Maeline Dave
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Re: [Attaque évent] Révélation
Mar 26 Oct - 1:34
- Je n’arrive pas à savoir ce qui ne va pas… Fait -elle, en se mordillant frénétiquement les lèvres avant de jeter un œil à son kwami.
- Marinette, tu devrais davantage te faire confiance ! Dit Tikki, optimiste.
Elle soupira.
- Je sais, mais là, j’ai l’impression d’avoir faire quelque chose qui n’allait pas, et du coup…
Soudain, un bruit se fait entendre. Par cette magnifique journée, les nuages recouvrèrent alors la moitié du ciel bleuté, et la brise commença alors à souffler. Marinette savait très bien à quoi s’attendre lorsqu’elle vit de suite la foule sprinta dans le même sens, ce qui signifiait que quelqu’un s’est fait akumatiser, ici, dans ce parc où elle s’y trouvait. C’était affreux, les gens se bousculaient et certains mêmes tombaient par terre sans qu’on puisse les aider à se relever. Les humains sont décidément pires que les animaux, se disait t-elle, avec un élan de dégoût. Cependant, leurs visages semblaient tout autant effrayés et désordonnés du temps. Des bruits se faisaient entendre, ou plutôt, des cris stridents et glaçants poussées par un animal quelconque grisaillait de tous les côtés, et il était donc impossible de savoir par quel côté il provenait. Il était absolument hors de question que cette chose n’atteigne la ville. La jeune femme ne manqua pas de temps et courut alors à toute vitesse derrière des buissons pour se transformer sans que personne ne puisse l’apercevoir.
- Notre temps de repos est fini, Tikki, allez, allons sauver Paris !
- Allons-y, Marinette !
- Tikki… Transforme-moi !
Lorsque ses boucles d’oreilles scintillèrent, c’est à ce moment-là qu’elle redevint alors Ladybug, La jeune femme aux points noirs balança son yoyo magique dans une serre et se mit en hauteur pour constater l’ampleur de la situation et voir comment y procéder. Chat Noir ne répondait pas à ses messages, cela voulait dire qu’elle devait se débrouiller toute seule.
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Re: [Attaque évent] Révélation
Jeu 28 Oct - 9:07
« Théoxane où es-tu ? »
La panique avait envahis le soldat, pourquoi le destin s'acharnait-il à mettre en danger ceux qui comptait pour lui ? Serait-il maudit ou bien ? Je courrais dans le zoo alors que mon oiseau de chasse survolait celui-ci, le zoo était calme, bien que bondé de visiteurs, du moins jusqu'à ce qu'un cri strident percuta, un gris de colère d'un animal féroce bien décidé à s'échapper de ses entraves.
Alors que la foule s'échappait, affolé, je fus confronté à un choix horrible : Retrouver Théoxane ou aider les civils. Mais revenons au début de cette journée angoissante à mes yeux.
Voilà plusieurs mois que nous étions en permission à Paris, j'avais parlé à Elois de mes doutes sur la situation avec ces histoires de super héros et super vilains mais nous ne pouvions rien faire pour le moment. J'étais venu à la demeure familiale des Salois un soirs pour diners avec eux et passer une soirée avec mon ami, c'est au court de cette soirée que j'appris le caprice Agreste ayant poussé Théoxane à faire un shooting photo au zoo le lendemain. Le lendemain j'étais debout aux aurores, mon oiseau me fixant avec intérêt alors que je lui lançais des morceaux de viande pour voir s'il était capable de les attraper sans quitter son perchoir.
Alors que l'heure du shooting photo approchais, je m'étais décidé à sortir de chez moi pour m'y rendre et veiller sur Théoxane. Je ne pouvais pas expliquer pourquoi mais veiller sur elle, même à distance, calmait mes pulsions suicidaires, comme si la crainte de perdre un être cher, encore, m'envahissait dès que je ne pouvais pas le faire. Théoxane n'était pas aussi précieuse que Elois à mes yeux, elle n'était que la petite sœur d'Elois, mais par corrélation, j'avais peur pour elle et puis vu le nombre de fois où son frère vantait la beauté de sa sœur sans oser lui dire en face. Je ne savais pas combien de temps durerait la permission, à vrai dire, d'une journée à l'autre je pourrais être éloigné de Paris et si je venais mourir au front sans avoir le temps de voir de mes propres yeux tout ce qu'Elois veut me montrer, je pense que je m'en voudrais pendant tous l'au-delà.
J'avais fini par céder et je m'étais rendu au zoo, cherchant le shooting photo, pas très dur à trouver, ils étaient plutôt voyant avec les flashs et les outils. J'étais en tenue de militaire, pour que mon oiseau puisse m'accompagner sans qu'on me pose des problèmes. Elle se faisait maquiller alors que d'autre se faisaient prendre en photo. Je souffla un instant sur ma main libre, cela m'aidait à à réchauffer ma main gelée, bien que j'étais habitué à survivre dans d'aussi grands écarts de températures. Les serres de mon faucon réchauffait mon autre main. Par envie, il piailla un peu en tournant sa tête vers moi, je lui adressa des gratouilles pour le rassurer, il n'était pas serein avec autant d'animaux autour de lui, mais en même temps, ceux-ci étaient enfermés. J'ignorais totalement si Théoxane avait remarquée ma présence, mais peu importe, au pire, elle ira grogner contre Elois et moi après le shooting.
Ce fut le tour de Théoxane de se faire réchauffer des flashs et projecteurs, pourtant ce qui semblait être une calme journée devint rapidement un cauchemar à mes yeux. À peine le premier flash retentis, éblouissant, que Théoxane disparu de notre champ de vision : la panique était à son comble, où était Théoxane ? Elle avait brusquement disparue, un enlèvement ? La personne devait être extrêmement rapide pour être capable d'une telle prouesse. La panique me prit et je regarda mon faucon.
« Cherche Théoxane et préviens moi quand tu la trouves ! »
Je n'attendis pas plus de temps pour me mettre à courir dans le but de trouver Théoxane, parcourant le zoo affolé. Que devais-je faire ? Je ne savais même pas quoi chercher. La panique retentis encore plus dans mon esprit quand le cri du monstre de distingua, et si Théoxane était en danger de mort ? J'avais, en un court instant, prit une décision, à l'inverse même de mes principes, reprenant ma course endiablée dans l'espoir de retrouver la sœur de mon ami.
« Théoxane ! »
La panique avait envahis le soldat, pourquoi le destin s'acharnait-il à mettre en danger ceux qui comptait pour lui ? Serait-il maudit ou bien ? Je courrais dans le zoo alors que mon oiseau de chasse survolait celui-ci, le zoo était calme, bien que bondé de visiteurs, du moins jusqu'à ce qu'un cri strident percuta, un gris de colère d'un animal féroce bien décidé à s'échapper de ses entraves.
Alors que la foule s'échappait, affolé, je fus confronté à un choix horrible : Retrouver Théoxane ou aider les civils. Mais revenons au début de cette journée angoissante à mes yeux.
Voilà plusieurs mois que nous étions en permission à Paris, j'avais parlé à Elois de mes doutes sur la situation avec ces histoires de super héros et super vilains mais nous ne pouvions rien faire pour le moment. J'étais venu à la demeure familiale des Salois un soirs pour diners avec eux et passer une soirée avec mon ami, c'est au court de cette soirée que j'appris le caprice Agreste ayant poussé Théoxane à faire un shooting photo au zoo le lendemain. Le lendemain j'étais debout aux aurores, mon oiseau me fixant avec intérêt alors que je lui lançais des morceaux de viande pour voir s'il était capable de les attraper sans quitter son perchoir.
Alors que l'heure du shooting photo approchais, je m'étais décidé à sortir de chez moi pour m'y rendre et veiller sur Théoxane. Je ne pouvais pas expliquer pourquoi mais veiller sur elle, même à distance, calmait mes pulsions suicidaires, comme si la crainte de perdre un être cher, encore, m'envahissait dès que je ne pouvais pas le faire. Théoxane n'était pas aussi précieuse que Elois à mes yeux, elle n'était que la petite sœur d'Elois, mais par corrélation, j'avais peur pour elle et puis vu le nombre de fois où son frère vantait la beauté de sa sœur sans oser lui dire en face. Je ne savais pas combien de temps durerait la permission, à vrai dire, d'une journée à l'autre je pourrais être éloigné de Paris et si je venais mourir au front sans avoir le temps de voir de mes propres yeux tout ce qu'Elois veut me montrer, je pense que je m'en voudrais pendant tous l'au-delà.
J'avais fini par céder et je m'étais rendu au zoo, cherchant le shooting photo, pas très dur à trouver, ils étaient plutôt voyant avec les flashs et les outils. J'étais en tenue de militaire, pour que mon oiseau puisse m'accompagner sans qu'on me pose des problèmes. Elle se faisait maquiller alors que d'autre se faisaient prendre en photo. Je souffla un instant sur ma main libre, cela m'aidait à à réchauffer ma main gelée, bien que j'étais habitué à survivre dans d'aussi grands écarts de températures. Les serres de mon faucon réchauffait mon autre main. Par envie, il piailla un peu en tournant sa tête vers moi, je lui adressa des gratouilles pour le rassurer, il n'était pas serein avec autant d'animaux autour de lui, mais en même temps, ceux-ci étaient enfermés. J'ignorais totalement si Théoxane avait remarquée ma présence, mais peu importe, au pire, elle ira grogner contre Elois et moi après le shooting.
Ce fut le tour de Théoxane de se faire réchauffer des flashs et projecteurs, pourtant ce qui semblait être une calme journée devint rapidement un cauchemar à mes yeux. À peine le premier flash retentis, éblouissant, que Théoxane disparu de notre champ de vision : la panique était à son comble, où était Théoxane ? Elle avait brusquement disparue, un enlèvement ? La personne devait être extrêmement rapide pour être capable d'une telle prouesse. La panique me prit et je regarda mon faucon.
« Cherche Théoxane et préviens moi quand tu la trouves ! »
Je n'attendis pas plus de temps pour me mettre à courir dans le but de trouver Théoxane, parcourant le zoo affolé. Que devais-je faire ? Je ne savais même pas quoi chercher. La panique retentis encore plus dans mon esprit quand le cri du monstre de distingua, et si Théoxane était en danger de mort ? J'avais, en un court instant, prit une décision, à l'inverse même de mes principes, reprenant ma course endiablée dans l'espoir de retrouver la sœur de mon ami.
« Théoxane ! »
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Papillon
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Re: [Attaque évent] Révélation
Jeu 28 Oct - 23:00
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Maeline Dave
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Re: [Attaque évent] Révélation
Sam 30 Oct - 23:25
- Excusez-moi, mais il y a un gorille qui court dans ce parc, je dois vous évacuer au plus vite. Fait-elle, avant de les aider à se relever. D’ailleurs, vous n’avez rien tous les deux ? Vous semblez blessés…
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Théoxane de Salois
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Re: [Attaque évent] Révélation
Dim 31 Oct - 14:31
You knew this day would come
You aren't the only one
And so it begins
And so it begins
You aren't the only one
And so it begins
And so it begins
Révélations
Chaque parole qui sortait de la bouche de ta nourrice était une torture, aussi bien physique que mentale. Tu pouvais presque entendre ton cœur se briser à chaque fois qu'elle te rabaissait ; tu avais posé tes mains sur tes oreilles mais tu continuais d'entendre distinctement les reproches. De plus, ils tournaient en boucle dans ta tête : tu n'étais qu'une ratée, une honte pour les de Salois, une sale bourge qui ne savait pas s'en sortir dans la vie.
- Taisez-vous... Je vous en supplie... taisez-vous...
Tu murmurais presque, n'ayant plus la force d'hurler que tu n'en pouvais plus. Tu étais plus bas que terre et tu voulais juste que cela s'arrête. Recroquevillée, tu n'osais même pas bouger de peur que les choses n'empirent... Tu entendais les gens hurler, tu savais qu'il se passait quelque chose de grave mais tu ne pouvais pas intervenir. Ton estomac se tordait une nouvelle fois : tous ces pauvres gens étaient en danger par ta faute. Tu ne pouvais rien faire, tu n'étais pas une super héroïne.
Et puis, malgré les cris et les insultes de ta nourrice, tu entendis au loin quelqu'un t'appeler. Tu essayais de te concentrer davantage, est-ce que tu imaginais ? Non, quelqu'un était en train de t'appeler. Quelqu'un te cherchait donc ? Tu relevais la tête. Tu reconnaissais la voix d'un homme. Un homme te cherchait ? Sa voix était familière... Très familière. Et d'un coup, tu compris assez vite qui était cette personne qui te cherchait ; tu faisais fi des insultes de ta nourrice et essayais de parler.
- Au.. Augustin... Dis-tu en murmurant.
Tu n'arrivais pas à parler plus fort. Tu étais terrifiée donc tu n'arrivais plus à porter ta voix ; tu tentais une nouvelle fois de l'appeler mais toujours en vain... Tu fermais les yeux en essayant de rassembler ton courage. Tu ne pouvais pas, non... tu ne devais pas rester dans cette situation ! Tu te mordis la lèvre inférieure pour te mettre un coup de fouet.
- Augustin !! Je suis là ! Augustin !
- Taisez-vous... Je vous en supplie... taisez-vous...
Tu murmurais presque, n'ayant plus la force d'hurler que tu n'en pouvais plus. Tu étais plus bas que terre et tu voulais juste que cela s'arrête. Recroquevillée, tu n'osais même pas bouger de peur que les choses n'empirent... Tu entendais les gens hurler, tu savais qu'il se passait quelque chose de grave mais tu ne pouvais pas intervenir. Ton estomac se tordait une nouvelle fois : tous ces pauvres gens étaient en danger par ta faute. Tu ne pouvais rien faire, tu n'étais pas une super héroïne.
Et puis, malgré les cris et les insultes de ta nourrice, tu entendis au loin quelqu'un t'appeler. Tu essayais de te concentrer davantage, est-ce que tu imaginais ? Non, quelqu'un était en train de t'appeler. Quelqu'un te cherchait donc ? Tu relevais la tête. Tu reconnaissais la voix d'un homme. Un homme te cherchait ? Sa voix était familière... Très familière. Et d'un coup, tu compris assez vite qui était cette personne qui te cherchait ; tu faisais fi des insultes de ta nourrice et essayais de parler.
- Au.. Augustin... Dis-tu en murmurant.
Tu n'arrivais pas à parler plus fort. Tu étais terrifiée donc tu n'arrivais plus à porter ta voix ; tu tentais une nouvelle fois de l'appeler mais toujours en vain... Tu fermais les yeux en essayant de rassembler ton courage. Tu ne pouvais pas, non... tu ne devais pas rester dans cette situation ! Tu te mordis la lèvre inférieure pour te mettre un coup de fouet.
- Augustin !! Je suis là ! Augustin !
» Sherlock (www.)
- Spoiler:
- Code couleur de la nourrice : #009999
Si vous avez besoin de l'utiliser sachant qu'elle dira que des saloperies... pas besoin de mon accord/avis.
Théoxane dialogue en LightSlateGray
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Thorn Solberg
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Re: [Attaque évent] Révélation
Mar 2 Nov - 21:56
Thorn savait qu'il était en danger dans ce zoo face à une bête enragée, mais il ne s'attendait pas à se tenir face à un danger encore bien plus grand : celui de se trouver face à la jeune Nessa. Il était persuadé que cette malchance était due à cette personne et pourtant, l'horloger n'était pas superstitieux ou croyant. La pauvre était pourtant quelqu'un de gentil et qui travaillait dur, Thorn avait un grand respect pour ce genre de personne.
— J’essaye d’aller voir ce qui se passe ! Vous savez de quoi il s’agit ?
— Je vais bien, je n'ai rien vu, juste entendu des rugissements, nous ne devrions pas rester ici plus longtemps. Allons-y !
A peine il eut le temps de s'éloigner avec elle que les derniers passants le bousculèrent jusqu'à le faire tomber par terre. Pourtant, Thorn était quelqu'un de grand et imposant, c'est pour dire à quel point la foule n'en avait rien à faire de lui en courant de toute leur force. Il n'y avait à présent plus personnes à part eux sur les lieux. Ils devaient se presser avant qu'un autre malheur ne leur tombe dessus. A terre, il regarda ses mains, elles s'étaient abîmées à cause du contact violent avec le sol, il perdit un peu de peau, mais rien de bien méchant. En revanche, son pantalon s'était ouvert au niveau de son genou droit et il saignait abondamment alors que la douleur n'était pas si intense que cela. Cela devenait gênant et il n'avait rien pour essuyer, absorber le sang. Il vérifia son gousset, il n'avait rien et soupira de soulagement.
Soudain, Thorn fut surpris par l'arrivée soudaine d'une inconnue, elle portait un costume rouge semblable à l'aspect d'une coccinelle. Il l'avait déjà vu aux informations et des clients lui avaient racontés ses exploits. Pas de toute, il avait désormais en face de lui une héroïne : La charmante Lady Bug. Elle lui tendit la main qu'il prit et fut relevée avec une tel facilité que cela surprit Thorn. Cette femme était en possession d'une grande force physique et pas seulement.
— Excusez-moi, mais il y a un gorille qui court dans ce parc, je dois vous évacuer au plus vite. D’ailleurs, vous n’avez rien tous les deux ? Vous semblez blessés…
— J'ignore ce qu'il se passe dit Thorn, mais c'est en train de s’aggraver, un peu plus que cela même.
Sa voix avait pris la consistance du plomb. Sa tension était contenue là, dans ces rugissements destructeurs. Son regard de glace se plongea dans ceux de Lady Bug.
— Je suis seulement blessé au genou droit, mais rien de grave. Peut-on faire quelque chose pour vous aider ?
Thorn ne savait pas trop quoi faire à part fuir, mais s'il y a la moindre aide possible alors il se porterait volontiers, même si cela impliquait de se mettre en danger. Il avait comme une confiance naturelle envers cette jeune femme qui le poussa à lui venir en aide. Il réfléchit un instant, bien plus serein qu'il y a quelques minutes et proposa.
— Peut-être que nous pouvons aller trouver des fusils hypodermiques pour administrer des tranquillisants à la bête sauvage ?
Il proposa cette idée, il n'avait aucune idée de si cela fonctionnerai étant donné qu'ils avaient à faire à un animal sauvage akumatisé.
— J’essaye d’aller voir ce qui se passe ! Vous savez de quoi il s’agit ?
— Je vais bien, je n'ai rien vu, juste entendu des rugissements, nous ne devrions pas rester ici plus longtemps. Allons-y !
A peine il eut le temps de s'éloigner avec elle que les derniers passants le bousculèrent jusqu'à le faire tomber par terre. Pourtant, Thorn était quelqu'un de grand et imposant, c'est pour dire à quel point la foule n'en avait rien à faire de lui en courant de toute leur force. Il n'y avait à présent plus personnes à part eux sur les lieux. Ils devaient se presser avant qu'un autre malheur ne leur tombe dessus. A terre, il regarda ses mains, elles s'étaient abîmées à cause du contact violent avec le sol, il perdit un peu de peau, mais rien de bien méchant. En revanche, son pantalon s'était ouvert au niveau de son genou droit et il saignait abondamment alors que la douleur n'était pas si intense que cela. Cela devenait gênant et il n'avait rien pour essuyer, absorber le sang. Il vérifia son gousset, il n'avait rien et soupira de soulagement.
Soudain, Thorn fut surpris par l'arrivée soudaine d'une inconnue, elle portait un costume rouge semblable à l'aspect d'une coccinelle. Il l'avait déjà vu aux informations et des clients lui avaient racontés ses exploits. Pas de toute, il avait désormais en face de lui une héroïne : La charmante Lady Bug. Elle lui tendit la main qu'il prit et fut relevée avec une tel facilité que cela surprit Thorn. Cette femme était en possession d'une grande force physique et pas seulement.
— Excusez-moi, mais il y a un gorille qui court dans ce parc, je dois vous évacuer au plus vite. D’ailleurs, vous n’avez rien tous les deux ? Vous semblez blessés…
— J'ignore ce qu'il se passe dit Thorn, mais c'est en train de s’aggraver, un peu plus que cela même.
Sa voix avait pris la consistance du plomb. Sa tension était contenue là, dans ces rugissements destructeurs. Son regard de glace se plongea dans ceux de Lady Bug.
— Je suis seulement blessé au genou droit, mais rien de grave. Peut-on faire quelque chose pour vous aider ?
Thorn ne savait pas trop quoi faire à part fuir, mais s'il y a la moindre aide possible alors il se porterait volontiers, même si cela impliquait de se mettre en danger. Il avait comme une confiance naturelle envers cette jeune femme qui le poussa à lui venir en aide. Il réfléchit un instant, bien plus serein qu'il y a quelques minutes et proposa.
— Peut-être que nous pouvons aller trouver des fusils hypodermiques pour administrer des tranquillisants à la bête sauvage ?
Il proposa cette idée, il n'avait aucune idée de si cela fonctionnerai étant donné qu'ils avaient à faire à un animal sauvage akumatisé.
~ Attaque Event ~ Révélation !
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Invité
Re: [Attaque évent] Révélation
Lun 8 Nov - 11:26
Le désespoir et la panique m'avait envahis, où était-elle ? Je cherchais dans tous les recoins du zoo alors que le cri bestial avait retentis et que la foule me gênait. Certains me prenait pour un sauveur, un militaire qui irait botter les fesses d'un gros singe. Ce n'était pas mon travail, pas du tout, en faite, ça l'aurait été si un membre de la famille des Salois n'était pas actuellement dans ce parc, avoir avoir miraculeusement disparu.
« Théoxane ! »
Je tentais encore de l'appeler vainement, commençant clairement à désespérer. Est-ce le destin ? Vais-je revivre ce cauchemar encore une fois, cette fois-ci non pas avec un soldat mais une jeune fille innocente ? Non, je ne laisserais pas cela se produire, je redoublais de vigilance, prenant une grand inspiration pour écouter, observer autour de moi, peut être était-elle blessée ? Inconsciente ? Je devais me concentrer, je devais la retrouver.
Le cri du faucon retentis, il l'avait trouvé, entendu son cri, je levais ma tête vers lui qui volait en rond au dessus de Théoxane, dieu merci heureusement qu'elle avait criée, sinon je n'aurais jamais pu la trouver. Le faucon restait en vol stationnaire le temps que j'arrive et je ne mis pas longtemps avant de me précipiter vers elle et mon faucon qui redescendit lorsque je fus proche pour venir se poser sur la rambarde du dossier d'un banc à côté.
« Théoxane tu vas bien ?! »
J'étais heureux de la voir et particulière inquiet. Je voulais l'aider à se relever, voir si tout allait bien pour elle mais ma vision me fit des tours. Cette femme, Elois m'avait parlé de cette dame, c'était une proche de la famille, tout particulièrement de sa petite sœur : celle qui l'avait élevée comme une mère. Pourquoi elle était là, non, pire, pourquoi elle insultait la personne qu'elle voyait comme sa fille.
Comme un réflexe militaire, je m'étais mis entre Théoxane et elle, serrant les poings et fronçant les sourcils. Au vue de sa position et des larmes, je savais très bien qu'elle n'allait pas bien, et cette femme en était responsable, je ne comprenais pas, pourquoi elle faisait ça.
« Pourquoi faites-vous ça ? Ne voyez-vous pas qu'elle est à bout ? »
C'était étrange, mais j'étais incapable de dire pourquoi. Mon faucon avait une attitude hostile face à la femme devant moi, voyait-il quelque chose que je ne pouvais pas voir ?
« Théoxane ! »
Je tentais encore de l'appeler vainement, commençant clairement à désespérer. Est-ce le destin ? Vais-je revivre ce cauchemar encore une fois, cette fois-ci non pas avec un soldat mais une jeune fille innocente ? Non, je ne laisserais pas cela se produire, je redoublais de vigilance, prenant une grand inspiration pour écouter, observer autour de moi, peut être était-elle blessée ? Inconsciente ? Je devais me concentrer, je devais la retrouver.
Le cri du faucon retentis, il l'avait trouvé, entendu son cri, je levais ma tête vers lui qui volait en rond au dessus de Théoxane, dieu merci heureusement qu'elle avait criée, sinon je n'aurais jamais pu la trouver. Le faucon restait en vol stationnaire le temps que j'arrive et je ne mis pas longtemps avant de me précipiter vers elle et mon faucon qui redescendit lorsque je fus proche pour venir se poser sur la rambarde du dossier d'un banc à côté.
« Théoxane tu vas bien ?! »
J'étais heureux de la voir et particulière inquiet. Je voulais l'aider à se relever, voir si tout allait bien pour elle mais ma vision me fit des tours. Cette femme, Elois m'avait parlé de cette dame, c'était une proche de la famille, tout particulièrement de sa petite sœur : celle qui l'avait élevée comme une mère. Pourquoi elle était là, non, pire, pourquoi elle insultait la personne qu'elle voyait comme sa fille.
Comme un réflexe militaire, je m'étais mis entre Théoxane et elle, serrant les poings et fronçant les sourcils. Au vue de sa position et des larmes, je savais très bien qu'elle n'allait pas bien, et cette femme en était responsable, je ne comprenais pas, pourquoi elle faisait ça.
« Pourquoi faites-vous ça ? Ne voyez-vous pas qu'elle est à bout ? »
C'était étrange, mais j'étais incapable de dire pourquoi. Mon faucon avait une attitude hostile face à la femme devant moi, voyait-il quelque chose que je ne pouvais pas voir ?
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Papillon
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Re: [Attaque évent] Révélation
Jeu 11 Nov - 21:45
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Théoxane de Salois
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Re: [Attaque évent] Révélation
Ven 12 Nov - 19:33
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Révélations
Tu voulais être une super-héroïne, eh bien voilà qui est fait. Tu étais recroquevillée sur toi-même et pendant un bref instant, tu te demandais comment et pourquoi tu étais dans cette situation... Et puis, tu réfléchis. Tu t'étais confiée à Adrien concernant ce "secret". Est-ce qu'il avait vendu la mèche à quelqu'un ? Était-ce de sa faute si tu te retrouvais dans cette situation ? Non... Non... Il ne te ferait jamais ça ! Pas Adrien.
Tu secouais négativement la tête. Non, non, ce n'était pas possible qu'il ait vendu la mèche... Pas ton Adrien, ton meilleur ami de toujours, ton frère quasiment. Tes pensées furent d'un seul coup stoppées par une voix qui te semblaient familière et qui t'appelaient pas ton nom : Augustin te cherchait. Tu l'appelais à ton tour et rassurée de le voir à tes côtés ; tu laissais échapper quelques larmes sous le coup de la pression.
Toujours assise au sol, tu regardais Augustin d'un coin de l'œil qui semblait avoir reconnu la silhouette qui te parlait aussi mal : Elois lui avait parlé de ta nourrice qui était presque comme ta mère. Tu remarquais qu'il s'interposait entre toi et la silhouette avec un réflexe militaire, demandant les raisons de toute cette histoire. Tu grelottais pendant un court instant... Tu ne savais même pas si la silhouette allait répondre.
- J'ai besoin de Ladybug. Théoxane doit le faire. C'est tout ce qu'il me faut. Théoxane, transforme toi en Ladybu....
Elle s'arrêtait d'un seul coup. Tout était sans dessus-dessous dans ce zoo et tu te sentais coupable car tu étais à l'origine de tout ceci ! Si tu n'avais pas crié haut et fort que tu étais Ladybug, cette personne ne s'en serait pas pris à toi et aux personnes autour de toi. Tu te relevais, avec difficulté en prenant appui sur le mur... Tu regardais tout ce qu'il se passait aux alentours, les yeux rougis par les larmes. Tu pris la main d'Augustin pour attirer son attention.
- Augustin... Toutes... Toutes ces personnes sont en danger à cause de moi. Il faut les mettre en sécurité ! Allons les aider, s'il te plait !!
Tu tenais la main d'Augustin dans la tienne et tu essayais de le tirer en dehors de cette ruelle... Peut-être que cette odieuse silhouette vous laisserait tomber et qu'elle ne s'occupera plus de toi. Mais il y avait beaucoup de monde qui étaient de danger, vous deviez les aider !
Tu secouais négativement la tête. Non, non, ce n'était pas possible qu'il ait vendu la mèche... Pas ton Adrien, ton meilleur ami de toujours, ton frère quasiment. Tes pensées furent d'un seul coup stoppées par une voix qui te semblaient familière et qui t'appelaient pas ton nom : Augustin te cherchait. Tu l'appelais à ton tour et rassurée de le voir à tes côtés ; tu laissais échapper quelques larmes sous le coup de la pression.
Toujours assise au sol, tu regardais Augustin d'un coin de l'œil qui semblait avoir reconnu la silhouette qui te parlait aussi mal : Elois lui avait parlé de ta nourrice qui était presque comme ta mère. Tu remarquais qu'il s'interposait entre toi et la silhouette avec un réflexe militaire, demandant les raisons de toute cette histoire. Tu grelottais pendant un court instant... Tu ne savais même pas si la silhouette allait répondre.
- J'ai besoin de Ladybug. Théoxane doit le faire. C'est tout ce qu'il me faut. Théoxane, transforme toi en Ladybu....
Elle s'arrêtait d'un seul coup. Tout était sans dessus-dessous dans ce zoo et tu te sentais coupable car tu étais à l'origine de tout ceci ! Si tu n'avais pas crié haut et fort que tu étais Ladybug, cette personne ne s'en serait pas pris à toi et aux personnes autour de toi. Tu te relevais, avec difficulté en prenant appui sur le mur... Tu regardais tout ce qu'il se passait aux alentours, les yeux rougis par les larmes. Tu pris la main d'Augustin pour attirer son attention.
- Augustin... Toutes... Toutes ces personnes sont en danger à cause de moi. Il faut les mettre en sécurité ! Allons les aider, s'il te plait !!
Tu tenais la main d'Augustin dans la tienne et tu essayais de le tirer en dehors de cette ruelle... Peut-être que cette odieuse silhouette vous laisserait tomber et qu'elle ne s'occupera plus de toi. Mais il y avait beaucoup de monde qui étaient de danger, vous deviez les aider !
» Sherlock (www.)
- Spoiler:
- Code couleur de la nourrice : #009999
Si vous avez besoin de l'utiliser sachant qu'elle dira que des saloperies... pas besoin de mon accord/avis.
Théoxane dialogue en LightSlateGray
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Maeline Dave
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Re: [Attaque évent] Révélation
Sam 20 Nov - 15:21
- Nous pouvons tenter. Dans le cas contraire, j’activerai mon luckycharm. Mais pour cela, je vais avoir besoin de vous deux. Reprit-elle, avant de poursuivre. Vous allez venir avec moi.
Dans un élan de de souplesse, la jeune héroïne parisienne prend Thorn dans ses bras et se précipite au poste d’observation. Elle s’en va chercher également la jeune fille qui l’accompagnait pour les mettre à l’abri.
Ladybug sort alors son yoyo mais sans qu’elle ne sache pourquoi, elle s’arrête directement avant de faire son geste. Elle se retourne en souriant tendrement, et d’un air si réconfortant, elle leur demande :
- D’ailleurs, je pourrais savoir vos noms ?
Une fois après avoir entendu ces noms qui raisonnent encore dans sa tête, elle finit par leur répondre.
- Je vois, ne vous inquiétez pas, je vous protègerai coûte que coûte.
D’un air déterminé, elle s’en alla à la recherche de cette créature. Il n’était pas si compliqué de la retrouver au vu du nombre de choses cassées qu’elle avait laissée derrière elle. C’est alors que la jeune fille aux yeux d’azurs la perçoit, et se met immédiatement en face de celle-ci.
Encore une fois, les coups semblaient puissants, dont il était impossible d’esquiver. Ladybug se met alors sur un lampadaire et réfléchie quelques secondes jusqu’à ce qu’une idée un peu farfelue lui vienne en tête.
C’est alors que l’héroïne parisienne tente alors d’attirer la bête vers le point de rendez-vous. Malgré les cris et les rugissements, cette dernière lui balance alors son objet magique comme pour l’embêter.
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