plus depuis longtemps. C'est vrai, tu avais oublié ce détail.
« — Ah oui... J'avais oublié que le schéma familiale était un peu compliqué... »
Cependant, tu fus surpris de la question de ton aînée. Tu fronçais les sourcils, tentant de comprendre pourquoi une telle question, et pourquoi maintenant. Tes yeux ambrés se posaient sur le sol tandis que tu essayais de formuler une réponse, chose difficile pour un garçon de quinze ans.
« — Ce que j'attends de vous ? Hmm... Je ne sais pas... Que vous me voyez comme un petit frère... Normal ? »
Ton visage prenait une mine plutôt triste alors que tu venais jouer avec tes mains. Le sujet était officieusement lancé, donc autant que tu parles.
« — Enfin... Normal dans le sens où vous ne voyez pas en moi un simple enfant de noble ? J'ai pas beaucoup d'amis à cause de ça, puis ma famille adoptive, hormis mes soeurs, n'est pas très tendre avec moi... J'ai un peu l'impression d'être un étranger partout où je suis. Donc j'espère qu'avec ma grande soeur et mon grand frère, ce sera... Différent ? »
Tu détournais le regard, déglutissant.
« — Parce que je suis vraiment content d'avoir retrouvé des membres de ma vraie famille, et j'espère que vous.. M'aimerez ? Que je ne serais pas trop "bizarre" à vos yeux.. ? »
« — Désolé... Mais je t'assure qu'on n'est pas obligés de faire des choses énormes, vraiment même se poser dans un parc me ferait plaisir, tant que je suis avec ma grande soeur ! »
Tu la suivais dans les couloirs du métro, regardant tout autour de toi. Tu n'étais jamais allé ici, donc forcément, tous tes sens étaient en alerte, c'était absolument nouveau pour toi. Tu hochais la tête aux paroles de la brune, les yeux pétillants à sa dernière phrase.
« — La fête foraine ?? Je n'ai jamais pu y aller ! C'est comment ? Mes parents m'ont toujours dit que c'était bien trop bruyant et sale... Mais j'ai toujours voulu y aller.. »
La musique, les couleurs, tu voulais y voir de tes propres yeux. Mais tu n'avais jamais pu. Tu soupirais un peu, restant toujours auprès de ta soeur, car étant dans un endroit inconnu, tu n'étais pas non plus trop à l'aise. Elle te rappelait qu'elle et ton aîné, Marius, ne se connaissaient pas non plus depuis longtemps. C'est vrai, tu avais oublié ce détail.
« — Ah oui... J'avais oublié que le schéma familiale était un peu compliqué... »
Cependant, tu fus surpris de la question de ton aînée. Tu fronçais les sourcils, tentant de comprendre pourquoi une telle question, et pourquoi maintenant. Tes yeux ambrés se posaient sur le sol tandis que tu essayais de formuler une réponse, chose difficile pour un garçon de quinze ans.
« — Ce que j'attends de vous ? Hmm... Je ne sais pas... Que vous me voyez comme un petit frère... Normal ? »
Ton visage prenait une mine plutôt triste alors que tu venais jouer avec tes mains. Le sujet était officieusement lancé, donc autant que tu parles.
« — Enfin... Normal dans le sens où vous ne voyez pas en moi un simple enfant de noble ? J'ai pas beaucoup d'amis à cause de ça, puis ma famille adoptive, hormis mes soeurs, n'est pas très tendre avec moi... J'ai un peu l'impression d'être un étranger partout où je suis. Donc j'espère qu'avec ma grande soeur et mon grand frère, ce sera... Différent ? »
Tu détournais le regard, déglutissant.
« — Parce que je suis vraiment content d'avoir retrouvé des membres de ma vraie famille, et j'espère que vous.. M'aimerez ? Que je ne serais pas trop "bizarre" à vos yeux.. ? »
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Re: Une vie simple [PV Fyodor]
Jeu 25 Aoû - 22:36
Une vie simple
feat Fyodor N. AddamsBon, le programme est totalement simple mais j'avoue ne pas avoir plus d'idées... Heureusement, ça semble plaire à Fyodor. Je laisse échapper un petit sourire ; c'est bizarre mais je suis totalement stressée à l'idée qu'il passe une mauvaise journée avec moi. Au final, peut-être qu'il préférerait être avec Marius ? Ou avec ses autres sœurs... Mais pas avec moi. Je laisse néanmoins échapper un sourire lorsqu'il m'annonce que même se poser lui irait ; j'espère qu'il me dit la vérité...
Je lève une nouvelle fois les yeux au ciel. Dis donc, ils sont grave coincés du cul ses parents... ! Il est jeune, ils pourraient le laisser s'amuser un peu... Je ne sais pas, c'est pas tous les jours qu'on est jeune et que l'on peut profiter de ce genre de trucs. C'est pas au moment où il aura de l'arthrose dans les mains qu'il faudra se réveiller et faire des trucs ! C'est le moment où jamais de s'amuser ! C'est décidé, je lui annonce qu'on ira faire un tour dans les attractions pour qu'il découvre par lui-même ce que ça fait !
Et puis finalement, je viens à poser une question concernant ses attentes. On n'a jamais été élevés ensemble alors je ne sais pas si je suis capable de me comporter en véritable grande sœur... Est-ce que je suis juste là pour le divertir avec ma vie de pauvre ou est-ce qu'il veut sincèrement nous connaître ? Tout comme pour Marius, je me demande si ce lien familial pourra perdurer dans le temps. C'est bizarre quand même de se découvrir une famille à 26 ans ! Il prit le temps de réfléchir à ma question avant de me répondre.
Je penche la tête sur le côté avec un petit sourire triste... Cette réponse me brise presque le cœur. J'aurais aimé qu'il soit heureux dans sa famille adoptive comme j'ai pu l'être avec les Price ; je me suis peut-être disputée avec ma sœur mais ce n'est pas pour autant que j'ai été malheureuse. Je suis contente qu'il ait voulu nous retrouver mais aussi jeune... La suite de sa phrase continue de tordre mon p'tit cœur. Je ne suis pas totalement dénuée de sentiment et ça me fait chier qu'il se sente aussi mal !
Bon, je ne sais pas si c'est réellement ce qu'il a envie d'entendre mais je n'ai pas envie qu'il se sente mal à cause du jugement des autres ; c'est un coup à ne plus vivre ! Je m'approche de lui pour passer mon bras autour de ses épaules et le rapprocher de moi pour lui ébouriffer les cheveux.
On ira faire un tour, on ira boire un café, visiter d'autres quartiers de Paris. Mais qu'il n'hésite pas à utiliser mon numéro si jamais il avait des problèmes ! Je pense que c'est tout de même sur la bonne voie pour que l'on commence à être une vraie famille ; et qui dit vraie famille, dit disputes, coups de gueule, rires aux éclats et autres secrets à confier. C'est juste un nouveau rythme de vie à prendre.
Je lève les yeux vers la station et vois la station "Palais Royal - Musée du Louvre" et lui fais signe de se lever pour que l'on descende rapidement du métro. Je lui indique donc de suivre les panneaux qui indiquent la sortie et nous nous retrouvons en quelques secondes dans la rue ; une fois dehors, je remarque un Starbucks et lui fais signe de me suivre. Il doit absolument goûter ces cafés et chocolats ultra sucrés ! Je le laisse donc choisir sa boisson et lui annonce ensuite qu'on se rapprocherait de la petite fête foraine.
Je lui fais un petit clin d'œil tandis que je paye les boissons, puis je me dirige au bout du comptoir dans l'attente de mes gobelets. Et puis une fois que l'on aura récupéré le tout, on marchera tranquillement vers la fête foraine -en espérant qu'elle y soit- pour voir quelles attractions pas trop chères on pourrait faire.
F
La fête foraine ?? Je n'ai jamais pu y aller ! C'est comment ? Mes parents m'ont toujours dit que c'était bien trop bruyant et sale... Mais j'ai toujours voulu y aller..Je lève une nouvelle fois les yeux au ciel. Dis donc, ils sont grave coincés du cul ses parents... ! Il est jeune, ils pourraient le laisser s'amuser un peu... Je ne sais pas, c'est pas tous les jours qu'on est jeune et que l'on peut profiter de ce genre de trucs. C'est pas au moment où il aura de l'arthrose dans les mains qu'il faudra se réveiller et faire des trucs ! C'est le moment où jamais de s'amuser ! C'est décidé, je lui annonce qu'on ira faire un tour dans les attractions pour qu'il découvre par lui-même ce que ça fait !
Et puis finalement, je viens à poser une question concernant ses attentes. On n'a jamais été élevés ensemble alors je ne sais pas si je suis capable de me comporter en véritable grande sœur... Est-ce que je suis juste là pour le divertir avec ma vie de pauvre ou est-ce qu'il veut sincèrement nous connaître ? Tout comme pour Marius, je me demande si ce lien familial pourra perdurer dans le temps. C'est bizarre quand même de se découvrir une famille à 26 ans ! Il prit le temps de réfléchir à ma question avant de me répondre.
F
Enfin... Normal dans le sens où vous ne voyez pas en moi un simple enfant de noble ? J'ai pas beaucoup d'amis à cause de ça, puis ma famille adoptive, hormis mes soeurs, n'est pas très tendre avec moi... J'ai un peu l'impression d'être un étranger partout où je suis. Donc j'espère qu'avec ma grande sœur et mon grand frère, ce sera... Différent ?Je penche la tête sur le côté avec un petit sourire triste... Cette réponse me brise presque le cœur. J'aurais aimé qu'il soit heureux dans sa famille adoptive comme j'ai pu l'être avec les Price ; je me suis peut-être disputée avec ma sœur mais ce n'est pas pour autant que j'ai été malheureuse. Je suis contente qu'il ait voulu nous retrouver mais aussi jeune... La suite de sa phrase continue de tordre mon p'tit cœur. Je ne suis pas totalement dénuée de sentiment et ça me fait chier qu'il se sente aussi mal !
D
Tu sais, je crois que tout le monde est un peu bizarre. Quand tu m'as vu la première fois, je suis certaine que tu t'es dit "wow, c'est quoi cette tenue !"... Moi quand j'ai vu Marius la première fois, j'ai eu envie de le tarter ! Et pourtant, on s'entend plutôt bien. Ce que je veux te dire par là Fyo c'est, ne change pas pour les autres. Les gens n'ont qu'à t'accepter comme tu es, sinon ils ont qu'à passer leur chemin !Bon, je ne sais pas si c'est réellement ce qu'il a envie d'entendre mais je n'ai pas envie qu'il se sente mal à cause du jugement des autres ; c'est un coup à ne plus vivre ! Je m'approche de lui pour passer mon bras autour de ses épaules et le rapprocher de moi pour lui ébouriffer les cheveux.
D
Dorénavant, tu peux compter sur nous avec Marius. Et puis, si ta famille adoptive te court sur le haricot, tu m'appelles et je déboule chez toi pour t'embarquer ailleurs !On ira faire un tour, on ira boire un café, visiter d'autres quartiers de Paris. Mais qu'il n'hésite pas à utiliser mon numéro si jamais il avait des problèmes ! Je pense que c'est tout de même sur la bonne voie pour que l'on commence à être une vraie famille ; et qui dit vraie famille, dit disputes, coups de gueule, rires aux éclats et autres secrets à confier. C'est juste un nouveau rythme de vie à prendre.
Je lève les yeux vers la station et vois la station "Palais Royal - Musée du Louvre" et lui fais signe de se lever pour que l'on descende rapidement du métro. Je lui indique donc de suivre les panneaux qui indiquent la sortie et nous nous retrouvons en quelques secondes dans la rue ; une fois dehors, je remarque un Starbucks et lui fais signe de me suivre. Il doit absolument goûter ces cafés et chocolats ultra sucrés ! Je le laisse donc choisir sa boisson et lui annonce ensuite qu'on se rapprocherait de la petite fête foraine.
D
Ca va ? C'est pas trop une torture de traîner avec ta sœur bizarre et gothique ahah.Je lui fais un petit clin d'œil tandis que je paye les boissons, puis je me dirige au bout du comptoir dans l'attente de mes gobelets. Et puis une fois que l'on aura récupéré le tout, on marchera tranquillement vers la fête foraine -en espérant qu'elle y soit- pour voir quelles attractions pas trop chères on pourrait faire.
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Re: Une vie simple [PV Fyodor]
Sam 27 Aoû - 11:41
Une vie simple - ft. Grande soeur
Tu avouais à ta soeur que l'on te voyait un peu bizarrement au quotidien. Comme si tu étais un alien venu d'un autre univers, incapable de se faire une place dans la société actuelle. Mais on ne peut pas dire que c'est ta faute : ton éducation t'a pratiquement coupée du monde, et tu tentes en vain de faire des efforts pour t'intégrer : parler comme les autres, t'habiller comme les autres. Mais quand tu fais "comme les autres", c'est juste encore plus étrange, car tu t'y prends mal. Le fait d'être vu comme un étranger aux yeux du monde te fait prendre peur sur la réaction et la vision que ta famille biologique aura sur ta personne. Tu ne veux pas qu'ils t'abandonnent ou te délaissent sous prétexte que tu es un petit frère bizarre, non, tu veux être proche de ta soeur et de ton frère, si longtemps que tu cherchais une famille biologique, tu ne veux pas la perdre une seconde fois.
Tu fus rassuré quand ta soeur te disait qu'elle aussi, on la trouvait bizarre. Tu ne trouves pas en quoi, tu adores son style vestimentaire, sa coiffure, et son langage. Cela la rend unique, tu aimes ta soeur ! Mais c'était peut être de famille que vous soyez vu comme des personnes un peu particulières, aucune idée, tu ne connais pas assez de membres de ta famille biologique pour en faire une conclusion précise. Tu secouais la tête aux paroles de ta soeur avant de reprendre :
« — Non ! Je t'ai trouvé très jolie au début, j'étais content d'être ton frère ! Comment vous vous êtes rencontrés, Marius et toi ? Comme moi, dans un bar avec des personnes bizarres ? »
Tu gardais le reste de ses mots en tête. Tu n'as pas à changer pour les autres ? Voilà un conseil que l'on ne t'avait jamais donné, pourtant, il te semblait assez important à entendre. Tu venais lâcher un léger rire quand elle parlait de ta famille adoptive. Au moins tu savais ce que tu avais à faire si cela devenait invivable chez toi. Tu la suivais quand elle indiquait que vous étiez arrivés à votre destination. Tu étais tout content quand tu avais découvert un nouveau lieu : Starbucks. Aucune idée de ce que c'est, mais tu vas vite le découvrir! Regardant la carte, tu n'avais absolument aucune idée de ce qu'étaient toutes ces boissons aux milles et une couleurs et appellations. Innocemment, tu venais montrer du doigt une boisson qui ressemblait à un chocolat chaud.
« — Du... Chocolat chaud ? S'il te plaît grande soeur ! »
Tu étais étonné quand on t'avait donné un gobelet, et pas un verre solide. Et vous pouviez marcher avec dehors ! Vraiment une grande découverte. Tu regardais ta soeur, penchant la tête à sa question avant de faire le plus grand de tes sourires.
« — Je suis vraiment heureux d'être avec toi grande soeur !! Je sors enfin avec ma vraie famille, dehors, et je découvre plein de choses, je suis vraiment content. »
Première fois que tu témoignais d'un aussi grand enthousiasme, mais disons que tu n'avais jamais eu la chance de visiter autant la ville, d'autant profiter de ton jeune âge. Approchant d'un grand espace avec plein de musiques et de lumières, tu venais tirer la manche de ta soeur.
« — C'est la fête foraine ?? C'est vraiment ça ?? On peut y aller ? Oh, je veux t'offrir une peluche ! On m'a dit qu'il y avait plein de peluche, je veux essayer d'en avoir !!! Je peux ? »
Tu fus rassuré quand ta soeur te disait qu'elle aussi, on la trouvait bizarre. Tu ne trouves pas en quoi, tu adores son style vestimentaire, sa coiffure, et son langage. Cela la rend unique, tu aimes ta soeur ! Mais c'était peut être de famille que vous soyez vu comme des personnes un peu particulières, aucune idée, tu ne connais pas assez de membres de ta famille biologique pour en faire une conclusion précise. Tu secouais la tête aux paroles de ta soeur avant de reprendre :
« — Non ! Je t'ai trouvé très jolie au début, j'étais content d'être ton frère ! Comment vous vous êtes rencontrés, Marius et toi ? Comme moi, dans un bar avec des personnes bizarres ? »
Tu gardais le reste de ses mots en tête. Tu n'as pas à changer pour les autres ? Voilà un conseil que l'on ne t'avait jamais donné, pourtant, il te semblait assez important à entendre. Tu venais lâcher un léger rire quand elle parlait de ta famille adoptive. Au moins tu savais ce que tu avais à faire si cela devenait invivable chez toi. Tu la suivais quand elle indiquait que vous étiez arrivés à votre destination. Tu étais tout content quand tu avais découvert un nouveau lieu : Starbucks. Aucune idée de ce que c'est, mais tu vas vite le découvrir! Regardant la carte, tu n'avais absolument aucune idée de ce qu'étaient toutes ces boissons aux milles et une couleurs et appellations. Innocemment, tu venais montrer du doigt une boisson qui ressemblait à un chocolat chaud.
« — Du... Chocolat chaud ? S'il te plaît grande soeur ! »
Tu étais étonné quand on t'avait donné un gobelet, et pas un verre solide. Et vous pouviez marcher avec dehors ! Vraiment une grande découverte. Tu regardais ta soeur, penchant la tête à sa question avant de faire le plus grand de tes sourires.
« — Je suis vraiment heureux d'être avec toi grande soeur !! Je sors enfin avec ma vraie famille, dehors, et je découvre plein de choses, je suis vraiment content. »
Première fois que tu témoignais d'un aussi grand enthousiasme, mais disons que tu n'avais jamais eu la chance de visiter autant la ville, d'autant profiter de ton jeune âge. Approchant d'un grand espace avec plein de musiques et de lumières, tu venais tirer la manche de ta soeur.
« — C'est la fête foraine ?? C'est vraiment ça ?? On peut y aller ? Oh, je veux t'offrir une peluche ! On m'a dit qu'il y avait plein de peluche, je veux essayer d'en avoir !!! Je peux ? »
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Re: Une vie simple [PV Fyodor]
Mer 31 Aoû - 19:50
Une vie simple
feat Fyodor N. AddamsJe laisse échapper un petit sourire lorsqu'il me dit m'avoir trouvé jolie au début et qu'il était content d'être mon frère ; je prends le temps de l'observer pour savoir si il se fou de moi ou pas... Mais il semble sincère. Je n'ai pas souvent eu de compliment dans ma vie alors c'est vrai que je me méfie facilement et rapidement lorsqu'on me fait des compliments. Et puis, j'hésite à être sincère moi aussi quand il me demande ma rencontre avec Marius... On ne peut pas dire que c'est vraiment très glorieux notre rencontre.
Autant qu'il sache qu'il est tombé sur une famille de cassos dès maintenant car la désillusion pourrait être grande si il le découvre que plus tard. Et puis, nous avancions jusqu'au Starbucks car je suppose que les richou ne boivent pas ce genre de boissons -et pourtant, c'est v'la chère !-. Je paye nos consommations et attends au bout du comptoir pour récupérer les gobelets et sortir à l'extérieur pour continuer de marcher tranquillement dans la rue. Et puis, je pose une nouvelle question dont, je dois l'avouer, je redoute la réponse.
Bon, encore une fois il semble réellement sincère alors je vais le croire... Même si une part de moi stress à l'idée de faire n'importe quoi et qu'il n'ose pas m'avouer que la journée est une véritable torture pour lui. Nous avancions donc dans les ruelles près de Louvre et j'entends déjà au loin quelques musiques et vibrations ; ah, je crois que je vais faire un heureux ! Et plus nous nous rapprochons et plus la musique est forte ! Fyodor me tire la manche pour attirer mon attention pour me demander si nous étions arriver à la fête et il insistait pour m'offrir une peluche.
Je n'ai pas envie de lui briser ses rêves mais je n'ai pas envie qu'il dépense une fortune pour tenter de gagner une peluche... Néanmoins, je préfère quand même lui laisser l'occasion d'essayer et lui fais signe de me suivre pour nous diriger vers les machines alignées les unes à côtés des autres. Ok, j'avoue que moi aussi, je tente toujours dans l'espoir de récupérer quelque chose ! Je regarde rapidement les différentes peluches et pointe du doigt un petit nounours avec un cœur entre ses mains.
Ok ok, les fêtes foraines, ça réveille toujours mon âme d'enfant... J'peux pas m'en empêcher ! Je pourrais passer des heures dans ce genre d'attrapes-touristes. Je lui propose de tenir son chocolat chaud pendant qu'il essaye de chopper la peluche à la machine ; histoire qu'il ne soit pas gêné. Néanmoins, je serais bien une mauvaise sœur si je ne cherchais pas un peu l'embêter ; alors je lui souffle légèrement dans les oreilles pour tenter de le déstabiliser, lâchant toujours des petits rires.
D
En taule. Je l'ai insulté et il a essayé de m'en coller une.Autant qu'il sache qu'il est tombé sur une famille de cassos dès maintenant car la désillusion pourrait être grande si il le découvre que plus tard. Et puis, nous avancions jusqu'au Starbucks car je suppose que les richou ne boivent pas ce genre de boissons -et pourtant, c'est v'la chère !-. Je paye nos consommations et attends au bout du comptoir pour récupérer les gobelets et sortir à l'extérieur pour continuer de marcher tranquillement dans la rue. Et puis, je pose une nouvelle question dont, je dois l'avouer, je redoute la réponse.
F
Je suis vraiment heureux d'être avec toi grande soeur !! Je sors enfin avec ma vraie famille, dehors, et je découvre plein de choses, je suis vraiment content.Bon, encore une fois il semble réellement sincère alors je vais le croire... Même si une part de moi stress à l'idée de faire n'importe quoi et qu'il n'ose pas m'avouer que la journée est une véritable torture pour lui. Nous avancions donc dans les ruelles près de Louvre et j'entends déjà au loin quelques musiques et vibrations ; ah, je crois que je vais faire un heureux ! Et plus nous nous rapprochons et plus la musique est forte ! Fyodor me tire la manche pour attirer mon attention pour me demander si nous étions arriver à la fête et il insistait pour m'offrir une peluche.
D
Oui mais... te force pas... Tu sais, ce genre de machine, c'est un piège à con... Tu vas perdre tes économies pour rien...Je n'ai pas envie de lui briser ses rêves mais je n'ai pas envie qu'il dépense une fortune pour tenter de gagner une peluche... Néanmoins, je préfère quand même lui laisser l'occasion d'essayer et lui fais signe de me suivre pour nous diriger vers les machines alignées les unes à côtés des autres. Ok, j'avoue que moi aussi, je tente toujours dans l'espoir de récupérer quelque chose ! Je regarde rapidement les différentes peluches et pointe du doigt un petit nounours avec un cœur entre ses mains.
D
Oh, oh !! Essaye d'avoir celui-là, il est trop chou !!Ok ok, les fêtes foraines, ça réveille toujours mon âme d'enfant... J'peux pas m'en empêcher ! Je pourrais passer des heures dans ce genre d'attrapes-touristes. Je lui propose de tenir son chocolat chaud pendant qu'il essaye de chopper la peluche à la machine ; histoire qu'il ne soit pas gêné. Néanmoins, je serais bien une mauvaise sœur si je ne cherchais pas un peu l'embêter ; alors je lui souffle légèrement dans les oreilles pour tenter de le déstabiliser, lâchant toujours des petits rires.
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Re: Une vie simple [PV Fyodor]
Ven 2 Sep - 1:40
Une vie simple - ft. Grande soeur
Tu n'aurais jamais pensé vivre ça un jour dans ta vie : une simple journée avec ta grande soeur. Pour certains ce serait une horreur, car tu as toujours entendu parler de l'amour étrange entre frères et sœurs, à se battre et se taper dessus par amour. Tu n'as jamais vécu ça, et tu étais même heureux de bien t'entendre avec ta sœur. Tu ne pouvais pas espérer mieux comme vie, après tout ce que tu avais vécu. Tu avais cependant penché la tête quand elle parlait de sa rencontre avec votre frère Marius. Ils avaient failli se battre en prison ? C'est étrange, mais ton âme curieuse voulait en savoir plus. Ils restaient ton frère et ta soeur, tu étais curieux ! Mais tu gardes cette curiosité pour plus tard, ce n'était peut être pas un bon souvenir pour ta soeur, vu tout ce que tu entendais sur les prisons... Tu ne veux pas la rendre triste en lui rappelant de mauvaises choses.
Passant sous silence cette partie là, ton attention fût vite happée par les machines avec des peluches dedans. Ta soeur t'avait dit que c'était un piège à mauvaises personnes, et que tu allais perdre tes économies. Tu secouais négativement ta tête, gardant ton sourire.
« — J'ai gardé des sous pour quand, un jour, je passerais une journée avec ma famille biologique si un jour je venais à la retrouver, et ce jour est arrivé ! Donc ne t'en fais pas grande soeur, je ne vais pas regretter !! »
Tu venais donner à ta soeur ton chocolat chaud, mettant une pièce dans la machine après que Danitza t'ait montré une peluche vraiment mignonne : celle du nounours tenant un coeur entre les pattes. Tu t'étais tonné l'objectif de l'obtenir, et tu l'obtiendras ! Te concentrant sur la machine, tu fronçais même doucement les sourcils, signe de ta concentration. Mais tu fus perturbé par ta grande soeur qui te soufflait dans les oreilles pour te déconcentrer. Tu essayais de ne pas perdre de vue la pince, souriant tout en lâchant quelques rires aussi comme ton aînée.
« — Grande soeur ! Je n'arrive pas à me concentrer haha ! »
Continuant de rire, tu fus surpris de voir une peluche rester accrochée à la pince qui s'approchait du trou en face de toi. Tes yeux étaient écarquillés tandis que la peluche tombait. Regardant ta soeur, tu te baissais pour récupérer la peluche, un énorme sourire sur le visage tandis que tu la montais en hauteur comme un trésor.
« — Grande soeur ! J'ai gagné grande soeur haha !! »
Tu souriais, regardant la peluche avant de la tendre vers ta soeur.
« — Prend là ! Comme ça tu penseras toujours à cette journée avec moi ! »
Tu t'accrochais au bras de ta soeur tout en continuant d'explorer la fête foraine. Il y avait beaucoup de bruit, beaucoup de lumières et surtout beaucoup de monde. Tu sentais bien que l'on te dévisageait, que l'on te regardait un peu mal, mais tu n'en avais rien à faire, tu profitais de ta famille, bien que vous vous étiez arrêtés face à une sorte de... Train, avec plusieurs wagons , qui tournaient à grande vitesse. Tu levais tes yeux ambrés vers ton aînées, intrigué.
« — On va faire ça, Dani' ? »
Passant sous silence cette partie là, ton attention fût vite happée par les machines avec des peluches dedans. Ta soeur t'avait dit que c'était un piège à mauvaises personnes, et que tu allais perdre tes économies. Tu secouais négativement ta tête, gardant ton sourire.
« — J'ai gardé des sous pour quand, un jour, je passerais une journée avec ma famille biologique si un jour je venais à la retrouver, et ce jour est arrivé ! Donc ne t'en fais pas grande soeur, je ne vais pas regretter !! »
Tu venais donner à ta soeur ton chocolat chaud, mettant une pièce dans la machine après que Danitza t'ait montré une peluche vraiment mignonne : celle du nounours tenant un coeur entre les pattes. Tu t'étais tonné l'objectif de l'obtenir, et tu l'obtiendras ! Te concentrant sur la machine, tu fronçais même doucement les sourcils, signe de ta concentration. Mais tu fus perturbé par ta grande soeur qui te soufflait dans les oreilles pour te déconcentrer. Tu essayais de ne pas perdre de vue la pince, souriant tout en lâchant quelques rires aussi comme ton aînée.
« — Grande soeur ! Je n'arrive pas à me concentrer haha ! »
Continuant de rire, tu fus surpris de voir une peluche rester accrochée à la pince qui s'approchait du trou en face de toi. Tes yeux étaient écarquillés tandis que la peluche tombait. Regardant ta soeur, tu te baissais pour récupérer la peluche, un énorme sourire sur le visage tandis que tu la montais en hauteur comme un trésor.
« — Grande soeur ! J'ai gagné grande soeur haha !! »
Tu souriais, regardant la peluche avant de la tendre vers ta soeur.
« — Prend là ! Comme ça tu penseras toujours à cette journée avec moi ! »
Tu t'accrochais au bras de ta soeur tout en continuant d'explorer la fête foraine. Il y avait beaucoup de bruit, beaucoup de lumières et surtout beaucoup de monde. Tu sentais bien que l'on te dévisageait, que l'on te regardait un peu mal, mais tu n'en avais rien à faire, tu profitais de ta famille, bien que vous vous étiez arrêtés face à une sorte de... Train, avec plusieurs wagons , qui tournaient à grande vitesse. Tu levais tes yeux ambrés vers ton aînées, intrigué.
« — On va faire ça, Dani' ? »
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Re: Une vie simple [PV Fyodor]
Mer 7 Sep - 21:32
Une vie simple
feat Fyodor N. AddamsJe vois bien que ça lui fait plaisir de dépenser ses sous dans des machines à la con ; j'avoue que je suis la première pigeonne à mettre mes petites pièces là-dedans. Mais je n'ai pas envie que ça lui réussisse facilement... Et puis être de la même famille que moi, ça veut dire qu'on accepte de se faire embêter. Alors je me place sur le côté et je souffle dans son oreille pour le déconcentrer mais bien au contraire, je remarque qu'une peluche reste attachée au bout de la pince.
Je m'arrête et je regarde dans le plus grand des silences la peluche qui est maintenue par la pince... Non mais, il va réussir ? La pince se dirige lentement vers le trou avant d'ouvrir et de lâcher la peluche. Il a réussi !! Je laisse échapper un grand sourire et le prends dans mes bras pour le féliciter de cet exploit ; il récupère la cadeau avant de me le tendre et m'annoncer que je devrais le garder. Je laisse échapper un sourire et lui ébouriffe les cheveux, le remerciant pour ce cadeau. Je la range aussitôt dans mon sac à dos pour ne pas la perdre dans les autres attractions.
Bras dessus, bras dessous, on continue d'avancer dans la fête foraine passant devant différents stands et attractions ; si j'avais le porte feuille plein, je les ferais toutes ! Mais actuellement, je suis trop occupée à compter le moindre centime. Et puis on s'arrête devant une attraction, une sorte de train avec plusieurs wagons et qui tourne à une grande vitesse. Je prends quelques secondes pour regarder avant de poser mes yeux sur Fyodor.
J'ai hâte de voir ça tiens ! Mais peut-être que son estomac va pouvoir tenir le coup... J'ai hâte de voir ça ! Je lui fais signe de se rendre dans la file d'attente ; heureusement, c'est une attraction qui va assez vite puisqu'il y a plusieurs wagons. Si bien qu'on attend seulement un tour avant de pouvoir monter ; je cours pour aller tout derrière, là où on pourra ressentir le plus de sensation. Ouais, je suis une habituée de ce genre de manège... Je les connais par cœur.
Tout le monde s'installe, les barres se baissent et le compte à rebours commence. Je ne cesse de sourire comme une enfant et lorsque le train se met en route, je lève aussitôt les bras et cris de toute mes forces pour laisser échapper le stress, les doutes et d'autres ressentis négatifs... C'est pour ça que j'aime les attractions, parce que je peux hurler comme une otarie ! Mais ce qui est relou, c'est que ça dure à peine 30 secondes...
Les barres se lèvent et nous descendons des wagons. Je lui fais signe d'aller vers le stand de tir... J'adore ce genre de trucs ! Je tends un billet et m'empare d'une carabine pour commencer à tirer sur les cannettes et les dégommer une à une. Et BAM, une ligne ! Le gars me propose différent lots à la con, des portes clé, des jeux de cartes, des miroirs de poche ou encore des bouteilles à bulle de savon. Je propose à Fyodor de choisir et lui tends ensuite la carabine pour qu'il tire à son tour.
Je m'arrête et je regarde dans le plus grand des silences la peluche qui est maintenue par la pince... Non mais, il va réussir ? La pince se dirige lentement vers le trou avant d'ouvrir et de lâcher la peluche. Il a réussi !! Je laisse échapper un grand sourire et le prends dans mes bras pour le féliciter de cet exploit ; il récupère la cadeau avant de me le tendre et m'annoncer que je devrais le garder. Je laisse échapper un sourire et lui ébouriffe les cheveux, le remerciant pour ce cadeau. Je la range aussitôt dans mon sac à dos pour ne pas la perdre dans les autres attractions.
Bras dessus, bras dessous, on continue d'avancer dans la fête foraine passant devant différents stands et attractions ; si j'avais le porte feuille plein, je les ferais toutes ! Mais actuellement, je suis trop occupée à compter le moindre centime. Et puis on s'arrête devant une attraction, une sorte de train avec plusieurs wagons et qui tourne à une grande vitesse. Je prends quelques secondes pour regarder avant de poser mes yeux sur Fyodor.
D
Genre tu veux faire ça ? Et sans m'vomir ton Strabucks ? Ok, chiche.J'ai hâte de voir ça tiens ! Mais peut-être que son estomac va pouvoir tenir le coup... J'ai hâte de voir ça ! Je lui fais signe de se rendre dans la file d'attente ; heureusement, c'est une attraction qui va assez vite puisqu'il y a plusieurs wagons. Si bien qu'on attend seulement un tour avant de pouvoir monter ; je cours pour aller tout derrière, là où on pourra ressentir le plus de sensation. Ouais, je suis une habituée de ce genre de manège... Je les connais par cœur.
Tout le monde s'installe, les barres se baissent et le compte à rebours commence. Je ne cesse de sourire comme une enfant et lorsque le train se met en route, je lève aussitôt les bras et cris de toute mes forces pour laisser échapper le stress, les doutes et d'autres ressentis négatifs... C'est pour ça que j'aime les attractions, parce que je peux hurler comme une otarie ! Mais ce qui est relou, c'est que ça dure à peine 30 secondes...
D
Alors, ton estomac tient le choc ?Les barres se lèvent et nous descendons des wagons. Je lui fais signe d'aller vers le stand de tir... J'adore ce genre de trucs ! Je tends un billet et m'empare d'une carabine pour commencer à tirer sur les cannettes et les dégommer une à une. Et BAM, une ligne ! Le gars me propose différent lots à la con, des portes clé, des jeux de cartes, des miroirs de poche ou encore des bouteilles à bulle de savon. Je propose à Fyodor de choisir et lui tends ensuite la carabine pour qu'il tire à son tour.
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Re: Une vie simple [PV Fyodor]
Mer 7 Sep - 23:21
Une vie simple - ft. Grande soeur
Tu n'avais clairement pas l'habitude de ces moments "familiaux". Disons que chez les Addams, le concept de moment en famille était flou et ne donnait pas envie; Les seules sorties que tu faisais avec tes parents adoptifs étaient des balades de santé dans des lieux privés, ou dans les jardins de leurs contacts riches. Mais se balader simplement dans Paris ? Aller au restaurant ? C'était compliqué, et tout était tourné autour du fait qu'ils étaient riches, et qu'il fallait, le montrer. Au restaurant ? Soit, mais il faut que ce soit un étoilé si ce n'est plus. Donc il est vrai que tu étais perturbé d'être avec ta soeur, à tenter d'avoir une peluche - sans doute de basse qualité - dans une machine à sous avec des pinces, mais tu appréciais grandement le moment, encore plus quand tu avais réussi à obtenir la fameuse peluche, l'offrant à ta soeur car cela te faisait plaisir de lui faire un cadeau. C'était le premier, mais ce n'était certainement pas le dernier.
Tu ne savais pas cela voulait dire quoi "chiche", mais il semblerait que ta soeur avait prit tes paroles comme un défi. Ne comprenant pas, tu te contentais de la suivre dans l'attraction. Et tu venais enfin comprendre pourquoi elle parlait de vomir. Cela tournait vite. Bien trop vite. Ta petite tête ne comprenait absolument rien à ce qu'elle vivait, mais voyant Danitza prendre du plaisir et de la joie à côté de toi, tu avais essayé de l'imiter, levant tes bras, mais tu avais pris peur de t'envoler, alors tu avais remis tes mains sur la barre en métal, la tenant fermement comme si ta vie en dépendait.
Sortant de l'attraction, tu sentais ta tête partir un peu dans tous les sens, et tout était flou, mais ça va, tu étais en vie. Quand ta soeur t'avait parlé, tu venais froncer les sourcils, avant de secouer ta tête, tapotant tes joues.
« —Je suis vivant on va dire ! »
Suivant toujours ta soeur, elle t'emmenait à un stand de ... Tir ?! Est-ce une chose légale d'avoir des armes sur une fête foraine ?! Fronçant les sourcils, tu regardais ta soeur tirer sur des canettes. C'était tourné comme un jeu, mais tes parents t'ont toujours dit que les armes, c'était pour les fous en Amérique. Est-ce vrai ? Apparemment non. L'homme signait à ton aîné qu'elle avait gagné des choses, et elle te laissait choisir. Penchant la tête, tu regardais ce que te montrait l'homme, avant de choisir un porte clé. Enfin, non, trois portes clés. tes biens obtenus, tu avais tenté de prendre la carabine dans tes mains, mais c'était lourd. Tes mains ont presque failli lâcher - étant de faible constitution- mais tu avais trouvé un certain équilibre, essayant de tirer. Bien sûr, tu n'avais pas réussi à faire tomber énormément de chose. Juste une misérable canette qui était tombée, et tu suspectais qu'elle soit tombée à cause du vent et même pas grâce à toi. Cet échec encaissé, vous continuiez votre visite, bien que tu avais commencé à bien trop regarder l'heure.
« — ... Grande soeur ? »
Tu soupirais longuement, voyant même un appel sur ton téléphone. Déglutissant, tu venais répondre. La voix de ta mère se faisait entendre, et on avait même pas besoin d'avoir son oreille sur ton téléphone pour l'entendre parler sèchement, froidement, avec une voix augmentée, comme si elle criait. Raccrochant, tu venais essuyer rapidement les larmes aux bords de tes yeux, venant prendre la main de ta soeur avec un sourire.
« — J'aimerais beaucoup passer la soirée avec toi ! Mais je crois que mes parents ne voudront pas... Mère m'a déjà fait la moral, je crois que je dois rentrer... Alors qu'il est tôt encore... »
Détournant le regard, alors que vous vous étiez éloignés de la fête foraine, vous vous rapprochiez de chez toi.
« — Ou- Si tu es d'accord grande soeur, je peux essayer de négocier avec Mère, pour ce soir ! »
Hm. Mauvaise idée. T'approchant de la porte de votre maison, c'était ta mère qui ouvrait la porte. Te recroquevillant sur toi-même, tu prenais ton courage à deux mains.
« — Mère, puis-je passer la soirée chez ma soeur ? Rien que cette fo-
— Hors de question. Tu as assez profité, je suppose. Tu as tes cours de violon à travailler, et le ménage dans ta chambre. »
Tu ne savais pas cela voulait dire quoi "chiche", mais il semblerait que ta soeur avait prit tes paroles comme un défi. Ne comprenant pas, tu te contentais de la suivre dans l'attraction. Et tu venais enfin comprendre pourquoi elle parlait de vomir. Cela tournait vite. Bien trop vite. Ta petite tête ne comprenait absolument rien à ce qu'elle vivait, mais voyant Danitza prendre du plaisir et de la joie à côté de toi, tu avais essayé de l'imiter, levant tes bras, mais tu avais pris peur de t'envoler, alors tu avais remis tes mains sur la barre en métal, la tenant fermement comme si ta vie en dépendait.
Sortant de l'attraction, tu sentais ta tête partir un peu dans tous les sens, et tout était flou, mais ça va, tu étais en vie. Quand ta soeur t'avait parlé, tu venais froncer les sourcils, avant de secouer ta tête, tapotant tes joues.
« —Je suis vivant on va dire ! »
Suivant toujours ta soeur, elle t'emmenait à un stand de ... Tir ?! Est-ce une chose légale d'avoir des armes sur une fête foraine ?! Fronçant les sourcils, tu regardais ta soeur tirer sur des canettes. C'était tourné comme un jeu, mais tes parents t'ont toujours dit que les armes, c'était pour les fous en Amérique. Est-ce vrai ? Apparemment non. L'homme signait à ton aîné qu'elle avait gagné des choses, et elle te laissait choisir. Penchant la tête, tu regardais ce que te montrait l'homme, avant de choisir un porte clé. Enfin, non, trois portes clés. tes biens obtenus, tu avais tenté de prendre la carabine dans tes mains, mais c'était lourd. Tes mains ont presque failli lâcher - étant de faible constitution- mais tu avais trouvé un certain équilibre, essayant de tirer. Bien sûr, tu n'avais pas réussi à faire tomber énormément de chose. Juste une misérable canette qui était tombée, et tu suspectais qu'elle soit tombée à cause du vent et même pas grâce à toi. Cet échec encaissé, vous continuiez votre visite, bien que tu avais commencé à bien trop regarder l'heure.
« — ... Grande soeur ? »
Tu soupirais longuement, voyant même un appel sur ton téléphone. Déglutissant, tu venais répondre. La voix de ta mère se faisait entendre, et on avait même pas besoin d'avoir son oreille sur ton téléphone pour l'entendre parler sèchement, froidement, avec une voix augmentée, comme si elle criait. Raccrochant, tu venais essuyer rapidement les larmes aux bords de tes yeux, venant prendre la main de ta soeur avec un sourire.
« — J'aimerais beaucoup passer la soirée avec toi ! Mais je crois que mes parents ne voudront pas... Mère m'a déjà fait la moral, je crois que je dois rentrer... Alors qu'il est tôt encore... »
Détournant le regard, alors que vous vous étiez éloignés de la fête foraine, vous vous rapprochiez de chez toi.
« — Ou- Si tu es d'accord grande soeur, je peux essayer de négocier avec Mère, pour ce soir ! »
Hm. Mauvaise idée. T'approchant de la porte de votre maison, c'était ta mère qui ouvrait la porte. Te recroquevillant sur toi-même, tu prenais ton courage à deux mains.
« — Mère, puis-je passer la soirée chez ma soeur ? Rien que cette fo-
— Hors de question. Tu as assez profité, je suppose. Tu as tes cours de violon à travailler, et le ménage dans ta chambre. »
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Re: Une vie simple [PV Fyodor]
Ven 9 Sep - 19:09
Une vie simple
feat Fyodor N. AddamsLes stands de tir, c'est ce que je préfère dans les fêtes foraines ; je ne sais pas pourquoi, ça me détend de tirer. Bon, par contre je ne ferais pas la maligne avec une vraie carabine et de vraies balles qui pourraient tuer des gens... Je sais que je suis une connasse mais pas au point de tuer quelqu'un. Suite à mes tirs, je laisse Fyodor choisir son cadeau -pas de très grande qualité mais c'est le geste qui compte, non ?- et lui donne ensuite l'arme.
Bon, j'ai peut-être été trop ambitieuse et j'aurais mieux fait de payer pour le pistolet... Donc, voyant qu'il galérait un peu avec l'arme trop lourde, je l'aidais un petit peu. Il réussit tout de même à faire tomber une canette et je lui tendis la main pour qu'il tape dedans ! Eh, c'était déjà mieux que rien ! Moi la première fois que j'ai tiré, j'ai complètement foiré. Nous continuâmes de faire le tour de la fête foraine mais au bout d'un moment, Fyodor me fait remarquer qu'il est déjà l'heure de rentrer.
Et puis, un appel. Sa mère adoptive ne manquait pas de hurler au téléphone qu'il était l'heure de rentrer... Je lève les yeux au ciel, toujours aussi aimable celle-là. Je remarque sa tête dépitée lorsqu'il raccroche au téléphone... Ca ne donne pas envie de rentrer. Mais bon, je n'ai pas vraiment le choix, aux dernières nouvelles, il vit encore chez eux. Alors, traînant des pieds tous les deux, on prend le chemin de sa maison ; j'aimerais vraiment qu'il reste à l'appart ce soir mais je sens que sa mère ne sera pas du tout ravi de cette proposition.
Je l'encourage tout de même à demander à sa mère... On sait jamais, peut-être que par chance, elle va finir par accepter ? J'en doute mais qui ne tente rien n'a rien. A peine avons-nous posé le pied devant la porte, qu'elle s'ouvre sur le démon de la maison. Fyodor ne se décourage pas et formule sa demande mais il n'a même pas le temps de la terminer qu'elle coupe court à la conversation... Annonçant qu'il avait ses cours de violent et un ménage qui l'attendait.
Ok, je n'ai pas pu m'empêcher d'ouvrir ma gueule. De toute façon, elle ne m'aime pas... alors autant que je l'ouvre. Elle peut peut-être se permettre de mal parler à Fyodor car il n'ose pas s'imposer mais elle ne fera pas la même chose avec moi ; je suis pas sa fille et je ne suis pas non plus un paillasson.
C'est évidemment faux... Mais elle ne sait pas ce qu'il va se passer dans mon appartement. Et même après ces propositions, elle n'accepte toujours pas qu'il passe la soirée à domicile. Vraiment une peau d'vache celle-là. Je ne sais même pas quel service de l'enfance à accepter qu'elle soit mère adoptive ; une vraie démone. Néanmoins, je sais reconnaître lorsque je perds une bataille alors je me contente de faire un bisou sur la joue de Fyodor et de lui souhaiter bonne chance.
Une fois la porte fermée, je lui envoie aussitôt un SMS avec l'adresse de mon appart -avec le code de la porte d'entrée- avec un "tu peux passer n'importe quand, même en pleine nuit". A savoir que si sa famille adoptive lui tape sur le système, il a un endroit où passer la nuit. Dépitée, je reprends le chemin de mon appartement ; j'ai passé une chouette journée mais j'aurais aimé que ça continue. Je l'aime bien ce gosse.
Bon, j'ai peut-être été trop ambitieuse et j'aurais mieux fait de payer pour le pistolet... Donc, voyant qu'il galérait un peu avec l'arme trop lourde, je l'aidais un petit peu. Il réussit tout de même à faire tomber une canette et je lui tendis la main pour qu'il tape dedans ! Eh, c'était déjà mieux que rien ! Moi la première fois que j'ai tiré, j'ai complètement foiré. Nous continuâmes de faire le tour de la fête foraine mais au bout d'un moment, Fyodor me fait remarquer qu'il est déjà l'heure de rentrer.
Et puis, un appel. Sa mère adoptive ne manquait pas de hurler au téléphone qu'il était l'heure de rentrer... Je lève les yeux au ciel, toujours aussi aimable celle-là. Je remarque sa tête dépitée lorsqu'il raccroche au téléphone... Ca ne donne pas envie de rentrer. Mais bon, je n'ai pas vraiment le choix, aux dernières nouvelles, il vit encore chez eux. Alors, traînant des pieds tous les deux, on prend le chemin de sa maison ; j'aimerais vraiment qu'il reste à l'appart ce soir mais je sens que sa mère ne sera pas du tout ravi de cette proposition.
Je l'encourage tout de même à demander à sa mère... On sait jamais, peut-être que par chance, elle va finir par accepter ? J'en doute mais qui ne tente rien n'a rien. A peine avons-nous posé le pied devant la porte, qu'elle s'ouvre sur le démon de la maison. Fyodor ne se décourage pas et formule sa demande mais il n'a même pas le temps de la terminer qu'elle coupe court à la conversation... Annonçant qu'il avait ses cours de violent et un ménage qui l'attendait.
D
Woaw, il fait rêver le programme de la soirée chez vous.Ok, je n'ai pas pu m'empêcher d'ouvrir ma gueule. De toute façon, elle ne m'aime pas... alors autant que je l'ouvre. Elle peut peut-être se permettre de mal parler à Fyodor car il n'ose pas s'imposer mais elle ne fera pas la même chose avec moi ; je suis pas sa fille et je ne suis pas non plus un paillasson.
D
Sérieux, je vous le rends demain en bon état... J'vous promets que je lui ferais manger des légumes, qu'on ne regardera rien de violent à télé et qu'il ira au lit à 21h30.C'est évidemment faux... Mais elle ne sait pas ce qu'il va se passer dans mon appartement. Et même après ces propositions, elle n'accepte toujours pas qu'il passe la soirée à domicile. Vraiment une peau d'vache celle-là. Je ne sais même pas quel service de l'enfance à accepter qu'elle soit mère adoptive ; une vraie démone. Néanmoins, je sais reconnaître lorsque je perds une bataille alors je me contente de faire un bisou sur la joue de Fyodor et de lui souhaiter bonne chance.
Une fois la porte fermée, je lui envoie aussitôt un SMS avec l'adresse de mon appart -avec le code de la porte d'entrée- avec un "tu peux passer n'importe quand, même en pleine nuit". A savoir que si sa famille adoptive lui tape sur le système, il a un endroit où passer la nuit. Dépitée, je reprends le chemin de mon appartement ; j'ai passé une chouette journée mais j'aurais aimé que ça continue. Je l'aime bien ce gosse.
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Invité
Re: Une vie simple [PV Fyodor]
Sam 10 Sep - 7:34
Une vie simple - ft. Grande soeur
Déçu de cette fin de journée ? Oui, totalement. Tu aurais vraiment aimé passer la soirée chez ta soeur, regarder un film avec elle ou juste parler jusqu'à tard. Mais voilà, tu avais eu le malheur d'être adopté par la pire famille du monde, enfin, à tes yeux tout du moins, car ta famille biologique, au niveau des parents, ne semblaient pas vraiment mieux finalement. Tu te retenais de pleurer quand ta soeur te fit un bisous sur la joue avant de partir dans le sens opposé. Soupirant, tu rentrais chez toi, subissant quelques remarques de ta mère sur ta soeur, sa façon de parler, de s'habiller, et tout et tout. Tu fis la sourde oreille, n'y prêtant pas attention : tu étais frustré de devoir jouer du violon et faire le ménage alors que tu voulais passer la soirée avec ta soeur... Et ses paroles te restaient à l'esprit.
Allant dans ta chambre pour sortir ton violon, tu restais bien une heure à tenter de comprendre ta partition, tenter de comprendre ce que voulait dame Addams... Sans succès. Tu ne voulais pas jouer, cela ne te servait à rien de te forcer. Tu te levais, déterminé, allumant le tourne-disque pour y mettre un vinyle avec des musiques au violon, histoire que ta mère pense que tu joues, tandis que tu venais préparer un petit sac avec le nécessaire : des vêtements de rechange, ta brosse, ton doudou (très important), du nécessaire de toilettes... Et tu venais mettre ton violon dans son étui pour le prendre avec toi. Tu sais que sous un coup de colère, ta mère pourrait le casser, et tu ne le souhaitais absolument pas. Prenant aussi deux trois photos, tu étais déterminé à partir, car tu ne voulais plus subir tout cela.
Heureusement pour toi, ta fenêtre de chambre n'était pas très haute, alors tu pouvais passer par la fenêtre sans réelles difficultés... Même si tu t'étais légèrement ramassé, ton genoux étant donc un peu blessé. Un peu con quand on est hémophile, mais heureusement pour toi, tu avais prévu des trucs pour ça dans ton petit sac. Sortant un tissu, tu faisais un garrot un peu maladroitement avant de courir en direction de chez ta soeur. Mais il faisait nuit, il devait être 21h30. Cela te faisait peur, c'est sûr, mais tu tentais d'être fort, essayant de te repérer malgré que tu ne connaissais rien à la ville... Et quand tu vis "Price" sur l'une des boites au lettre de l'immeuble en face de toi, tu fus rassuré. Faisant le code, tu avançais en trombe avec ton violon sur l'épaule et ton sac à dos... Pas sur ton dos. Tu le serrais contre toi, les larmes aux yeux car tu étais effrayé par ton geste. Toquant à la porte de ta soeur, tu reculais d'un pas, continuant à serrer ton sac contre toi, le genoux écorchés et l'air paniqué sur le visage. Tu allais t'attirer les foudres des Addams.
« — G-Grande soeur ? C'est Fyodor... »
Allant dans ta chambre pour sortir ton violon, tu restais bien une heure à tenter de comprendre ta partition, tenter de comprendre ce que voulait dame Addams... Sans succès. Tu ne voulais pas jouer, cela ne te servait à rien de te forcer. Tu te levais, déterminé, allumant le tourne-disque pour y mettre un vinyle avec des musiques au violon, histoire que ta mère pense que tu joues, tandis que tu venais préparer un petit sac avec le nécessaire : des vêtements de rechange, ta brosse, ton doudou (très important), du nécessaire de toilettes... Et tu venais mettre ton violon dans son étui pour le prendre avec toi. Tu sais que sous un coup de colère, ta mère pourrait le casser, et tu ne le souhaitais absolument pas. Prenant aussi deux trois photos, tu étais déterminé à partir, car tu ne voulais plus subir tout cela.
Heureusement pour toi, ta fenêtre de chambre n'était pas très haute, alors tu pouvais passer par la fenêtre sans réelles difficultés... Même si tu t'étais légèrement ramassé, ton genoux étant donc un peu blessé. Un peu con quand on est hémophile, mais heureusement pour toi, tu avais prévu des trucs pour ça dans ton petit sac. Sortant un tissu, tu faisais un garrot un peu maladroitement avant de courir en direction de chez ta soeur. Mais il faisait nuit, il devait être 21h30. Cela te faisait peur, c'est sûr, mais tu tentais d'être fort, essayant de te repérer malgré que tu ne connaissais rien à la ville... Et quand tu vis "Price" sur l'une des boites au lettre de l'immeuble en face de toi, tu fus rassuré. Faisant le code, tu avançais en trombe avec ton violon sur l'épaule et ton sac à dos... Pas sur ton dos. Tu le serrais contre toi, les larmes aux yeux car tu étais effrayé par ton geste. Toquant à la porte de ta soeur, tu reculais d'un pas, continuant à serrer ton sac contre toi, le genoux écorchés et l'air paniqué sur le visage. Tu allais t'attirer les foudres des Addams.
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