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[évent 3 ans] The beginning of the end [PV Konrad]
Jeu 21 Mar - 19:57
The beginning of the end
Feat Konrad Fridèn- Objection ! Dit-elle en tapant du poing sur la table.
Cela faisait une demi-heure qu'une bataille avait lieu dans cette salle d'audience. Cette affaire, Raphaëlle dessus depuis des mois et il était hors de question qu'elle perde face à ce petit avocat qui plaidait pour la première fois ; les amateurs, elle n'en faisait qu'une bouchée. Malheureusement, la brune n'était pas au sommet de sa forme depuis que Kathleen avait appris la vérité la concernant... Comme elle le craignait, leur couple ne tenait plus qu'à un fil et encore, ce dernier était certainement rompu. Alors, c'est pour cela qu'elle voulait gagner. Elle ne pouvait pas perdre son couple et son affaire en l'espace de quelques mois.
Bras croisés, la brune écoutait attentivement les faits de l'avocat qui essayait de présenter son client sous un meilleur jour. Elle se retenait de lever les yeux au ciel pour éviter un quelconque outrage mais elle n'en pensait pas moins ; son client s'était montré violent avec sa femme et les policiers qui étaient intervenus pour le séparer. Il était du devoir de Raphaëlle de protéger cette jeune femme qui risquerait d'être à nouveau battue si son conjoint n'était pas enfermé ; alors évidemment, l'avocat sortait toutes les cartes de l'enfance malheureuse et du traumatisme étant enfant... Mais la brune n'y croyait pas un seul instant.
- Désolé de vous interrompre mais il faut évacuer la salle.
La brune relevait la tête vers le groupe de policier qui venait d'entrer dans la salle d'audience ; pourquoi évacuer ? Elle ne tarda pas à apprendre la raison : Papillon avait lancé une nouvelle attaque et des animaux inoffensifs s'étaient transformés en quelque chose de plus féroces et attaquaient les passants. Alors non, il n'était pas question de repousser une fois de plus... Ils avaient attendu bien trop longtemps. Elle tapait une nouvelle fois du poing sur la table.
- Eh bien, je ne vois aucun animal dans cette salle d'audience. Nous pouvons certainement continuer le procès.
- Mais enfin Maître Despentes... C'est dangereux pour tout le monde !
- Ah bon ? Eh bien où se trouvent vos animaux sauvages ? Je ne vois pas l'ombre d'un poil ici !
Elle avait parlé trop vite. Contre toute attente, le prévenu commençait à se tortiller et tomber au sol comme en proie à une horrible douleur. Aucun arrêt cardiaque à l'horizon mais plutôt une sorte de métamorphose... Des poils lui poussèrent sur tout le corps, des griffes apparurent au bout des doigts et des crocs remplaçaient désormais ses dents. La brune reculait sous le coup de la surprise avant de regarder le groupe de policiers, comme pour les interroger du regard ; et puis sans avoir pu réagir, l'homme transformé en loup se jeta d'un seul coup sur Raphaëlle pour l'attaquer.
Cela faisait une demi-heure qu'une bataille avait lieu dans cette salle d'audience. Cette affaire, Raphaëlle dessus depuis des mois et il était hors de question qu'elle perde face à ce petit avocat qui plaidait pour la première fois ; les amateurs, elle n'en faisait qu'une bouchée. Malheureusement, la brune n'était pas au sommet de sa forme depuis que Kathleen avait appris la vérité la concernant... Comme elle le craignait, leur couple ne tenait plus qu'à un fil et encore, ce dernier était certainement rompu. Alors, c'est pour cela qu'elle voulait gagner. Elle ne pouvait pas perdre son couple et son affaire en l'espace de quelques mois.
Bras croisés, la brune écoutait attentivement les faits de l'avocat qui essayait de présenter son client sous un meilleur jour. Elle se retenait de lever les yeux au ciel pour éviter un quelconque outrage mais elle n'en pensait pas moins ; son client s'était montré violent avec sa femme et les policiers qui étaient intervenus pour le séparer. Il était du devoir de Raphaëlle de protéger cette jeune femme qui risquerait d'être à nouveau battue si son conjoint n'était pas enfermé ; alors évidemment, l'avocat sortait toutes les cartes de l'enfance malheureuse et du traumatisme étant enfant... Mais la brune n'y croyait pas un seul instant.
- Désolé de vous interrompre mais il faut évacuer la salle.
La brune relevait la tête vers le groupe de policier qui venait d'entrer dans la salle d'audience ; pourquoi évacuer ? Elle ne tarda pas à apprendre la raison : Papillon avait lancé une nouvelle attaque et des animaux inoffensifs s'étaient transformés en quelque chose de plus féroces et attaquaient les passants. Alors non, il n'était pas question de repousser une fois de plus... Ils avaient attendu bien trop longtemps. Elle tapait une nouvelle fois du poing sur la table.
- Eh bien, je ne vois aucun animal dans cette salle d'audience. Nous pouvons certainement continuer le procès.
- Mais enfin Maître Despentes... C'est dangereux pour tout le monde !
- Ah bon ? Eh bien où se trouvent vos animaux sauvages ? Je ne vois pas l'ombre d'un poil ici !
Elle avait parlé trop vite. Contre toute attente, le prévenu commençait à se tortiller et tomber au sol comme en proie à une horrible douleur. Aucun arrêt cardiaque à l'horizon mais plutôt une sorte de métamorphose... Des poils lui poussèrent sur tout le corps, des griffes apparurent au bout des doigts et des crocs remplaçaient désormais ses dents. La brune reculait sous le coup de la surprise avant de regarder le groupe de policiers, comme pour les interroger du regard ; et puis sans avoir pu réagir, l'homme transformé en loup se jeta d'un seul coup sur Raphaëlle pour l'attaquer.
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Konrad Fridèn
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Re: [évent 3 ans] The beginning of the end [PV Konrad]
Lun 1 Avr - 21:50
En tant que policier, j’’avais un peu le droit de me balader où bon me semblait, d’avant ils quand vos faites partie de la police criminelle. Je n’avais pas grand chose à faire ce jour là, je n’avais pas de mission particulière, des dossiers m’attendaient sur le bureau, mais rien d’’insurmontable. D’ailleurs, j’avais bien avancé dans la matinée, si bien que je m’étais accordé une pause. Pas une pause clope comme d’’habitude, je suis d’ailleurs surpris que je sois pas déjà après de Saint Pierre avec tout ce que je fume quand je stresse et Il sait très bien que je le suis souvent….
Non pour cette fois j’avais mis mon manteau et quitter le commissariat pour prendre l’air. Au programme : manger un bout et retour au boulot. J’avais pas spécialement envie de trainer au bureau ce soir, à tout les coups j’aurais eu ne visite nocturne de la morgue avec la chance que j’avais. Non, faudra bosser cet aprem ! Cependant, il me semble que affaire qu’on à eu sur les bras se réglait au tribunal aujourd’hui…. Et si j’allais voir ce mec qui avait frapper sa femme et moi au passage lors de l’intervention de la police ? Ça lui ferra les pieds et me donnera d baume au cour pour attaquer mes dossier. Rien de tel que voir les méchants sous les barreaux.
Au moment d’arriver au tribunal, j’entendais du grabuge dehors, mais je pensais que c’était juste un événement quelconque, n spectacle de rue. Sans plus qu’un simple regard derrière mon épaule je rentrais dans le bâtiment de justice. Je fouillais un peu pour trouver l’endroit où se tenait la séance qui m’intéressait et me dirigeais vers ladite salle d’audience.
A même moment, alors que je m’apprêtais à rentrer, un groupe de policier me passa devant, pressés par je ne sais quelle urgence, demandant d’évaser la salle. J’entendais au même moment un bruit sourd d’agitation provenant de dehors et en face de moi je reconnaissais la ravisante Maitre Despentes. Si tout cela n’était rien de grave, peut-être que j’aurais l’occasion de la saluer, mais je parlais trop vite et comprenais maintenant pourquoi il y avait tant d’agitation. L’accusé se transforma sous les yeux médusé du public et des agents de police en ne espèce de loup.
Sans vraiment réfléchir, j’accourais dans la salle, je ne sais pas encore ce que j’allais faire mais j’allais le faire. Voyant le loup bondir vers la charmante demoiselle et étant dans ma lancée pour les rejoindre, je ne me fis pas désiré pas longtemps et percuta le loup de mon épaule, l’envoyant valsé au pied du pupitre du juge qui avait commencé l’évacuation avec un policier. Maintenant mon pouvait prendre le temps de réfléchir. Les policiers étant remit de leur état de choc sortirent leurs taser et encerclèrent la créature. Je me retournais vers Raphaëlle pour lui adressé n léger sourire.
- Nos rencontres sont toujours trépidantes on dirais. C’est toujours un plaisir de te voir Raphaëlle.
Je sortais à mon tour mon taser et me rapprochais de la dame pour assurer sa sécurité. On dirait bien que cette journée allait se finir tard…
Non pour cette fois j’avais mis mon manteau et quitter le commissariat pour prendre l’air. Au programme : manger un bout et retour au boulot. J’avais pas spécialement envie de trainer au bureau ce soir, à tout les coups j’aurais eu ne visite nocturne de la morgue avec la chance que j’avais. Non, faudra bosser cet aprem ! Cependant, il me semble que affaire qu’on à eu sur les bras se réglait au tribunal aujourd’hui…. Et si j’allais voir ce mec qui avait frapper sa femme et moi au passage lors de l’intervention de la police ? Ça lui ferra les pieds et me donnera d baume au cour pour attaquer mes dossier. Rien de tel que voir les méchants sous les barreaux.
Au moment d’arriver au tribunal, j’entendais du grabuge dehors, mais je pensais que c’était juste un événement quelconque, n spectacle de rue. Sans plus qu’un simple regard derrière mon épaule je rentrais dans le bâtiment de justice. Je fouillais un peu pour trouver l’endroit où se tenait la séance qui m’intéressait et me dirigeais vers ladite salle d’audience.
A même moment, alors que je m’apprêtais à rentrer, un groupe de policier me passa devant, pressés par je ne sais quelle urgence, demandant d’évaser la salle. J’entendais au même moment un bruit sourd d’agitation provenant de dehors et en face de moi je reconnaissais la ravisante Maitre Despentes. Si tout cela n’était rien de grave, peut-être que j’aurais l’occasion de la saluer, mais je parlais trop vite et comprenais maintenant pourquoi il y avait tant d’agitation. L’accusé se transforma sous les yeux médusé du public et des agents de police en ne espèce de loup.
Sans vraiment réfléchir, j’accourais dans la salle, je ne sais pas encore ce que j’allais faire mais j’allais le faire. Voyant le loup bondir vers la charmante demoiselle et étant dans ma lancée pour les rejoindre, je ne me fis pas désiré pas longtemps et percuta le loup de mon épaule, l’envoyant valsé au pied du pupitre du juge qui avait commencé l’évacuation avec un policier. Maintenant mon pouvait prendre le temps de réfléchir. Les policiers étant remit de leur état de choc sortirent leurs taser et encerclèrent la créature. Je me retournais vers Raphaëlle pour lui adressé n léger sourire.
- Nos rencontres sont toujours trépidantes on dirais. C’est toujours un plaisir de te voir Raphaëlle.
Je sortais à mon tour mon taser et me rapprochais de la dame pour assurer sa sécurité. On dirait bien que cette journée allait se finir tard…
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Invité
Re: [évent 3 ans] The beginning of the end [PV Konrad]
Dim 7 Avr - 15:31
The beginning of the end
Feat Konrad FridènUne nouvelle fois, Raphaëlle ne se rendait pas compte du danger imminent ; il s'agissait du premier procès de la journée et celle-ci était bien loin d'être terminée ! La brune ne comprenait pas pourquoi il y avait des animaux sauvages dans la capitale et en quoi la salle de procès était concernée ? Après tout, ils n'avaient qu'à bien verrouiller les portes d'entrée et personne ne serait dérangé ! Une nouvelle fois, elle avait parlé trop vite...
Sous les yeux ébahis de toute la salle, le prévenu commençait à se métamorphoser... et pas en homme de bien malheureusement. Sans raison, il commençait à se transformer en loup, faisant apparaître ses longs poils gris ainsi que des griffes acérés et ses crocs pointus ; sans perdre un instant, il s'élança vers Raphaëlle qui ne comprit pas tout de suite ce qu'il se passait en plus d'être paralysée par la peur. Comme tombé du ciel, un homme s'interposa entre le Procureur et l'animal.
- Nos rencontres sont toujours trépidantes on dirais. C’est toujours un plaisir de te voir Raphaëlle.
Le loup tomba contre le pupitre du juge et Raphaëlle pu reconnaître sans trop de soucis la voix de la personne qui lui avait sauvé la vie... Encore. Elle laissait échapper un petit sourire en voyant l'agent Fridèn devant elle. Il faut dire que c'est le premier à l'avoir reconnu sans trop de soucis en plus de se montrer fort sympathique lors de leur première rencontre... Depuis, ils s'étaient revus plusieurs fois pour faire quelques courses de moto, parler, se raconter leur misérable vie et relativiser ensemble.
- Pourquoi faut-il toujours que tu me sauves la vie ?
Jouer les demoiselles en détresse ne lui faisait pas réellement plaisir mais tout de même, Raphaëlle était heureuse de ne pas avoir été lacérée en mille morceaux par l'animal. Les spectateurs de l'audience ne perdirent pas de temps pour sortir en catastrophe de la salle... Evacuer dans le calme qu'ils avaient dit. La brune regardait l'animal qui revenait à lui et qui montrait ses crocs, grognait pour intimider les policiers ; elle aurait aimé avoir quelque chose pour se défendre les Procureurs n'avaient le droit de porter les armes.
- Papillon...
Qui d'autre après tout ? Et qu'est-ce qu'ils pouvaient faire en attendant que les héros interviennent ? Rien. Comme d'habitude. Son sang ne fit qu'un tour quand, dans la panique générale, elle entendit une enfant pleurer et demander sa mère ; sortant de la salle d'audience, Raphaëlle remarquait une petite fille qui se faisait bousculer par une foule qui ne faisait pas attention à elle ! Ni une ni deux, la brune fonça tête baissée pour prendre l'enfant dans les bras et l'éloigner du couloir du Tribunal.
- Je vais t'aider à retrouver ta maman, ne t'inquiète pas !
La brune retournait dans la salle d'audience qui, à côté du couloir, était plus calme. Elle regardait l'heure sur sa montre... 10h30. Où pouvait bien être Kathleen à cet instant ? Car même si elles ne se parlaient plus -et allaient certainement divorcer dans les prochains mois- Raphaëlle ne pouvait pas s'empêcher de penser à celle qui avait partagé sa vie pendant quelques années. La connaissant, elle serait capable de faire de la boxe avec un animal en furie. Le Procureur espérait qu'elle ne prenne pas de risques inconsidérés...
- Agent Fridèn, nous devrions essayer d'évacuer les personnes restantes et calmer les autres... C'est la panique dehors !
Oui bon... C'était la première quelques minutes à ne pas vouloir évacuer mais elle se rendait bien compte que la situation avait complètement dégénérée ; cependant, comment faire en sorte de calmer tout un tribunal pour retrouver du calme ? Elle regardait Konrad, il était sûrement habitué à rétablir l'ordre. Pouvait-elle l'aider d'une quelconque manière, même si elle avait l'enfant dans les bras.
- Dîtes-moi ce que je pourrais faire pour aider.
Sous les yeux ébahis de toute la salle, le prévenu commençait à se métamorphoser... et pas en homme de bien malheureusement. Sans raison, il commençait à se transformer en loup, faisant apparaître ses longs poils gris ainsi que des griffes acérés et ses crocs pointus ; sans perdre un instant, il s'élança vers Raphaëlle qui ne comprit pas tout de suite ce qu'il se passait en plus d'être paralysée par la peur. Comme tombé du ciel, un homme s'interposa entre le Procureur et l'animal.
- Nos rencontres sont toujours trépidantes on dirais. C’est toujours un plaisir de te voir Raphaëlle.
Le loup tomba contre le pupitre du juge et Raphaëlle pu reconnaître sans trop de soucis la voix de la personne qui lui avait sauvé la vie... Encore. Elle laissait échapper un petit sourire en voyant l'agent Fridèn devant elle. Il faut dire que c'est le premier à l'avoir reconnu sans trop de soucis en plus de se montrer fort sympathique lors de leur première rencontre... Depuis, ils s'étaient revus plusieurs fois pour faire quelques courses de moto, parler, se raconter leur misérable vie et relativiser ensemble.
- Pourquoi faut-il toujours que tu me sauves la vie ?
Jouer les demoiselles en détresse ne lui faisait pas réellement plaisir mais tout de même, Raphaëlle était heureuse de ne pas avoir été lacérée en mille morceaux par l'animal. Les spectateurs de l'audience ne perdirent pas de temps pour sortir en catastrophe de la salle... Evacuer dans le calme qu'ils avaient dit. La brune regardait l'animal qui revenait à lui et qui montrait ses crocs, grognait pour intimider les policiers ; elle aurait aimé avoir quelque chose pour se défendre les Procureurs n'avaient le droit de porter les armes.
- Papillon...
Qui d'autre après tout ? Et qu'est-ce qu'ils pouvaient faire en attendant que les héros interviennent ? Rien. Comme d'habitude. Son sang ne fit qu'un tour quand, dans la panique générale, elle entendit une enfant pleurer et demander sa mère ; sortant de la salle d'audience, Raphaëlle remarquait une petite fille qui se faisait bousculer par une foule qui ne faisait pas attention à elle ! Ni une ni deux, la brune fonça tête baissée pour prendre l'enfant dans les bras et l'éloigner du couloir du Tribunal.
- Je vais t'aider à retrouver ta maman, ne t'inquiète pas !
La brune retournait dans la salle d'audience qui, à côté du couloir, était plus calme. Elle regardait l'heure sur sa montre... 10h30. Où pouvait bien être Kathleen à cet instant ? Car même si elles ne se parlaient plus -et allaient certainement divorcer dans les prochains mois- Raphaëlle ne pouvait pas s'empêcher de penser à celle qui avait partagé sa vie pendant quelques années. La connaissant, elle serait capable de faire de la boxe avec un animal en furie. Le Procureur espérait qu'elle ne prenne pas de risques inconsidérés...
- Agent Fridèn, nous devrions essayer d'évacuer les personnes restantes et calmer les autres... C'est la panique dehors !
Oui bon... C'était la première quelques minutes à ne pas vouloir évacuer mais elle se rendait bien compte que la situation avait complètement dégénérée ; cependant, comment faire en sorte de calmer tout un tribunal pour retrouver du calme ? Elle regardait Konrad, il était sûrement habitué à rétablir l'ordre. Pouvait-elle l'aider d'une quelconque manière, même si elle avait l'enfant dans les bras.
- Dîtes-moi ce que je pourrais faire pour aider.
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Konrad Fridèn
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Re: [évent 3 ans] The beginning of the end [PV Konrad]
Dim 5 Mai - 23:59
The beginning of the end
Il fût un temps, quand j’étais vraiment jeune et fougueux, j’aurais sortis mon arme de service et j’aurais ouvert le feu sur la bête sans me poser de questions. Cependant, j’avais assisté avec incrédulité à la transformation de cet homme qui, ma foi, l’avait un peu mérité. Après tout, vu tout ce qu’a fait subir mon père à ma mère, je ne pouvais que me ranger d côté de la belle demoiselle.
Enfin, je ne suis pas là pour statuer sur son cas, je devais le neutraliser. Faire une prise de soumission à une bête enragée était compliqué, mais faisable. Je pense néanmoins qu’on va éviter, je suis pas sûr d’être à jour sur mes vaccins moi. Et puis à plusieurs on devraient pouvoir le neutraliser avec les tasers.
- Tu me manquait donc je suis venue à ton secours.
…
- Nan j’décconne, je passais par là et tu a une bonne étoile qui m’a mis sur ta route.
Sans attendre plus longtemps et voyant les policiers sur place devenir nerveux, voir même ressentir de la peur, je jouais de mon autorité naturelle ou bien par le grade pour coordonner ce beau monde. J’ordonnais à la majorité des hommes encerclant la bête de la neutraliser avec les armes non létales et de l’attacher ou l’enfermer le temps de faire toute la lumière sur cette histoire.
La salle d’audience, qui avait évacuée la première dans la précipitation, était maintenant calme, du moins si on ignorais les grognements bestiaux qui émanaient du fond de la pièce et le brouhaha des personnes se précipitant vers la sortie. Raphaëlle se tenait près de moi, une petite fille dans ses jupons et elle me ramena à la réalité du terrain. Si le calme ne revenais pas dans l’enceinte du bâtiment il y aurait des blessés et ce ne serait pas la faute de bêtes sauvages.
- En effet, qui ne paniquerais pas devant un tel spectacle…
J’étais perdu dans mes pensées, je n’étais pas plus inquiet que nécessaire, mais le temps jouait contre moi. La miss avait raison, il fallait rétablir l’ordre et le calme et ça commencerais par ici.
- Dites moi, il n’y a pas une salle de délibération derrière le bureau du juge par hasard ?
Mes connaissances des lieux me viennent surtout de séries policières et judiciaires, donc je ne saurais vraiment me repérer. J’attendis la réponse de la demoiselle, ne manquant pas de sourir à la petite fille pour la rassurer. Une fois ma réponse obtenue je sommais des agents à aller dans le couloir et rassurer les passant tout en sécurisant les accès.
- Trouvez-moi de quoi barricader une porte. Moi j’attire notre gentil toutou dans la pièce juste derrière lui. Bon plan non ?
Dis-je avec un large sourire d’un homme croyant avoir un plan de fou, mais qui s’apparentais à de la simple et pure folie. Je n’avais pas le choix de toutes façons : les tasers ont l’air d’avoir réveillé la bête plus que la calmer.
Enfin, je ne suis pas là pour statuer sur son cas, je devais le neutraliser. Faire une prise de soumission à une bête enragée était compliqué, mais faisable. Je pense néanmoins qu’on va éviter, je suis pas sûr d’être à jour sur mes vaccins moi. Et puis à plusieurs on devraient pouvoir le neutraliser avec les tasers.
- Tu me manquait donc je suis venue à ton secours.
…
- Nan j’décconne, je passais par là et tu a une bonne étoile qui m’a mis sur ta route.
Sans attendre plus longtemps et voyant les policiers sur place devenir nerveux, voir même ressentir de la peur, je jouais de mon autorité naturelle ou bien par le grade pour coordonner ce beau monde. J’ordonnais à la majorité des hommes encerclant la bête de la neutraliser avec les armes non létales et de l’attacher ou l’enfermer le temps de faire toute la lumière sur cette histoire.
La salle d’audience, qui avait évacuée la première dans la précipitation, était maintenant calme, du moins si on ignorais les grognements bestiaux qui émanaient du fond de la pièce et le brouhaha des personnes se précipitant vers la sortie. Raphaëlle se tenait près de moi, une petite fille dans ses jupons et elle me ramena à la réalité du terrain. Si le calme ne revenais pas dans l’enceinte du bâtiment il y aurait des blessés et ce ne serait pas la faute de bêtes sauvages.
- En effet, qui ne paniquerais pas devant un tel spectacle…
J’étais perdu dans mes pensées, je n’étais pas plus inquiet que nécessaire, mais le temps jouait contre moi. La miss avait raison, il fallait rétablir l’ordre et le calme et ça commencerais par ici.
- Dites moi, il n’y a pas une salle de délibération derrière le bureau du juge par hasard ?
Mes connaissances des lieux me viennent surtout de séries policières et judiciaires, donc je ne saurais vraiment me repérer. J’attendis la réponse de la demoiselle, ne manquant pas de sourir à la petite fille pour la rassurer. Une fois ma réponse obtenue je sommais des agents à aller dans le couloir et rassurer les passant tout en sécurisant les accès.
- Trouvez-moi de quoi barricader une porte. Moi j’attire notre gentil toutou dans la pièce juste derrière lui. Bon plan non ?
Dis-je avec un large sourire d’un homme croyant avoir un plan de fou, mais qui s’apparentais à de la simple et pure folie. Je n’avais pas le choix de toutes façons : les tasers ont l’air d’avoir réveillé la bête plus que la calmer.
L’agent Fridèn retrouve par un concours de circonstances une amie proche. Face aux agissements de Papillon, qui sait ce qui adviendra des deux protagonistes ?
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Re: [évent 3 ans] The beginning of the end [PV Konrad]
Ven 10 Mai - 21:05
The beginning of the end
Feat Konrad FridènEh bien, Raphaëlle constatait qu'elle avait effectivement une bonne étoile et que celle-ci s'appelait Konrad Fridèn. Ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait dans une situation délicate que l'agent intervenait pour l'aider ; rapidement, chacun essayait de mettre à l'abris les personnes. Un peu plus loin, la brune avait entendu un appel à l'aide d'une petite fille qu'elle se dépêchait d'aller secourir... Mais aucune maman à l'horizon. La brune décidait de garder la petite dans les bras.
- En effet, qui ne paniquerais pas devant un tel spectacle…
La jeune femme essayait de garder son sang froid face à cette situation. Il faut dire que ce genre d'événement est plutôt récent... Depuis quelques années, les criminels étaient le cadet des soucis des forces de l'ordre. Désormais, il y avait Papillon qui semait le trouble et qui faisait plus de dégâts que n'importe quel tueur en série... Alors Raphaëlle essayait de garder son sang froid, parce qu'il n'y avait que ça à faire ; et avec cet enfant dans les bras, il n'était pas question de céder à la panique.
- Dites moi, il n’y a pas une salle de délibération derrière le bureau du juge par hasard ?
- Hum... Oui... Je crois.
Il est vrai que la jeune femme n'avait jamais fait attention à ce genre de détails... Il faut dire qu'elle n'était jamais invitée. Mais elle n'était pas étonnée que la police soit au courant de ça. Raphaëlle hochait la tête, oui ce serait le meilleur endroit pour mettre le plus de monde en sécurité ; ainsi, elle passait derrière le bureau du juge pour ouvrir une porte et invitait les personnes aux alentours à entrer dans cette pièce.
- Trouvez-moi de quoi barricader une porte. Moi j’attire notre gentil toutou dans la pièce juste derrière lui. Bon plan non ?
- Non, très mauvais plan !
De toute façon, il ne semblait pas lui laisser le choix ! La brune lâchait un soupire mais l'agent Fridèn avait déjà une idée en tête... A contre cœur, elle déposait la fillette dans la pièce et dirigeait les personnes vers l'intérieur de la pièce tandis que les policiers faisaient de leur mieux pour retarder les animaux. Raphaëlle aurait aimé vouloir les aider mais elle savait aussi qu'elle ne faisait pas le poids...
- En effet, qui ne paniquerais pas devant un tel spectacle…
La jeune femme essayait de garder son sang froid face à cette situation. Il faut dire que ce genre d'événement est plutôt récent... Depuis quelques années, les criminels étaient le cadet des soucis des forces de l'ordre. Désormais, il y avait Papillon qui semait le trouble et qui faisait plus de dégâts que n'importe quel tueur en série... Alors Raphaëlle essayait de garder son sang froid, parce qu'il n'y avait que ça à faire ; et avec cet enfant dans les bras, il n'était pas question de céder à la panique.
- Dites moi, il n’y a pas une salle de délibération derrière le bureau du juge par hasard ?
- Hum... Oui... Je crois.
Il est vrai que la jeune femme n'avait jamais fait attention à ce genre de détails... Il faut dire qu'elle n'était jamais invitée. Mais elle n'était pas étonnée que la police soit au courant de ça. Raphaëlle hochait la tête, oui ce serait le meilleur endroit pour mettre le plus de monde en sécurité ; ainsi, elle passait derrière le bureau du juge pour ouvrir une porte et invitait les personnes aux alentours à entrer dans cette pièce.
- Trouvez-moi de quoi barricader une porte. Moi j’attire notre gentil toutou dans la pièce juste derrière lui. Bon plan non ?
- Non, très mauvais plan !
De toute façon, il ne semblait pas lui laisser le choix ! La brune lâchait un soupire mais l'agent Fridèn avait déjà une idée en tête... A contre cœur, elle déposait la fillette dans la pièce et dirigeait les personnes vers l'intérieur de la pièce tandis que les policiers faisaient de leur mieux pour retarder les animaux. Raphaëlle aurait aimé vouloir les aider mais elle savait aussi qu'elle ne faisait pas le poids...
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Re: [évent 3 ans] The beginning of the end [PV Konrad]
Dim 12 Mai - 5:08
Beginning of the end
Feat Raphaëlle et Konrad
Laissant Théo seule avec Papillon à contre coeur, celui-ci était parti discuter avec le gardien. Du moins, c'était cela à la base la mission. L'empereur continuait son chemin en direction, mais cessait nette lorsqu'il remarquait une patrouille de police se diriger en urgence vers un lieu. Hum, cela pouvait être dangereux, sûrement que les officiers de l'ordre allaient avoir besoin d'aide. Le maître pouvait attendre. Le connaissant, celui-ci devait déjà être à l'abri à l'heure qu'il est. Arrêtant sur le toit d'un bâtiment en face, celui-ci se détransformait pour laisser la chance à Pinguu de se reposer un peu. Sur le choc de la rencontre le petit pingouin avait eut peur pour lui-même mais surtout pour son gardien favori. Que de belles paroles avant d'aller se reposer prêt d'Ezra qui observait la scène. Les policiers demandaient au gens d'évacuer les lieux. Rien à signaler du moins jusqu'à l'apparition d'un loup. Enfin vu de haut du moins. Par chance, les gens semblaient avoir un bon instinct et de vouloir se mettre à l'abri. Ce qu'Ezra remarquait surtout était les actions posées par la brune. Une femme qui semblait à vue de nez ne pas être une héroïne ou une personne de l'ordre comme les policiers. Mais, elle venait de prendre contre elle une enfant qui était en panique et de guider des gens dans un lieu sur et loin du danger qui se trouvait dans le bâtiment. Ce qui démontrait un bon fond de la part de la dame. Serait-elle un potentiel héros ? Seule façon de le savoir était de voir tout cela de plus près.
Demandant à Tedzuu de le transformer, c'était maintenant l'heure au Sasquatch d'intervenir. Sans plus attendre, l'homme yéti sautait sur une parcelle d'urgence pour ensuite entrer par l'une des fenêtres qui étaient ouvertes. Comme par hasard, cela donnait juste devant la salle que notre sauveuse indiquait d'aller.
Aidant les gens à entrer dans la salle en aidant au mieux Raphaëlle. Une fois qu'il ne restait que l'enfant, Sas se rapprochait de la femme et de l'enfant et tendait les bras. Il ressemblait en rien au monstre qui voulaient s'en prendre aux humains et qui semblaient être sous le contrôle de papillon. Enfin, c'était bien ce que le monde croit à ce moment précis alors que notre jeune gardien se doute à présent que cela ne soit pas l'oeuvre du vilain de Paris. Ou du moins ... pas totalement. En montrant un léger sourire à la gamine, celle-ci faisait confiance au Yéti qui lui disait d'aller rejoindre les autres et qui ne lui arriverait rien. Dès que la petite remerciait Madame Despentes, elle entrait avec les autres civiles.
Dès que ses mots furent prononcés, il fermait la porte et utilisait son pouvoir de glace. Sa mitaine droite devenait bleuté et au contact de la porte, l'objet qui venait d'être en contact devenait couvert de glace. Assez solide pour garder les gens à l'intérieur hors de portée. En activant son pouvoir, cela ne laissait moins de cinq minutes pour parler à la brune qui était restée à l'extérieur.
En fouillant dans son sac, celui-ci remarquait un foulard. Tiens cela n'y était pas tout à l'heure. Voyant aussi le petit ours qui le saluait de la main. Avec l'énorme monstre qui se trouvait dans les parages, le pouvoir pourrait s'avérer pratique. Sans plus attendre donc, il sortait le foulard de son sac.
Si elle acceptait bien de remettre le Miraculous, Sasquatch tendait donc le foulard à Raphaëlle.
Aimant bien pouvoir rester plus longtemps pour rigoler aussi avec elle et voir ce qu'elle allait devenir, notre super gardien avait des obligations ailleurs. Puis, le compte à rebours était déjà lancé. Aussitôt les consignes disent à la nouvelle, l'homme de glace quittait donc le bâtiment pour continuer de surveiller. En souhaitant de tout coeur que rien de grave ne soit arrivé à Théoxane durant son absence.
Demandant à Tedzuu de le transformer, c'était maintenant l'heure au Sasquatch d'intervenir. Sans plus attendre, l'homme yéti sautait sur une parcelle d'urgence pour ensuite entrer par l'une des fenêtres qui étaient ouvertes. Comme par hasard, cela donnait juste devant la salle que notre sauveuse indiquait d'aller.
Allez-y.
Aidant les gens à entrer dans la salle en aidant au mieux Raphaëlle. Une fois qu'il ne restait que l'enfant, Sas se rapprochait de la femme et de l'enfant et tendait les bras. Il ressemblait en rien au monstre qui voulaient s'en prendre aux humains et qui semblaient être sous le contrôle de papillon. Enfin, c'était bien ce que le monde croit à ce moment précis alors que notre jeune gardien se doute à présent que cela ne soit pas l'oeuvre du vilain de Paris. Ou du moins ... pas totalement. En montrant un léger sourire à la gamine, celle-ci faisait confiance au Yéti qui lui disait d'aller rejoindre les autres et qui ne lui arriverait rien. Dès que la petite remerciait Madame Despentes, elle entrait avec les autres civiles.
Vous serez à l'abri ici. Je vous en fait la promesse.
Dès que ses mots furent prononcés, il fermait la porte et utilisait son pouvoir de glace. Sa mitaine droite devenait bleuté et au contact de la porte, l'objet qui venait d'être en contact devenait couvert de glace. Assez solide pour garder les gens à l'intérieur hors de portée. En activant son pouvoir, cela ne laissait moins de cinq minutes pour parler à la brune qui était restée à l'extérieur.
J'ai vu comment tu as voulu aider les gens et que tu le souhaite encore. Moi Sasquatch, je suis prêt à t'emprunter un Miraculous.
En fouillant dans son sac, celui-ci remarquait un foulard. Tiens cela n'y était pas tout à l'heure. Voyant aussi le petit ours qui le saluait de la main. Avec l'énorme monstre qui se trouvait dans les parages, le pouvoir pourrait s'avérer pratique. Sans plus attendre donc, il sortait le foulard de son sac.
Je te prête Beear, le kwami de la confrontation. Il t'expliquera le fonctionnement de son pouvoir. Dès que l'animal sera mis hors de contrôle, je viendrai récupérer le Miraculous. Si tu es d'accord avec cela, je te tends le foulard. Pour te transformer tu n'auras qu'a dire. Beear transmore-moi.
Si elle acceptait bien de remettre le Miraculous, Sasquatch tendait donc le foulard à Raphaëlle.
Amusez-vous bien, tout en restant prudente bien sûr.
Aimant bien pouvoir rester plus longtemps pour rigoler aussi avec elle et voir ce qu'elle allait devenir, notre super gardien avait des obligations ailleurs. Puis, le compte à rebours était déjà lancé. Aussitôt les consignes disent à la nouvelle, l'homme de glace quittait donc le bâtiment pour continuer de surveiller. En souhaitant de tout coeur que rien de grave ne soit arrivé à Théoxane durant son absence.
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Konrad Fridèn
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Re: [évent 3 ans] The beginning of the end [PV Konrad]
Lun 17 Juin - 0:55
The beginning of the end
Le plan étais simple : attirer la bête dans la pièce et l’enfermer comme dans un zoo. C’était du moins ce que je croyais, que le plan étais simple, mais je n’ai pas vraiment eu le temps de le mettre en application car ma comparse avait mis les civils dans ladite pièce. Et comme si ça ne suffisait pas, les héros s’en sont mêlés et on scellé la porte avec de la glace de que j’ai pu voir dans mon dos. Je soupirais un bon coup, certain qu’au zoo c’est les passant en liberté et les animaux dangereux en cage, mais bon, au point ou j’en sis j’avais d’autre chats à fouetter.
En effet, j’avais attirer l’attention de la créature pour mon plan initial, mais maintenant que j’avais sa pleine concentration je ne savais quoi faire dans l’immédiat. Je regardais les quelques policiers qui naturellement s’en étais remis à moi pour les diriger. En même temps j’ai dis que j’avais un plan… Mais quel imbécile je suis ! Bon, pas le temps de réfléchir plus que nécessaire. J’attrapais mon taser et donnais mes instructions.
- Cher collègues, trouvez moi un drapeau ou un grand, très grand tissu. Et de la corde bien épaisse. On va s’enrouler ce… Cet individu ? Et le ligoter dans le drapeau pour éviter qu’il ne s’échappe et blesse des innocents.
Sur ces belles paroles, mes coéquipiers partir à leur recherche frénétique, semblant apporter mon plan pour le moins bancale avec le recul, mais bon, j’ai pas de super pouvoir moi, je viens juste de la campagne. Je tirais sur la bête pour l’engourdir et attirer son attention.
- En attendant… Toi et moi on va jouer au chat et à la souris.
Je n’étais pas sur de mon plan, mais plus le choix je devais agir. Pour les citoyens, pour Raphaëlle et pour ma peau, car ce jeu était très dangereux.
En effet, j’avais attirer l’attention de la créature pour mon plan initial, mais maintenant que j’avais sa pleine concentration je ne savais quoi faire dans l’immédiat. Je regardais les quelques policiers qui naturellement s’en étais remis à moi pour les diriger. En même temps j’ai dis que j’avais un plan… Mais quel imbécile je suis ! Bon, pas le temps de réfléchir plus que nécessaire. J’attrapais mon taser et donnais mes instructions.
- Cher collègues, trouvez moi un drapeau ou un grand, très grand tissu. Et de la corde bien épaisse. On va s’enrouler ce… Cet individu ? Et le ligoter dans le drapeau pour éviter qu’il ne s’échappe et blesse des innocents.
Sur ces belles paroles, mes coéquipiers partir à leur recherche frénétique, semblant apporter mon plan pour le moins bancale avec le recul, mais bon, j’ai pas de super pouvoir moi, je viens juste de la campagne. Je tirais sur la bête pour l’engourdir et attirer son attention.
- En attendant… Toi et moi on va jouer au chat et à la souris.
Je n’étais pas sur de mon plan, mais plus le choix je devais agir. Pour les citoyens, pour Raphaëlle et pour ma peau, car ce jeu était très dangereux.
L’agent Fridèn retrouve par un concours de circonstances une amie proche. Face aux agissements de Papillon, qui sait ce qui adviendra des deux protagonistes ?
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Invité
Re: [évent 3 ans] The beginning of the end [PV Konrad]
Mar 6 Aoû - 21:29
The beginning of the end
Feat Konrad FridènSi ça n'avait pas été la panique, Raphaëlle aurait insisté davantage pour que Konrad ne prenne pas plus de risques ; mais franchement ! Qu'allait-il s'imaginer ? Qu'il faisait le poids face à un homme qui s'était transformé en bête féroce ? Le plus simple serait encore de lui tirer dessus mais ça voulait dire tuer un homme... Les civils étaient désormais à l'intérieur de la pièce et ils allaient devoir trouver un moyen pour se barricader et empêcher les animaux de rentrer.
D'un seul coup, un personne dans un accoutrement étrange arrive aux côtés de Raphaëlle et réussit à faire en sorte de fermer la pièce, de sorte que rien ni personne ne puisse entrer à l'intérieur. Cette personne se tournait ensuite vers la brune pour lui proposer un Miraculous... Ca alors ! Elle n'y aurait jamais pensé ! Il lui tendit un foulard rouge, annonçant qu'il s'agissait du Miraculous de l'ours.. A cet instant, une drôle de bestiole était apparu et lui faisait un coucou.
- Je te prête Beear, le kwami de la confrontation. Il t'expliquera le fonctionnement de son pouvoir. Dès que l'animal sera mis hors de contrôle, je viendrai récupérer le Miraculous. Si tu es d'accord avec cela, je te tends le foulard. Pour te transformer tu n'auras qu'a dire. Beear transmore-moi.
- Je... euh.. d'accord...
Que dire de plus ? La brune entendit des cris provenant des couloirs... Elle n'avait pas réellement le choix. Il était pas question de rester les bras croisés tandis que des civils et son ami se faisaient attaquer ! Alors, Raphaëlle mit le foulard autour du cou et prononçait la formule magique : Beear, transforme-moi. A cet instant, sa tenue changeait pour laisser place à une tenue entièrement marron, des gants en forme de griffes et de petites oreilles sur la tête. Dans ton dos, la brune sent une masse... Voilà qui sera utile !
Raphaëlle s'élança donc à la recherche de son ami pour l'aider car son instinct lui disait que ça risquerait de tourner au vinaigre ! La brune s'était imaginée pleins de choses en étant porteuse d'un Miraculous et elle se sentait... étrange. Plus forte, plus agile, elle avait la sensation de n'avoir peur de rien. Quelques instants plus tard, la brune remarquait son ami en difficulté contre l'animal féroce ; elle s'interpose aussitôt pour donner un coup de masse à l'animal.
- Un p'tit coup de patte ?
Ils étaient désormais deux contre un animal, ça serait beaucoup plus simple ! Raphaëlle n'eut pas réellement le temps de lui dire qui était sous le masque car l'animal chargea aussitôt... Eh bien, elle fera les présentations plus tard ! Du point de vue de Konrad, il allait simplement se faire aider par une aidée habillée d'une drôle de façon. Elle esquivait l'attaque avec une aisance qu'elle ne connaissait pas... Dis donc ! Ce costume la rendait vraiment forte ! Et pourtant, ce n'était pas le moment de se déconcentrer, c'était le moment aux deux de donner des coups pour l'assommer et ensuite aller aider le reste de la population dans le tribunal et les rues.
D'un seul coup, un personne dans un accoutrement étrange arrive aux côtés de Raphaëlle et réussit à faire en sorte de fermer la pièce, de sorte que rien ni personne ne puisse entrer à l'intérieur. Cette personne se tournait ensuite vers la brune pour lui proposer un Miraculous... Ca alors ! Elle n'y aurait jamais pensé ! Il lui tendit un foulard rouge, annonçant qu'il s'agissait du Miraculous de l'ours.. A cet instant, une drôle de bestiole était apparu et lui faisait un coucou.
- Je te prête Beear, le kwami de la confrontation. Il t'expliquera le fonctionnement de son pouvoir. Dès que l'animal sera mis hors de contrôle, je viendrai récupérer le Miraculous. Si tu es d'accord avec cela, je te tends le foulard. Pour te transformer tu n'auras qu'a dire. Beear transmore-moi.
- Je... euh.. d'accord...
Que dire de plus ? La brune entendit des cris provenant des couloirs... Elle n'avait pas réellement le choix. Il était pas question de rester les bras croisés tandis que des civils et son ami se faisaient attaquer ! Alors, Raphaëlle mit le foulard autour du cou et prononçait la formule magique : Beear, transforme-moi. A cet instant, sa tenue changeait pour laisser place à une tenue entièrement marron, des gants en forme de griffes et de petites oreilles sur la tête. Dans ton dos, la brune sent une masse... Voilà qui sera utile !
Raphaëlle s'élança donc à la recherche de son ami pour l'aider car son instinct lui disait que ça risquerait de tourner au vinaigre ! La brune s'était imaginée pleins de choses en étant porteuse d'un Miraculous et elle se sentait... étrange. Plus forte, plus agile, elle avait la sensation de n'avoir peur de rien. Quelques instants plus tard, la brune remarquait son ami en difficulté contre l'animal féroce ; elle s'interpose aussitôt pour donner un coup de masse à l'animal.
- Un p'tit coup de patte ?
Ils étaient désormais deux contre un animal, ça serait beaucoup plus simple ! Raphaëlle n'eut pas réellement le temps de lui dire qui était sous le masque car l'animal chargea aussitôt... Eh bien, elle fera les présentations plus tard ! Du point de vue de Konrad, il allait simplement se faire aider par une aidée habillée d'une drôle de façon. Elle esquivait l'attaque avec une aisance qu'elle ne connaissait pas... Dis donc ! Ce costume la rendait vraiment forte ! Et pourtant, ce n'était pas le moment de se déconcentrer, c'était le moment aux deux de donner des coups pour l'assommer et ensuite aller aider le reste de la population dans le tribunal et les rues.
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