Chloé Bourgeois
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Une séance photo interrompue ( Adrien Agreste)
Sam 25 Mai - 17:25
Une séance photo interrompue
Tu te promenais dans un parc à la recherche d’un endroit à mettre en valeur pour présenter ton produit de marque. Tu avais quelques limites et contraintes imposées par la marque comme par exemple un ciel bleue dégagée et l’endroit devait donné envie aux jeunes d’au moins essayer le produit et même le faire acheter si possible. Tu essayais de repérer des endroits chics dans Paris, mais ce n’était pas gagné ! Eurk, tant d’endroits ou tu n’osais pas y aller, alors tu n’allais pas les utiliser pour un produit de beauté ! Tu allais aller au plus simple ! Il fallait aussi que tu trouvais une personne pour ça, enfin tu abandonnais l’idée pour le moment en tout cas faute de trouver un endroit convenable et une personne digne du partenariat que tu représentais à l’occasion.
Vraiment, tu trouvais tout le monde semblable aujourd’hui pas un pour se démarquer des autres ? Sauf peut-être ton idole et amis d’enfance… Adrien Agreste en personne ! Qu’elle chance ! Tu abandonnais toute envie de travail alors que tu t’avançais d’un pas décidé à aller le voir. Il semblait occupé ? Qu’à cela ne tienne ! ils seraient tous hors de ma vue dans pas longtemps de toute façon, les autres ne m’intéressaient pas. Comme d’habitude en fait ! Tu n’avais dyeux que pour lui. Après tout, c’était ton seul vrai amis.
« Adriiie-chouuuuuuu » Tu courais vers lui faisant des immenses mouvements de bras, ton sac qui pendouillait dans tout les sens. Tu lui sautais au cou au moment ou le flash de l’appareil était sorti.
« Bah quoi ? Vous avez quoi à me regarder ? Houst du balais vous êtes ridicule ! » déclarais-tu alors que tu prenais Adrien par le bras. Laissant tout le monde énervé contre toi comme d’habitude.
Vraiment, tu trouvais tout le monde semblable aujourd’hui pas un pour se démarquer des autres ? Sauf peut-être ton idole et amis d’enfance… Adrien Agreste en personne ! Qu’elle chance ! Tu abandonnais toute envie de travail alors que tu t’avançais d’un pas décidé à aller le voir. Il semblait occupé ? Qu’à cela ne tienne ! ils seraient tous hors de ma vue dans pas longtemps de toute façon, les autres ne m’intéressaient pas. Comme d’habitude en fait ! Tu n’avais dyeux que pour lui. Après tout, c’était ton seul vrai amis.
« Adriiie-chouuuuuuu » Tu courais vers lui faisant des immenses mouvements de bras, ton sac qui pendouillait dans tout les sens. Tu lui sautais au cou au moment ou le flash de l’appareil était sorti.
« Bah quoi ? Vous avez quoi à me regarder ? Houst du balais vous êtes ridicule ! » déclarais-tu alors que tu prenais Adrien par le bras. Laissant tout le monde énervé contre toi comme d’habitude.
PV Adrien Agreste
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Adrien Agreste
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Re: Une séance photo interrompue ( Adrien Agreste)
Ven 7 Juin - 18:38
friends in the frame
Le printemps était officiellement revenu. Et avec, son lot de nouveautés… de nouveaux pantalons, de nouvelles chemises…
La dernière collection Gabriel fleurissait pour cette période de l’année. Et le temps pressait, ces photos se devaient d’être faites, brièvement retouchées — pour la lumière, bien sûr — mises en page, imprimées et distribuées. Avant que l’été n’arrive pour forcer le même processus à nouveau.
Ce parc avec ses arbres, buissons et autres fleurs faisaient le cadre parfait. On ne voyait pas trop les voitures passer dans le fond, plusieurs mètres plus loin. Il fallait tirer avantage au maximum de cette étendue verte, ces chemins proprement dessinés, ce banc fraîchement vernis juste-là… Adrien y était installé, mettant en valeur un chemisier à motif, pendant que le photographe cherchait l’angle idéal. Depuis combien de temps l’équipe entière était là à lui tourner autour pour modifier le positionnement des réflecteurs, régler le focus, changer de décor à quelques mètres près ? Un peu plus de deux heures déjà… ? Pourquoi a-t-il l’impression que ça va durer encore longtemps, alors ?
« Adriiie-chouuuuuuu ! »
La silhouette de Chloé se glissa dans son champ de vision alors qu’elle l’interpellait, sortie de nulle part. Une qualité chez elle qui ne la loupait jamais… Adrien resta toutefois immobile afin de ne pas enrager le photographe plus qu’il ne l’est déjà, mais la demoiselle sembla ne pas vouloir s’embêter de sa présence ou même du contexte qui s’était érigé autour.
Chloé bondit sur lui alors que le flash partit. Photo ratée, mannequin surpris et déséquilibré… Il manqua même de tomber sur le banc avec elle tant il ne l’avait pas anticipé — cette fois-là, il aurait cru qu’elle aurait au moins attendu qu’il se remette à bouger.
- O—Oof…
« Bah quoi ? Vous avez quoi à me regarder ? Houst du balais vous êtes ridicule ! »
- Chloé…
Autrefois, Adrien peinait à ne serait-ce qu’oser lui dire qu’elle exagérait. Le temps passant, il avait réussi à sortir les mots petit à petit, jusqu’à devenir plus ou moins franc — il n’avait pas spécialement envie de lui crier dessus à la moindre de ses interventions par la suite. Ceci dit, le moment était plus que mal choisi pour venir envahir son espace vital. Alors que le photographe râla contre la jeune blonde — et sûrement que d’autres adultes qui devaient avoir hâte de rentrer aussi soufflaient en levant les yeux au ciel — le mannequin fit un bref mouvement d’épaule pour signifier à la concernée qu’il valait mieux qu’elle décroche un peu.
- Qu’est-ce que tu fais, là ? Tu vois bien que je travaille…
Avec le temps, cette franchise s’était un peu plus affirmée. Commençait-il pour autant à lui dire directement de dégager ? Bien sûr que non.
- Pardon, pardon, reprit-il en s’adressant aux autres membres du personnel. Chloé, tu veux pas attendre sur le côté le temps que je finisse… ? Je sais, tu es contente de me voir, mais là pour l’instant, c’est…
Il appréhendait déjà ses râlements, ses protestations… et comme il était toujours long et fastidieux de la faire lâcher, autant commencer tout de suite. Un peu plus loin, on demandait à Adrien de se dépêcher. Et à la jeune Bourgeois de virer du cadre.
La dernière collection Gabriel fleurissait pour cette période de l’année. Et le temps pressait, ces photos se devaient d’être faites, brièvement retouchées — pour la lumière, bien sûr — mises en page, imprimées et distribuées. Avant que l’été n’arrive pour forcer le même processus à nouveau.
Ce parc avec ses arbres, buissons et autres fleurs faisaient le cadre parfait. On ne voyait pas trop les voitures passer dans le fond, plusieurs mètres plus loin. Il fallait tirer avantage au maximum de cette étendue verte, ces chemins proprement dessinés, ce banc fraîchement vernis juste-là… Adrien y était installé, mettant en valeur un chemisier à motif, pendant que le photographe cherchait l’angle idéal. Depuis combien de temps l’équipe entière était là à lui tourner autour pour modifier le positionnement des réflecteurs, régler le focus, changer de décor à quelques mètres près ? Un peu plus de deux heures déjà… ? Pourquoi a-t-il l’impression que ça va durer encore longtemps, alors ?
« Adriiie-chouuuuuuu ! »
La silhouette de Chloé se glissa dans son champ de vision alors qu’elle l’interpellait, sortie de nulle part. Une qualité chez elle qui ne la loupait jamais… Adrien resta toutefois immobile afin de ne pas enrager le photographe plus qu’il ne l’est déjà, mais la demoiselle sembla ne pas vouloir s’embêter de sa présence ou même du contexte qui s’était érigé autour.
Chloé bondit sur lui alors que le flash partit. Photo ratée, mannequin surpris et déséquilibré… Il manqua même de tomber sur le banc avec elle tant il ne l’avait pas anticipé — cette fois-là, il aurait cru qu’elle aurait au moins attendu qu’il se remette à bouger.
- O—Oof…
« Bah quoi ? Vous avez quoi à me regarder ? Houst du balais vous êtes ridicule ! »
- Chloé…
Autrefois, Adrien peinait à ne serait-ce qu’oser lui dire qu’elle exagérait. Le temps passant, il avait réussi à sortir les mots petit à petit, jusqu’à devenir plus ou moins franc — il n’avait pas spécialement envie de lui crier dessus à la moindre de ses interventions par la suite. Ceci dit, le moment était plus que mal choisi pour venir envahir son espace vital. Alors que le photographe râla contre la jeune blonde — et sûrement que d’autres adultes qui devaient avoir hâte de rentrer aussi soufflaient en levant les yeux au ciel — le mannequin fit un bref mouvement d’épaule pour signifier à la concernée qu’il valait mieux qu’elle décroche un peu.
- Qu’est-ce que tu fais, là ? Tu vois bien que je travaille…
Avec le temps, cette franchise s’était un peu plus affirmée. Commençait-il pour autant à lui dire directement de dégager ? Bien sûr que non.
- Pardon, pardon, reprit-il en s’adressant aux autres membres du personnel. Chloé, tu veux pas attendre sur le côté le temps que je finisse… ? Je sais, tu es contente de me voir, mais là pour l’instant, c’est…
Il appréhendait déjà ses râlements, ses protestations… et comme il était toujours long et fastidieux de la faire lâcher, autant commencer tout de suite. Un peu plus loin, on demandait à Adrien de se dépêcher. Et à la jeune Bourgeois de virer du cadre.
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