Un visiteur inconnu [PV : Sorin Greylord]

Une belle journée d'été, une de plus! Le soleil était bien haut dans le ciel et les températures étaient inssupportables. L'appartement du jeune sauvage s'était transofrmé en un four géant, c'était l'enfer la dedans. Il ne pouvait pas tenir, il passa donc la plupart du temps sur Paris. A vrai dire, il n'y avait pas mis les pieds pendant trois ou  quatre jour. Il préférait se mettre à l'ombre des arbres, dans les parcs, faisait en sorte de ne pas se faire voir la nuit, en haut des arbres. Sorin cherchait la fraicheur ou les coins humide, cette chaleur sèche le tuait. C'était ça la différence avec la jungle, là ou l'été était plus supportable pour lui. C'était la galère, il ne cessait de boire, de courir dans les boutiques pour s'acheter des bouteilles d'eau ou pleins de petites canettes de soda pouvant se glisser dans ses poches. Au moins il avait tout son temps pour visiter paris, trainer un peu partout.  Hormis les soda, il mangeait beaucoup de glace, d'ailleurs il ne cessait de suivre andré à la trace. Il fit quelques rencontre, des gens très charmants l'aidant à s'adapter. Une ou deux fois, il vit cette étrange personne en rouge et noir sauter sur les toits de paris avec un autre jeune homme en noir. Il avait tenté de s'en approcher, de leur poser une tonne de questions mais curieusement il n'arrivait jamais à les rattraper, ils allaient trop vite pour lui.

En ce début d’après midi, après un petit kebab dans les rues de Saint michel, L’enfant de la nature avait décidé de se promener sur les bords de seines. Il avait tout le temps du monde, en profita pour faire une hate devant la magnifique cathédrale de notre dame le temps de manger sa fameuse glace. Sorin avait encore trouvé André le glacier des amoureux sur le pont des amoureux, il y était souvent.  Le jeune sauvage était célibataire, ce qui valut plusieurs petites blagues de sa part à ce sujet. Il se demandait à quel moment il allait rencontrer sa moitié, un sujet un peu délicat pour sorin. Ca le mettait mal à l’aise, il avait finit rouge comme une tomate.  

Sur la seine, le prince de la nature avait souvent remarqué la présence d’étranges objets sur l’eau. A ses yeux, c’était des toutes petites maisons ou les gens y venaient de temps en temps. Ils avaient attiré  son attention et il en avait parlé à sa mère.Celle ci avait rigolé et lui avait expliquer que c’était juste des bateaux pour se promener sur le fleuve.

“que.. Owo!”

Il avait eut la bonne et mauvaise idée de sauté habilement sur l’un d’entre eux par simple curiosité or il commença déjà a avoir le mal de mer. Le bateau suivait le mouvement de l eau de la seine or le prince de la nature n’avait pas l’habitude de se retrouver sur ce genre de surface instable.

“ ca bouge !! “ Fit il a la jeune femme en face de lui d’un air paniqué “ Bonjour sorin ! je visitais..”
 
Une secousse, un mouvement et le prince de la nature se vit pris d’un haut de coeur, d’une soudaine envie de vomir. Il se mit la main sur la bouche et alla se pencher par dessus la rembarde. Quelle idée, de voir l eau bouger empirer les choses, il se redressa sur le champs, se retourna vers la fille avec un mine déconfite :

‘ Je suis malade ici, aurais tu un médicament ou un verre d’eau?”

Cette chaleur et ce terrible mal de mer le rendirent malade comme un chien au point ou le prince de la nature eut un dérèglement de son corps. Ce dernier était disfonctionnel comme c'était ainsi, en particulier ses sens. En temps normal, il aurait senti et entendu cette jeune femme venir à lui, même mieux: il aurait tout de suite deviner sa présence sur le bateau et n'aurait sans doute pas mis les pieds. Sorin  avait cru l'endroit désert, sa présence fut une surprise, un étonnement. Il n’avait su comment réagir, le plus sage aurait été de partir sur le champs sans demander son reste or sa logique le retint. Il était rentrée dans une propriété privé et dans sa vision à lui semblable aux animaux, il avait eut l’impression d avoir mis les pieds sur un territoire déjà pris or c’était l’une des pires choses au monde. Sorin, lui même détestait cela, de voir quelqu’un rentrer dans sa chambre personnelle sans son autorisation, même sa propre mère. Il pouvait comprendre le ressentit de cette fille, en fut désolé or un obstacle s’était mis sur sa route: Ce fichue malaise à rester  sur un bateau, cette horrible envie de vomir à chaque mouvement de cet objet flottant. Il était dans une situation critique, avait demandé à contre coeur à son interlocutrice soit de l eau bien fraiche pour faire partir ses envies de vomir ou soit un médicament contre le mal de tête or elle trouva une autre solution tout aussi efficace. Suite a une bref présentation de sa part, dont son prénom était à la fois très classe et très étrange,  elle s’approcha de lui en mettant la main dans le dos pour le faire descendre du bateau. Un mal pour un bien, il se laissa diriger sans rien dire sur la terre ferme. La, Juleka l’invita à aller se poser sur un petit banc. Là, le prince de la nature ne se fit pas prier une minute de plus pour retirer son t shirt, il l avait limite déchirer tellement ou il avait tiré dessus. Sans aucune pudeur, il s’était mis torse nu devant son interlocutrice comme si c’était tout à fait normal. Elle pouvait voir un corps bien musclé, bien dessiné même s’il avait quelques cicatrices par ci par là. C’était des marques faites dans la jungle, durant certains de ces parcours difficiles. Ca pouvait lui donner un certain charme au prêt de cette fille ou lui faire peur. En tout cas, le pauvre coeur sauvage en  pouvait plus, cette chaleur lui était insupportable. Il commençait à sentir des goutte de sueur lui couler sur le long du visage, à avoir soif. Le point positif fut son état de santé qui s’était grandement amélioré. Sur la terre ferme, prêt de l’eau, sorin pu respirer le bon  air frais.

“ Oui, je vais mieux merci”

En revanche, Sorin était gêné d’avoir pénétrer sur son bateau sans sa permission, il accepta et comprit de suite le petit sermon de son interlocutrice. Elle et sa famille étaient gentille selon elle sauf que ce n’allait pas être le cas de tout le monde, le jeune sauvage devra faire plus attention à l’avenir.

“ comment je peux me faire pardonner ? tu as soif ? Glace?”

Avec cette chaleur, c’était la meilleure chose à faire pour se rafraichir, par contre le prince de la nature ne comptait pas aller chez andre. Il en avait un peu marre, il voulait changer un peu, surtout qu’il avait vu un nouveau marché de glace non loin de la.

“ je te l offre si tu veux” 

Plus il regarda cette fille, plus elle l’intriguait. Il y avait quelque chose en elle qui sortait de l’ordinaire.

Au fond de son esprit, le prince de la nature se jura de ne plus mettre le pied sur un bateau avant bien longtemps. Ce ne fut guère une très bonne expérience pour lui. Il avait tout de suite eut le mal de mer et la chaleur ne l’avait pas aidé à aller mieux. Ce fut même le contraire, il s’était senti très malade, impossible d’aller mieux avant d’avoir regagner la terre ferme. Dans sa mauvaise aventure, il y avait une chose de bien: Sorin avait fait une bonne rencontre, était tombé sur une jeune femme très charmante, avenante prête à l’aider. Cela lui fit plaisir, lui changea de la plupart des parisiens. En général, de ses expériences, ils étaient impatients, s’énervaient trop vite sans prendre le temps d’expliquer les choses, de les poser. Le sauvage avait remarqué cela d’avantage dans les transports en commun, le metro ou le bus et a certaines heures de la journée, en début de matiné et en fin d’après midi. Il fut tiré de ses pensées par son interlocutrice, elle avait sacrifié son verre d eau pour lui. Il baissa les yeux sur elle avec un sourire en coin, prit délicatement le verre dans sa main gauche et le bu d’une seule traite. Le liquide était bien frais, ça lui faisait du bien. Il n y en avait pas beaucoup dans ce verre mais ça lui permit quand même de sentir cette petite baisse de température dans son corps brun. Il avait réussi a garder son bronzage de la junge, ça allait sans doute disparaitre cet hiver ou il allait sans doute rester enfermé chez lui ou en cours à cause du mauvais temps et du froid. Le jeune sauvage passa vite fait sa main sur sa bouche pour s’essuyer les quelques gouttes restantes, tendis le verre vide a la fille avec un petit geste de la tête en guise de remerciement. Suite à cela, il avait eut l’idée de lui proposer une glace bien fraiche pour mettre pour de bon un terme à cette chaleur infernale, elle accepta mais sans mot elle retourna sur le bateau. Sorin la laissa y aller seule, s’était relever du banc en s’étirant. Il pensa à cette jeune femme, se fit un petit avis sur elle. Elle sortait du lot de sa tenue vestimentaire et de son caractère: elle était timide, elle ne parlait pas beaucoup. Le dernier point était savoureux pour le prince de la nature, lui non plus n’aimait pas parler et avait beaucoup de mal à supporter les gens bavards.

A son retour, il lui indiqua du doigt la direction de la boutique de glace ( il s’était lassé des bonnes glace d andré et ne voulait passer une heure à lui courrir a prêt dans toute la capitale ), la laissa rentrée la première. Il leva les yeux sur les grandes affiches ou il y avait les différentes glace. Il y en avait beaucoup à choisir, beaucoup de nouveaux parfums introuvables chez andré le glacier. Le coeur sauvage eut du mal a faire son choix, hésité entre différents nouveaux parfums. Il passa la main dans le dos de Juleka, la poussa un peu vers le vendeur pour lui faire comprendre de choisir avant lui.

“Une glace aux fruits rouges”

Finit il par dire une fois la jeune fille servi. Il sorti ensuite son porte monnaie pour payer les deux glaces comme promis et donna un euro de plus pour le service et l’acceuil. Il sorti avec sa nouvelle amie de la boutique, se dirigea vers un autre banc pour s’asseoir et déguster sa glace. Elles étaient meilleures que chez andré en concluait il après une bonne bouchée. Il riva de temps en temps son regard sur la jeune femme sans dire un mot. Sorin n avait rien à dire, aimait de temps en temps profiter du calme et il ne voulait pas non plus la déranger dans sa dégustation

A l'intérieur de la boutique de glace, le prince de la nature avait remarqué une chose assez gênant: Les personnes avaient rivé des regards insistants sur eux. C'était devenu monnaie courante à paris, les gens avaient du mal avec le physique et la façon d'être de Sorin or ce dernier avait du mal à s'y habituer. Ca le gênait, il se sentait pas à l'aise pour une bonne raison; Il avait souvent peur de faire quelque chose de travers, de ne pas  être civilisé comme sa mère le voulait depuis son retour  à paris. Un grand sujet de discussion, de dispute, sorin avait du mal, restait un enfant de la nature. Il ne tenait pas tellement à abandonner certaines habitudes prises de la jungle, en particulier celle de marcher pied nu et de grimper dans les arbres des parcs. La chaleur était encore étouffante dans la boutique, ce pourquoi il s'empressa de commander sa glace et de ressortir avec son amie sans demander son reste, se prendre la tête avec les autres clients. A ses yeux, ça n'en valait la peine, il n'était pas la pour ça et il ne voulait pas non plus devenir la bête noire du quartier. Sur le bas de la porte, Sorin eut une petite hésitation sur leur prochaine destination. Deux choix lui étaient possibles, soit ils retournaient manger leur glace sur les rives de la seine ou soit dans un parc à l'ombre des arbres. Cette chaleur était intense, étouffante, elle ne partait pas, au final le jeune sauvage opta pour revenir sur leur pas.

Ils prirent un autre banc, laissa par politesse Juleka s’installer en première,  se mit a coté d’elle et commença à déguster sa glace. Elle était bonne, encore plus dans ce silence. Sa  nouvelle amie n’était bavarde et c’était tant mieux, sorin aimait les gens calme, ca lui permettait aussi de mieux apprécier leur présence, leur aura. Un petit vent de rien de tout passa dans le coin, vint faire danser les cheveux du prince de la nature. A ce propos, sorin vint de souvenir de son petit élastique dans son sac qui lui permettait de s’attacher les cheveux. Il n’aimait pas trop ça or là c’était différent, il aurait moins chaud avec une queue de cheval. Il posa sa glace sur le coté, glissa sa main dans son petit sac pour se saissir de son objet plastique. Un mouvement de tête, il attrapa sa chevelure entière et la coinça dans son élastique. Ca allait un peu mieux, sorin avait les cheveux très longs voir trop long pour son âge mais pour rien au monde il les couperait. Il y tenait trop, ça faisait parti de lui, de sa personne et ça lui rappelait en quelque sorte la vie de la jungle. Un petit sourire de coin, Sorin reprit sa glace en main, décida de la finir d’une seule bouchée.

“ je cherche le froid, j ai chaud…” 

Un petit sourire au coin de la bouche, il posa ses yeux sur son interlocutrice durant un long moment. Sorin avait l’air pensif comme s’il venait d avoir une idée.

“ tu penses qu’on peut se baigner “ 

Fit il timidement en pointant le fleuve de paris du doigt ? En tous les cas, droit ou pas, le prince de la nature allait sans doute y faire un tour dans l’heure qui suie, l’eau fraiche lui faisait envie, cette glace n’avait pas réussi à le rafraichir comme il se devait.

Elle était si mignonne à parler tout doucement, aux yeux du prince de la nature, il trouvait cela adorable. Elle lui donnait une impression de ne pas vouloir déranger, d'être timide comme tout. Son comportement aussi y était pour beaucoup; elle ne parlait pas beaucoup, se faisait discrête dans ses faits et gestes. Ce fut une chose très appréciable, Sorin était loin de s'en plaindre. Au contraire, ça lui faisait du bien ce calme, le changer de l'enfer parisien. Les mondes, les bruits des voitures, le bordel sans fin dans les transports en commun, le métro surtout, ça devenait très fatiguant pour lui à la longue. Pour sa santé mentale, des gens comme Juleka lui faisait du bien et il y avait aussi une autre raison à cela. Le prince de la nature n'était pas doué pour communiquer avec les mots, il était beaucoup plus à l'aise avec les gestes et les expressions du regard. Il arriva à faire passer ses émotions et parfois ses pensées et désirs du moment comme en ce moment même ou il lui avait fait comprendre son désir d'aller se baigner.

La voix de Juleka était basse or le prince de la nature l'entendait et la comprenait bien, à aucun moment il n avait eut besoin de lui demander de se répéter et cela grâce à son ouie surdévelloppé.
Une mauvaise idée de se balader sur la seine à cause des bateaux, le jeune homme aux longs cheveux de jais comprit vite le pourquoi du comment. Un simple coup d'oeil sur le grand fleuve et il vit le danger ; Il y avait plusieurs bateaux de toutes les tailles qui circulaient sur l eau à une vitesse assez impressionnante. C'était un peu une route sur l eau et vu la taille de ses engins, c'était effectivement une mauvaise idée d'y aller nager. Ca saurait un coup de se cogner la tête contre une de ces machines et finir noyer au fond de l eau. Sorin devait oublier, enterré cette envie d'eau dans les abimes de son esprit, s'en faire une raison. Il jeta un dernier coup d'oeil sur la seine, baissa ensuite les yeux vers le sol avec un petit soupire.Une petite déception se fit ressentir en lui, disparue cependant vite en laissant place à une curieuse motivation. Une nouvelle idée avait germé dans son esprit, beaucoup moins risqué, plus accessible.
«  allons dans le parc ! Il y a une fontaine ! »
Le but était vraiment de trouver un endroit au frais, contre cette chaleur infernale. A cause d'une poignée de passants au regard noir ou trop insistants, qui en disaient long sur leurs pensées, Sorin se força à remettre son t shirt. Les gens étaient gêné de le voir torse nu et il avait peur d avoir une alerte à la police à cause de sa tenue. Une fois fait, il jeta un petit coup d'oeil à ce groupe de jeunes non loin d'eux.

«  viens ? Je me sens pas à l'aise ici »

Il s'était empressé de se relever du banc, de prendre la jeune fille par la main et la traina dans les rues de paris. Ils étaient pas loin du quartier saint michel, ils passèrent devant la magnifique cathédrale de notre dame de Paris. Là ou le prince de la nature se jura de grimper jusqu'au sommet pendant une nuit, rien pour le plaisir de se dégoudir les jambes.

«  tu veux faire quoi finalement ? »
Dit il en lachant enfin la main de son interlocutrice, en rivant une nouvelle fois toute son intention sur elle et en étant plus sur que d'aller dans le parc était une bonne idée