Re: Un visiteur inconnu [PV : Sorin Greylord]

25/08/2022

Un visiteur inconnu

Juleka profitait de sa glace dans un silence qui restait vraiment présent. De toute façon, elle ne voyait pas vraiment ce qu’elle pourrait dire. Alors, si elle n’avait rien à dire...et bien, elle ne disait alors rien, c’était mieux ainsi que de ne parler pour ne rien dire. Elle ne regardait même pas le jeune homme qui lui avait offert cette glace, comme cacher derrière sa frange. D’une certaine façon c’était vraiment le cas, mais elle n’y pensait pas, c’était une action qui était tellement naturelle pour elle. Son regard était simplement poser sur le sol à ses pieds. Quand il le lui avait demandé, elle lui avait dit que ce n’était pas une bonne idée d’aller nager comme ça dans la Seine. Il lui demanda alors à aller au parc en disant qu’il y avait une fontaine là-bas et elle s’accorda quelques instant de réflexion.

Et bien, ce n’était pas comme si elle avait vraiment quelque chose à faire ce jour-là… Heureusement d’ailleurs, elle ne savait pas si elle aurait été capable de faire face avec cette chaleur. Cela pouvait éventuellement lui changer les idées et elle avait alors simplement hocher la tête avant de se redressée, puis, elle avait lissé le bas de sa tunique avant de repousser ses cheveux en arrière d’un simple mouvement de tête. Pendant ce temps, Sorin avait remis son T-shirt et elle avait compris qu’il se sentait mal à l’aise quand aux regards qui pouvaient se poser sur lui. Elle ne leur portait pas vraiment attention, puisque la plupart du temps, elle se faisait oublier. Il lui demanda encore une fois de venir, précisant cette fois qu’elle se sentait mal à l’aise et elle avait alors simplement hoché la tête en unique signe de son accord quand à tout cela. Il lui pris la main, la prenant un peu par surprise avant de commencer à l’entraîner. Elle se laissa donc entraîner, lui emboîtant le pas, sans broncher.

Il l’entraîna loin dans les rues de paris, bien plus loin qu’elle ne l’aurait fait habituellement à pieds. Est-ce qu’il se rendait seulement vraiment compte de la distance dans laquelle elle se faisait trimbaler comme ça ? Elle commençait à avoir mal au bras, mais pour autant, elle ne pipa pas le moindre mot, se contentant de masser son bras quand il la relâcha enfin. C’était un peu douloureux… Elle ne dit rien, mais elle avait tout de même les sourcils froncés, un peu mécontente de ce trimbalage quand elle avait accepté et qu’ils auraient eut tout le temps d’y aller plus tranquillement, sans être trop touché par la chaleur comme maintenant qu’il l’avait fait marcher vite.

Il lui avait alors demandé ce qu’elle voulait faire et elle l’avait regardé avec un visage plus dur maintenant. Elle était visiblement mécontente de ce qui venait de se passer. Elle se passa alors une main dans les cheveux pour les repousser dans son dos alors qu’elle s’accorda quelques instants pour reprendre son souffle avant qu’elle ne le lui réponde, d’une voix toujours marmottante :

« Je ne sais pas, je n’avais rien prévu pour aujourd’hui, j’avais préféré ne rien prévoir et simplement improvisé... »

Et avec tout ça, sa glace avait en partie fondu sur sa main de libre maintenant, puisqu’elle n’avait clairement pas pu la manger en marchant. Elle lécha alors le contenu de la glace pour essayer de palier à ça, puis, elle fouilla dans sa poche pour en sortir un mouchoir. Elle se débrouilla pour en sortir un avant d’essuyer sa main comme elle le pouvait, ce n’était pas très agréable, mais ce n’était pas vraiment des plus grave. Il faudrait probablement qu’elle la rince quand sa glace serait terminée… D’ailleurs, elle allait bientôt en entamer le cornet. Enfin, pour le moment, elle chercha du regard un banc à l’ombre, quelque part où elle pourrait simplement s’installer et souffler un peu sans avoir à se faire le moindre soucis. Elle ferma les yeux un instant pour se donner du courage quand à ce qu’il allait pouvoir se passer tout en rejetant cette légère irritation qui se formait en elle.

Codage par Libella sur Graphiorum

Des regards insistants, des messes basses, des rires énervants, Sorin avait fini par craquer, il n'en pouvait plus d'un tel comportement. Il avait la pénible impression d'être surveillé, l'une des pires choses. A la longue, ça en devenait étouffant, oppressant. Ces émotions se seraient transformées en colère sans une réaction de sa part. Le prince de la nature avait eut la bonne idée de prendre les devants, les choses en mains. Il s’était vite relever du banc et s’était permis d'entraîner Juleka avec lui dans les rues de paris. Il avait agit par instinct, il s’était senti menacer, c’était normal or il sentit un nouveau problème naitre. Il venait de sa nouvelle rencontre celui ci, la jeune femme aux cheveux bicolors n’avait pas vraiment apprécier d’être trimballer de la sorte dans les rues de la capitale et ce sans doute à cause de cette chaleur infernale. A l’instant ou il s’en aperçu, le prince de la nature l’avait laché, s’était retourné vers elle d’un air inquiet: Elle avait les sourcils froncés et son aura avait changé par rapport à tout à l’heure. Sorin hocha les épaules, riva les yeux vers le sol, honteux de son comportement. Il allait prendre la parole or elle le devança. Il s’était attendu a une petite engueulade de sa part, une remarque mais rien de cela ne sortit de sa bouche. Elle répondit juste à la demande de sorin, qui ne savait comment le prendre. Soit elle ne lui en voulait pas vraiment ou soit elle n’osait rien dire de crainte d'abîmer leur amitié naissante. Elle avait enterré le sujet qui fâchait, sorin n’allait pas s’en plaindre. Au contraire, il s’était jeter sur l’occation, avait répondu avec une motivation débordante

“Avec la chaleur.. “

Sorin s’était fait une amie, du moins il le cru mais il était en panne d’inspiration sur leur programme de la journée. Il n’avait pas l habitude de rester avec quelqu un aussi longtemps, était plus un grand solitaire sur les toits de paris. Il cherchait une occupation en vain autour de lui, repenssa qu’il devait aussi prendre en compte la chaleur. Il y avait des boutiques de souvenirs, des restaurants, des bars et une grande statut autour d’eux, rien de franchement inspirant.

“ Je suis vraiment désolé pour tout à l’heure, je ne me sens jamais bien dans la foule ..”

Sorin voulait mettre les choses à plat avec elle et grignoter sur le temps en attendant de trouver de l’inspiration. A l’évidence, ce quartier ne lui inspirait rien, aucune bonne idée lui vint en tête. Il enchainait les choux blancs, fini par enfoncer ses deux mains dans ses poches, se remettre en marche d’un air grognon. Il fit les cents pas autour de Juleka, se gratta trois, quatre fois derrière la nuque. Ca sentait l’ennuie et la mauvaise humeur, il était à deux doigts de trouver une excuse bidon pour prendre congé de la demoiselle, rentrer chez lui ou aller se mettre à l’ombre en haut d’un arbre.

“ Je viens de me souvenir d’un petit parc au frais ou il y a des animaux si tu veux ? a moins que tu as une autres idées. “

Cette fois ci, le coeur sauvage ne fit pas la même erreur, laissa le libre arbitre

25/08/2022

Un visiteur inconnu

Juleka ne se souciait pas vraiment de ce qui se passait autour d’eux. C’était quelque chose qui lui venait de plus en plus naturellement. Il l’avait alors encore trimbaler pour l’emmener où il voulait se rendre. La jeune femme n’avait pas vraiment apprécier d’être entraîner comme cela, cela se voyait à son expression, même si ce n’était pas aussi visible que ça. Le jeune homme l’avait finalement lâcher et elle avait machinalement masser son bras endolorie par le tiraillement passé. Enfin, elle ne voulait pas en parler pour le moment, alors elle s’était contenter de répondre à sa question passé, marmonnant toujours, comme elle en avait l’habitude, qu’elle le veuille ou non. Il avait alors commenter que c’était avec la chaleur et la demoiselle aux cheveux bicolore hocha alors simplement la tête. Oui, c’était la chaleur qui l’avait pousser à ne pas vraiment avoir de planning pour la journée. La jeune femme n’en dit pas plus que ça, elle ne savait pas vraiment quoi dire de plus. La jeune femme acheva ce qui restait de sa glace et chercha des yeux la fontaine, avant qu’elle ne se rapproche finalement de cette dernière.

Il ne se passa que quelques instants de plus avant qu’il ne dise qu’il ne se sentait jamais bien dans la foule… C’était comme ça qu’il justifiait son geste ? Elle secoua doucement la tête, sans pour autant insister plus longtemps que ça. La jeune femme ferma les yeux quelques instants, puis, elle laissa échapper un petit soupire avant d’avoir un petit signe de la main avant de reprendre la parole, toujours d’un voix qui restait à peine audible.

« Ça va… Mais tu sais, à Paris, il y aura toujours du monde, où que tu ailles... »

C’était une capitale après tout, il fallait s’y attendre. Enfin, Juleka, les main toujours trempées par l’eau de la fontaine remis tranquillement sa frange, même si ce fut un geste assez vain puisqu’elle revint aussitôt masqué son visage. Elle ne chercha pas à s’en débarrasser, elle avait l’habitude qu’elle soit ainsi et à dire vrai, cela ne la dérangeait pas plus que cela. Alors que le silence recommençait à s’installer, le jeune homme le brisa encore une fois pour reprendre la parole. Il lui dit alors qu’il se souvenait d’un parc qui était au frais et où il y avait des animaux. La jeune femme plissa alors les yeux. Est-ce qu’il voulait parler du parc zoologique du jardin des plantes ? Peu importe, elle hocha la tête pour signifier qu’elle acceptait, même si encore une fois cela voulait dire qu’ils allaient traverser Paris. Elle n’était pas sûre qu’il se rende vraiment compte des distances, mais elle verrait bien… au pire, elle attirerait son attention vers le métro ou les bus en temps voulu… Juleka réajusta machinalement le bas de son haut, puis, elle lui fit signe de passer devant et elle le suivrait. Pour autant, marcher autant par cette chaleur, ce n’était pas forcément la meilleure idée qui soit.. Enfin, ils verraient bien et le mannequin comptait bien faire une pause pour souffler avant de risquer de faire un malaise.

« Fais attention à la chaleur et à la marche, c’est pas très bon... »

C’était un conseil qui revenait souvent, par les jours de fortes chaleurs, mieux valait rester à l’abri du soleil et attendre la fraîche pour faire des activité. La jeune femme à la chevelure bicolore ne s’arrêta par pour autant de marcher… sauf quand ils passèrent devant une boutique qui vendait des bouteilles d’eau. Là, elle en acheta deux. Elle ne savait pas vraiment si ce serait suffisant, mais qui ne tente rien n’a rien. La jeune Couffaine avait alors sourit au jeune homme avant d’en tendre une à Sorin. Cette fois, elle ne prononça pas le moindre mot, cela n’était pas nécessaire après tout.

Codage par Libella sur Graphiorum

Loin d'être stupide, le prince de la nature peinait à se débarasser de sa culpabilité en vers la jeune gothique. Son comportement était reprochable, il aurait compris et accepté une mauvaise réaction de sa part. Sorin s’y était préparé en realité, il avait assez abusé de sa gentillesse. Il avait osé pénétrer dans sa maison sans son autorisation, l avait un peu forcé à rester avec lui et pour finir, l avait entrainer dans les rues de Paris de force et sous cette chaleur infernale. A la longue, c’était normal pour elle d’en avoir marre de lui, de le renvoyer sur les roses pour retourner se mettre à l abri chez elle or elle n’en fit rien. Elle semblait au contraire à l’écoute du coeur sauvage, patiente et désireuse de rester à ses cotés. Le jeune homme aux longs cheveux de jais eut beaucoup de chance d’être tombé sur une personne aussi charmante, ca lui changeait de la plupart des parisiens. Ce fut un poids en moins dans son esprit, une sorte de soulagement, il put passer à autre chose. Il avait eut l’idée d’aller voir les animaux dans un parc sans savoir l’endroit exact: c’était bien sur le fameux parc zoologique du jardin des plantes. Il connaissait juste cet endroit par sa mère et une ou deux rumeurs à son sujet, le prince de la nature n’avait jamais encore eut l’occasion d’y aller faire un tour.. Ca allait être une première pour lui, encore fallait il savoir l’adresse exacte ou le quartier.

Ca allait être une autre histoire, une vraie prise de tête. Le coeur sauvage du attraper son téléphone portable, chercha l’adresse avant de relever les yeux autour de lui à la recherche d’un grand plan de la capitale. Il n y en avait pas ici, il fallait changer de rue. Entre temps, les deux jeunes adolescents passèrent devant une boutique ou il vendait des bouteilles d eau fraiche.
Juleka eut l’idée d’y rentrer pour en acheter deux, une pour elle et une pour un sorin agréablement étonné de ce petit cadeau. Il l’accepta avec un petit rictus sur ses fines lèvres avec une petite accolade amicale au niveau des épaules. Il en fit pas plus, prit une bonne gorgée d’eau bien fraiche.

“ Je crois que c est la .. Non.. Ah mais on est ou?”

La patience du jeune homme aux longs cheveux de jais n’était pas stable, ni solide et encore moins pour ce genre de chose. Il n’aimait pas se perdre dans paris, se prendre la tête à devoir retrouver son chemin. Ca l’irritait au plus haut point. Le pire ? Impossible de reprendre son portable pour allumer son GPS ou appeler sa mere, il n’avait plus de batterie. Il pesta, ruminait dans sa barbe, grogna une ou deux fois en levant les yeux au ciel. Ce fut là ou il vit enfin la solution à son problème, elle était littéralement sous son nez: un magnifique plan de la ville ou tout était bien indiqué. Il appela son interlocutrice de la main, lui fit signe de se rapprocher de lui..

“ On est bien la et on doit aller ici non?”

C’était difficile, il n’était pas sur de lui donc il n avait pas hésité à demander l’avis de Juleka avant d avoir une autre idée.

on peut se servir de ton portable pour y aller ?”

25/08/2022

Un visiteur inconnu

Juleka avait chaud et son chapeau à large bord ne suffisait pas vraiment à lui ramener assez de fraîcheur. La jeune femme se retrouvait pour autant à suivre Sorin dans les rues de Paris, ne se doutant qu’en partie d’où il voulait l’emmener. La jeune femme avait fait une petite pause pour prendre des bouteille d’eau pour eux deux. Pour la remercier, il l’avait pris dans ses bras pour la prendre dans ses bras et Juleka se figea, elle n’était clairement pas habituée à ce genre de comportement venant d’un quasi étranger et elle resta immobile quelques instants. Quand il la relâcha, elle compris bien assez vite qu’ils étaient complètement perdu… Et bien… Cela commençait mal et la jeune femme se passa simplement une main sur le visage, plus ou moins calmement. Encore quelques instants et Sorin appela la demoiselle aux cheveux bicolores devant un plan pour l’aider à se retrouver apparemment. Elle avait regarder autour d’elle un moment, puis, elle avait indiqué un point sur le carte avant de reprendre la parole :

« Je crois qu’on est là plutôt... »

Puis, finalement, il lui avait demander de faire une recherche GPS via son téléphone et elle avait alors simplement hoché la tête. Juleka sorti alors son téléphone et commença à bouger son doigts sur l’écran quelques instants avant d’attendre que l’adresse et par la même occasion la destination ne finisse par se charger. Elle avait alors lentement pivoter sur elle-même pour trouver le chemin qu’il était préférable d’emprunter…. Bien sûr le métro ou les bus pourrait les y mener plus rapidement, mais il préférerait sans doute y aller à pied. Après quelques instants, elle avait finit par indiqué une direction avant de simplement marmonner :

« C’est pas là que ce sera le plus rapide pour s’y rendre… je pense qu’on pourrait passer par des petites rues piétonnes. »

Sans l’ouvrir, Juleka s’était passé la bouteille sur les joues, puis, sus la nuque, dans le calme. La fraîcheur de la bouteille lui faisait vraiment du bien et elle se permis même de laisser échapper un petit soupire de soulagement. La femme mannequin avait alors commencer à avancer, faisant en sorte de rester dans l’ombre autant que possible pour que cette traverser de paris ne soit pas trop étouffante pour elle ou son compagnon de route. Elle ne cherchait pas à faire la conversation, ce serait lutter contre sa nature et elle n’en voyait pas vraiment l’intérêt. En revanche, il y avait certains moment où elle faisait une petite pause pour boire de l’eau fraîche. Cela lui faisait du bien. Ils revinrent ainsi vers les bords de Seine, se dirigeant vers la gare d’Austerlitz. Après plusieurs minutes de marche en plus, ils dépassèrent la Sorbone et aperçurent l’entrée du jardin où se trouvait le Muséum d’Histoire naturel ainsi que l’entrée principale du Parc Zoologique du Jardin des Plantes.

Il n’y avait donc plus qu’à entrer dans le parc pour rejoindre cette entrée… même si Juleka n’était pas sûre qu’ils voient beaucoup d’animaux. Avec cette chaleur, la plupart devait se cacher à l’ombre où dans leurs abris. Juleka indiqua donc simplement la direction à suivre à Sorin avant de soigneusement remettre son téléphone dans sa poche. A moins qu’elle ne prenne des photos des animaux qu’ils pourraient voir, elle n’aurait pas besoin de le sortir après tout. La jeune femme bu quelques gorgées d’eau, prête à payer son entrée elle-même. Après tout, elle ne connaissait pas assez le jeune homme pour pouvoir prévoir ses actions à venir.

Codage par Libella sur Graphiorum

Echec de la quête, un chou blanc en plus dans sa collection, il les collectionnait le pauvre. Il devait en être à son 30ème en l’espace d’un mois. Il avait encore mal lu le plan de la ville, avait mis son index au mauvais endroit. Sa compagne du jour le lui avait bien fait comprendre, il avait de suite retirer son doigt de la et le mit à la bonne place après une poignée de secondes de réflexions. Ce fut la première étape or il se sentit vite inutile, coince. Il n était pas plus avance, il n irait nulle part avec ce fichu plan. La presence de Juleka était à double tranchant. Un bien pour un mal ou l'inverse, sans elle il se serait rapprocher d un passant pour demander son chemin. C était devenu un réflexe, une habitude, sans doute la plus efficace pour se retrouver dans la grande capitale de France or il se retint a le faire pour une bonne raison; ça faisait un peu immature, il voulait prouver a son interlocutrice qu il avait quand même une certaine maturité enfin presque : il avait trouvé comme autre alternative de prendre le portable de la jeune gothique pour se rendre au parc. Elle accepta, trouva vite fait la bonne route. Elle eut même la bonne idée de passer Par les rues piétonnes. Elles étaient certes petites avec parfois des odeurs douteuses ou des impressions et d oppression mais au moins il n' y avait quasiment personne, pas un chat et ils étaient a l' ombre, au frais. Ca faisait du bien, le jeune homme aux longs cheveux de jais pouvait souffler un peu, se reposer de la chaleur. Tout comme juleka, il avait gardé sa petite d eau dans sa main et bu à plusieurs reprises mais a l inverse d elle, Sorin n avait pas pensé à se la coller contre la joue et il le regretta vite en lisant la petite joie dans les yeux de la jeune femme à chaque fois ou elle colla sa propre bouteille sur sa joue.

Arrivé devant le fameux parc, le coeur sauvage eut la mauvaise surprise de devoir payer son entrée et le prix était un peu abusé. Normalement, il ne devrait rien payer, à ses yeux la nature était quelque chose de gratuit et d accessibles pour tout le monde. Il ne dit rien pour autant, la présence de la fille en était encore la cause, se contenta de ravaler son petit agacement et finit par payer sa place à contre coeur. Il prit son ticket pour le mettre dans son petit sac. Une fois rejoint pat Juleka, il pu rentrer dans l’endroit en question.
A ce moment précis, il en oublia tous ses soucis, la chaleur, le bruit de la ville, tout. Il se sentit renaitre, une vague de chaleur monter en lui. Un sourire se dessina sur son visage, il se rapprocha d’une fontaine d’eau au beau milieu du parc. Là ils pouvaient s asseoir, et se rafraîchir avec cette eau clair et froide. Le coeur sauvage fut le premier a le faire.

Ça fait tellement du bien "

il se mouilla les cheveux, le visage et la nuque avant de remplir sa bouteille d' eau sans savoir si l' eau était potable ou non. Il allait bien le voir de toute façon, si jamais il tomberait malade le lendemain, l’eau de cette fontaine

“ Pourquoi tu parles pas très fort ?”

Une question sans aucun jugement, une question dont le but était juste de mieux la connai

25/08/2022

Un visiteur inconnu

Juleka ne pensais pas blessé Sorin, elle habitait Paris depuis toujours, c’était normal pour elle de connaître la ville et surtout de pouvoir s’orienter sur une carte, surtout grâce aux bâtiments qu’il y a dans les alentours de là où elle se trouvait. La jeune femme qui vivait sur une péniche avait donc indiqué la direction qu’ils devaient suivre pour arriver jusqu’à leur objectif du moment. Quand son regard se posa à nouveau sur le garçon, il lui sembla qu’il était un peu abattu et elle se demanda si c’était parce qu’elle s’était retrouver là où il était perdu. Elle le regarda quelques secondes, puis, elle posa doucement une main sur l’épaule de Sorin, comme pour le rassurer. Puis, plus qu’une question, c’était une affirmation qu’elle laissa retentir de sa voix marmonnante.

« Ça va aller, ne t’en fais pas... »

Juleka lui adressa alors un sourire un peu timide avant qu’elle ne hoche simplement la tête. Elle n’insista pas plus que ça sur le sujet et ils se remirent alors à marcher dans la direction où il était prévu qu’ils se rendent tous les deux. Ils arrivèrent finalement au Jardin des Plantes et la jeune femme aux cheveux long réajusta son grand chapeau pour rester à l’ombre. Elle s’était ensuite avancée vers les guichets et avait payé son entrée pour le parc zoologique. Juleka rangea le ticket dans une de ses poches, puis, elle s’éloigna un peu pour laisser l’accès à ceux qui pouvaient être derrière elle. Les arbres les mettaient à l’abri et c’était probablement une bonne chose. Il faisait plus frais ici en tout cas, mais c’était nécessaire pour certains animaux après tout. Il y avait plein d’animaux ici, des reptiles, des araignées, des oiseaux, toutes sortes de choses de la sorte et la jeune femme aux cheveux bicolores ne savait pas par où commencer.

Elle le regarda prendre de l’eau à la fontaine et elle se contenta de boire encore quelques gorgées d’eau dans cette bouteille d’eau fraîche. Elle le laissa faire, restant simplement près de là. Puis, il lui demanda pourquoi elle ne parlait pas fort. Les joues de Juleka se teintèrent de rose à cause d’une certaine gêne. Elle baissa les yeux quelques instants avant de parler, toujours à voix basse et marmonnant plus qu’elle ne parlait réellement :

« Et bien… J’ai toujours eut du mal à m’exprimer et à me faire entendre… Ça n’a pas toujours été facile et même aujourd’hui, cela me demande beaucoup d’efforts. »

Elle baissa les yeux. Elle était comme ça, pourquoi il faudrait qu’il y ait une raison derrière ça ? Elle ne savait pas, mais elle était habituée à ce que les gens ne l’entende pas. Juleka se passa une main dans la nuque avant de décidé de changer de sujet autant qu’elle le pouvait. Elle avait alors reposé son regard sur lui avant de reprendre la parole :

« Tu veux commencer par quoi ? Les oiseaux ? Les reptiles ? Les insectes ? Ou on se contente simplement de passer dans les allées. »

Ils pouvaient aussi aller du coté de la couveuse avec les bébés animaux. Elle ne savait pas si elle y parviendrait, mais quand même. En tout cas, elle allait attendre qu’il lui donne son avis. Elle connaissait assez bien l’endroit puisqu’elle y était venu plusieurs fois de par le passé… Enfin, cela ne l’empêchait pas d’apprécier chacune de ses venues. C’était toujours agréable de passé dans les allées, de plus elle aimait bien voir des animaux qu’on ne voyait pas forcément ailleurs. Enfin, pour le moment, elle attendait simplement ce qu’il pouvait avoir envie de voir en premier.

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Il avait une chance sur cinq d'être malade le lendemain, ce n'était à parier; Il n'aurait du boire cette eau, elle n'était potable. Les yeux du prince de la nature furent attirés par un panneau ou la couleur dominante était le rouge : C'était une sorte d'affiche, un panneau sur lequel il y avait un dessin noir; une personne qui était entrain de boire avec un gros trait rouge dessus. C'était une prévention, une mise en garde pour les visiteurs du parc. Cette nouvelle lui arracha un petit sourire jaune, il s’était sentit bête sur le coup sans pour autant s’affoler ou tomber dans une panique sans fin. Il ne risquait pas grand chose, la jungle lui avait forgé une bonne défense immunitaire. Il s’était choppé de belles maladies pendant l’enfance, buvait son eau un peu partout, le meilleur moyen d’avoir un corps solide à son âge actuel. Il ne tombait presque pas malade en règle général et parvenait à se soigner tout seul comme un grand sans médicament. En prime, il n avait aucun vaccin à jour. Dans le meilleur des cas, il n’aura rien demain et dans le pire, un simple mal de ventre une bonne heure ou deux. Le jeune homme aux longs cheveux de jais enterra cette histoire d’eau pas potable ( aux yeux des autres, lui, il l avait trouvé délicieuse ), riva son attention sur la jeune et belle gothique. Elle avait un magnifique visage et des cheveux à tomber par terre, le coeur sauvage se surpris à avoir ces drôles de pensées. Une question le hantait au sujet de sa voix, elle était dans son esprit depuis le début de leur rencontre. Elle finit par s’échapper de sa bouche, provoqua un petit regret en lui. La réaction de Juleka l’accentua, elle eut les joues rouges, une montée de gêne. Il l avait mis dans l’embarra, une désolation se lu rapidement sur son visage

“ ce n’est rien, je t’entends très bien et c’bien pour mes oreilles !”

Le volume de sa voix était sans doute un défaut, un soucis pour la plupart des gens à l’inverse du jeune coeur sauvage. Il avait une ouie très fine, supportaient peu le bruit et les sons forts. Il finissait par avoir de grosses migraines quand il était prêt de personnes qui parlaient forts. Les deux jeunes gens furent dans l’embarra mais Sorin avait tenté de la réconforter et elle avait vite changé de sujet. Elle voulait bouger, aller voir les animaux. l’enfant de la nature n’était pas contre, ils étaient venus pour ça et il était parvenu à se rafraichir grâce à l eau de la fontaine.

“ Comme tu veux ! je ne dirais pas non pour aller voir les oiseaux”

Sorin pouvait entendre leur chant de la ou ils étaient, cela lui avait donné l’envie de les voir. Ils se rapprochèrent de l’endroit ou l’âme du coeur sauvage se rechauffer de plus en plus.
Une fois arrivé, sur place, le coeur sauvage fut l’homme le plus heureux du monde: Les oiseaux étaient si beau, leur cage était immense. Il les observa avec des yeux pétillants, un gros sourire au lèvre. Sous l’effet de cette joie immense, il avait pris la main de juleka et la balança dans le vide. Elle avait la peau douce, il eut du mal à la lacher.

“ oh, désolé “

25/08/2022

Un visiteur inconnu

Juleka n’était pas là pour le materner, d’ailleurs, elle pensait que malgré l’affiche, ce n’était probablement bien grave de boire cette eau. Ce qui importait vraiment, c’était que Sorin l’avait questionné quand à sa façon de parler. Mal à l’aide, elle lui avait tout de même répondu, aussi honnêtement que possible. Comme si il comprenait sa gêne, il lui certifia que ce n’était rien et qu’il l’entendait très bien, ajoutant même que c’était bien pour ses oreilles. La jeune femme avait alors glissée une mèche de cheveux derrière l’une de ses oreilles tout en lui adressant un sourire reconnaissant. Elle avait du mal à se faire entendre, il n’y avait rien d’atre à dire à ce sujet de toute façon.

Pour changer de sujet, la jeune Couffaine avait proposé divers animaux qu’ils allaient pouvoir aller voir. Elle le laissait choisir, après tout, c’était lui qui avait proposer de venir ici. L’homme opta pour les oiseaux et ils allaient donc aller voir les oiseaux. Elle avait hoché la tête, puis, elle se prépara à aller en direction de la Grande Volière. La femme aux cheveux bicolores ne dit rien de plus que ça et elle se contenta d’avancer tranquillement. Alors qu’ils pouvaient maintenant voir les oiseaux, Sorin se laissa emporter par la vision et elle sentit la main du jeune homme se refermer autour de la sienne et elle s’immobilisa quelques secondes, elle ne s’était vraiment pas attendu à ça. Il s’excusa presque aussitôt alors que, machinalement, les prunelles de la jeune femme s’était posées sur sa propre main, elle ne savait pas vraiment comment réagir face à tout ça. Elle ouvrit et referma sa main à plusieurs reprises avant qu’elle ne relève les yeux vers Sorin, inclinant simplement la tête dans sa direction avant de simplement reprendre la parole, détournant légèrement les yeux :

« C’est pas grave. Tu aimes tellement les oiseaux ? »

Demanda-t-elle en essayant encore une fois de changer de sujet, elle trouvait que c’était préférable que de rester dans une situation qui pourrait être gênante sur certains points. Juleka inspira profondément et se rapprocha d’une des cages, sans qu’elle ne la touche, mais cela suffit pour qu’un des oiseau ne s’envole plus loin dans la cage, comme pour se mettre à l’abri de la mannequin qui ne lui voulait pourtant pas le moindre mal. Ces animaux n’étaient pas vraiment ses préférer, mais elle faisait avec, simplement… Et puis, ils iraient voir d’autres animaux ensuite de toute façon.

Elle regarda l’oiseau encore quelques instants, se demandant ce qu’ils pouvaient ressentir là-dedans… ou même quand ils étaient dans les siens… Elle se mordit alors la lèvre inférieure, puis, encore quelques instants de plus et elle s’éloigna un peu plus de la cage, sans qu’elle ne dise rien de plus que ça, il n’y avait pas grand-chose à dire de toute façon. La jeune mannequin inspira profondément pour se donner autant de courage que possible quand à la suite des évènements. Juleka se plongea quelques instants dans le silence sans même qu’elle ne s’en rende compte. Un hibou se fit entendre et la jeune femme avait tourné les yeux dans sa direction sans trop savoir ce qu’elle pouvait penser de tout ça. Dans le zoo, il y avait quelques boutiques, certaines vendaient de la nourriture ou de la boisson, Certaines autres boutiques renfermaient des goodies en tout genre, des peluches ou ce genre de choses. A l’entrée de la boutique, une pancarte indiquait que les ventes servaient directement au bien-être des animaux. Ce fut sur l’une de ces affiches que le regard du mannequin. Est-ce qu’elle devait prendre quelque chose ? Elle ne savait pas vraiment. simplement ce qu’il pouvait avoir envie de voir en premier.

Codage par Libella sur Graphiorum

Les enfants étaient un cauchemar, un enfer ! Ils étaient si chiants, si bruyants et si casse pieds. Sorin vint d'en faire les frais, à son plus grand désaroi. Deux petits garçons s'étaient mis à courir partout, à hurler dans tous les sens. Ils s’étaient même venus tourner autour de Sorin et Juleka avec des rires énervants. Sorin n’avait aucune patience pour les rejetons de cet âge la, sa réaction fut imédiate. Il avait rugit, lancé des regards noirs avec une aura effrayante pour les faire fuir. Ca marcha, les mômes le dévisageaient et prirent leurs jambes à leur cous. Ils avaient très mal choisi leur moment, le prince de la nature aurait tant voulu profiter du beau spectacle devant lui tout en se rapprochant de la jolie gothique. Cette poignée de main n’était anodine, elle commençait à lui plaire. Elle était belle, douce, calme, les qualités essentiel pour le coeur sauvage, à l’inverse de ces satanées mioches. Il l’avait lâché à un moment donné, le contraire aurait fait louche, avait reprit sa place initiale, à une certaine distance d’elle. Il ne voulait se montrer trop étouffant, oppressant, ce n’était le but. Au départ de ces enfants, il pu se reconcentrer sur les volatils. Il riva ses yeux sur cette grande volière, observa les oiseaux. Deux d’entre eux vinrent se poser sur une branche prêt d’eux, le coeur sauvage tenta de les faire venir à eux en imitant leurs bruits, leurs sons habituels sans grand succès. Il avait beau venir de la nature sauvage, il n’eut pas forcément un bon feeling avec les animaux de Paris, ce n’était les mêmes.

“ Les animaux sont ma famille.”

La joie, le bonheur.
Doux souvenirs d’une ancienne vie.
Les oiseaux étaient porteurs d’espoir, de vie. Leurs couleurs étaient une illumination dans sa vie, leurs chants une mélodies envoutantes. Ce fut un régale, un délice, un paradis comme il n’en avait trouvé à Paris. Le fils de la nature serait resté ici une bonne heure ou deux or il vit son ‘ amie” tourner les talons. Soit elle s’en était lassé ou soit l’appel du shopping avait été plus fort. Le prince de la nature s’était retourné, avec un petit regret, remarqua ou les yeux de la gothique s’était posées.
Boutiques
Souvenir
Attrapes pigeons.
Les mots de sa mère lui revinrent en tête, elle voyait ces endroits d’un mauvais oeil. A juste titre, les produits étaient bien cher, ils avaient tendance à abuser sur les prix. Elle avait plusieurs fois mis en garde Sorin, lui avait plusieurs fois dit de faire attention à son argent. Le prince de la jungle ne l’écouta, une fois de plus, se laissa entrainer avec la jeune fille dans l’une de ses boutiques. Il allait y passer toutes ses économies, il était faible devant toutes ses peluches d animal; ses goodies sur la nature et même des beau t shirt. Il ne se fit prier, se prit deux peluches ( oiseau et lapin), une boule de neige ou il y avait un petit chat blanc à l’intérieur et un grand t shirt ou il y avait un magnifique arbre. Il ne connaissait pas ce monde la mais c’était Yggrasill, l’arbre monde dans les mythes nordiques, celtiques.

‘est ce que ça me va ?”

Il avait fait l effort de l’essayer avant de le prendre mais il hésita, avait peur que le t shirt en question soit trop court, trop serré.

“ tiens, je t’ai pris ça !”

Une petite peluche panda noir et blanc pour elle, dans ses couleurs et tout mignonne ! Un cadeau pour la remercier de le suivre, de sa sympathie .

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