Invité
Livia Di Santi
Lun 25 Juil - 8:25
Livia Di SantiRegardez c'est Batman ! Ah non, c'est juste une bonne sœur.
Harley Quinn - DC Comics
Olivia/Liv
22.12.98
Féminin
Vilain
Herboriste Master Botanique
Miraculous : Réservation [ ] Aléatoire [x]
Miraculous réservé
Akumatisation : [x] Oui [ ] Non
On t'appelle comment sur la toile ? Toile
Ton p'tit âge ? 29 ans et 22 mois
Comment nous as-tu connu ? DC !!
Un commentaire ? Merci d'avoir accepté ma demande
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Caractère
« L’argent ne fait pas le bonheur… Faux ! Ça c'est des salades qu'on raconte aux pauvres pour pas qu'ils se révoltent ! »
Livia est issue d’une famille aussi riche que célèbre. Italo-espagnole, elle parle couramment les langues de ses origines en plus du français et de l’anglais. Son éducation stricte lui a appris les bonnes manières, elle sait comment converser et se tenir peu importe la classe sociale de son interlocuteur. Cependant, savoir n’est pas synonyme de vouloir, cela ne veut donc pas dire qu’elle se tient correctement tout le temps, surtout depuis qu’elle a quitté le cocon familial. En clair, Livia fait ce qu’elle veut, quand elle le veut. N’ayant manqué de rien, cela en n’a pas fait pour autant une capricieuse, du moins avec ses parents. A présent grande solitaire se débrouillant par ses propres moyens et une partie de son héritage, elle se montre toutefois impatiente et exigeante envers les autres. Si les choses ne se déroulent pas comme elle le souhaiterait, elle peut facilement se montrer boudeuse et blasée. Les tâches ménagères et la cuisine ne sont pas son fort, elle regrette d’ailleurs de ne plus avoir de personnel pour ces choses-là.
« Tu es un peu jeune pour comprendre certaines choses. Mais, tu es assez grande pour que je te parle du masque. »
Son statut social lui a également appris à porter un masque quoiqu’il arrive. Par exemple, lors d’un dîner mondain, si un convive la contrarie, il fallait toujours arborer un large sourire et avoir suffisamment de répartie pour l’envoyer paître poliment. Elle sait manier les mots avec intelligence, bien qu’actuellement une insulte en guise de réponse ferait plus l’affaire. Malgré qu’elle soit moins douée que sa sœur aînée sur cet exercice, elle reste tout de même cultivée derrière ses airs de blonde écervelée et maladroite. Après le décès de sa mère, on lui a répété à plusieurs reprises de rester digne, lui interdisant d’exprimer sa peine en public. Livia a alors appris à sourire qu’importe les épreuves et même s’il doit être accompagné de larmes. On lui dit souvent qu’elle ferait une joueuse de poker hors pair.
« Non, je vis avec cette amertume depuis trop longtemps, je me sentirais seul sans elle. »
Mélancolique, nostalgique, Livia regrette sa vie d’avant avec sa maman. Elle était la prunelle de ses yeux, son mentor, son pilier. La tristesse l’avait remplacée. Quelque part, elle se refuse d’être heureuse car ce serait, pour elle, abandonner le souvenir de sa mère. Elle se rebelle quand on la cherche un peu trop, c’est pour quoi elle évite les conflits. Sortir de ses gonds est pour elle signe de faiblesse. Alors la fuite, c’est ce qu’il y a de mieux. « Faites comme vous voulez, on va ou vous voulez » On pourrait croire qu’elle veut faire plaisir à tout le monde, ce qui lui donne un côté fort sympathique aux yeux des autres mais c’est surtout qu’elle ne veut pas se casser la tête avec ce genre de décision futile. Tout lui va, ça ne changera pas sa vie si on mange plutôt Burger King que McDo.
« À chaque fois que je vois son regard de biche effarouché, je vous jure, je n'ai qu'un regret : celui de ne pas être un chasseur. »
Elle ne supporte pas de voir les gens tristes ou les écouter se plaindre. Il n’y a pas mort d’homme ! Pour elle il faut savoir relever la tête. La mort d’un être cher est la seule raison pour laquelle on puisse se sentir mal et malgré tout, il faut, à son sens, vivre avec et garder cette peine, ce vide pour soit. C’est comme la religion. Livia est pudique et demande aux autres de l’être. Pour elle, sa façon de penser et de procéder est la bonne, à vous de vous en accommoder. Têtue, elle ne perdra pas son temps à expliquer le pourquoi du comment, et prendra la fuite. En amitié, il n’y a pas de seconde chance, soit tu marches avec elle, soit tu disparais de sa vie, sans aucun regret. Cela ne veut pour autant pas dire qu’elle évite les gens. Elle aime sortir, profiter des beaux endroits, flirter comme toute jeune fille de son âge. Elle se montre alors souriante, drôle à sa manière, et de bonne compagnie. Finalement, elle se laisse porter par la vie, au jour le jour, de rencontre en rencontre.
« Parce que vivre loin de ses amis et de ses repères, c’est prendre le risque de se perdre. »
Livia aimait plus que tout sa famille et plus particulièrement sa mère qui lui donnait tant d’amour. Son père quant à lui, se concentrait sur l’éducation de Raffaella, sa grande sœur ce qui créa en elle un soupçon de jalousie. D’ailleurs, l’un des rares cadeaux de son père fût un clown en porcelaine ; depuis Livia en a une peur bleue. Quant à sa belle-mère, si elle pouvait la mettre en sacrifice pour ramener sa maman à la vie… Par la force des choses, des choix des uns et des autres, Livia se retrouva seule dans une famille pleine de conflits d’intérêt, de trahison et d’abandon. Alors elle composa avec et prit le risque effectivement de se perdre. Son style vestimentaire a changé en même temps qu’elle découvrait la vie loin de ses proches. Ce côté rock, parfois pop, en fonction de ses humeurs plus ou moins sombres, reflète plus ou moins ce qu’il se passe à l’intérieur. A 23 ans, elle n’a pas fait le deuil sur la perte de sa mère et temps qu’elle ne l’aura pas fait, elle restera dans cette spirale d’incompréhension. C’est une jeune fille tourmentée, qui essaie tant bien que mal de ne pas perdre pied.
« Pourquoi tu me fais ça ? J’ai de bonnes notes. Je ne me drogue pas. Je ne suis jamais revenue à la maison enceinte. »
C’est ce qu’elle demanda lorsque son père, après sa dépression à la suite du décès de sa mère et du départ de Raffaella, se mit à lui mettre beaucoup plus de pression et d’exigence. Sa belle-mère était forcément derrière tout cela. Raffaella fut évincée, c’était évidemment le tour de Livia. Lui qui ne s’était jamais occupé d’elle, laissant sa femme gérer la petite princesse de la famille, pendant qu’il déversait son savoir sur Raph, découvrait qu’il avait une seconde fille et qu’il serait peut-être temps qu’elle serve à quelque chose d’autre que faire joli. En tout cas, depuis son départ dû principalement à ces histoires de famille, elle s’est effectivement tournée légèrement sur la drogue. Ayant été jusqu’au Master en Botanique pour enfin se rabattre sur l’Herboristerie, Livia aime les plantes et surtout les bonnes herbes… Elle est incollable sur le sujet. Des vertus aux vices, de la graine à la fleur, de la plantation à la récolte. Ça c’était pour le côté drogue, concernant les notes, oui elles sont restées excellentes puisqu’elle décrocha son Master sans grande difficulté et enfin sur la femme enceinte… Livia déteste les enfants. Trop souvent durant les dîners mondains ils voulaient toucher ses cheveux, ou ses belles robes, jouer avec son maquillage, la comparant à une princesse Disney… Livia s’est promis de ne jamais avoir d’enfant !
« Comment le poisson se fait attraper ? En ouvrant la bouche. »
Contrairement à sa sœur Raffaella, Livia ne fuit pas sa famille, elle a pris son envol au plus grand bonheur de sa belle-mère et garde un léger lien téléphonique avec ces derniers quelque part dans son répertoire entre « Papa » et « Connasse ». Son passé elle l’accepte et n’est pas gênée d’être une Di Santi, bien qu’elle ne le cri pas sur tous les toits, cela à quelques avantages quand elle veut manger à l’œil dans un grand restaurant, car tout le monde le sait, plus on est riche, moins on paye. Cependant, elle ne s’étale pas sur sa vie, ou sur ses sentiments. Elle a se coté mystérieux et solitaire. Difficile de savoir ce qu’elle pense réellement. Elle aime dévier l’attention par son humour et sa pseudo joie de vivre que partager ses déceptions et ses peurs.
« J’adore la thérapie. C’est comme une émission télé où je suis l’invitée, et le seul sujet est moi ! »
Une habitude de Princesse lui est tout de même restée. Livia aime être le centre de l’attention. Cela n’en fait pas une bavarde qui va raconter sa vie pour autant, mais elle aime se faire remarquer justement par son coté mystérieux et décalé. Sa thérapie à elle c’est la musique. Elle chante dans un groupe de pop rock qui fait un peu parler de lui sur Paris. Alors elle est loin d’être une star car en 2022, les groupes de pop rock ne sont pas ce qu’il y a de plus vendeur, mais il arrive régulièrement que le groupe se produit lors d’évènement locaux ou festival. C’est sa façon à elle, et au groupe, d’exprimer ses sentiments les plus profonds, de faire part de sa créativité. Une thérapie sous des sons de guitares et de batterie. Elle ne serait pas contre une certification Twitter/Instagram. C’est une passionnée, par la musique mais aussi par le sport. Livia est une grande gymnaste et depuis toute petite. De l’artistique au rythmique, elle fut formée aux différentes pratiques jusqu’à ce qu’elle se spécialise au rythmique avec pour outil, le ruban.
Livia est issue d’une famille aussi riche que célèbre. Italo-espagnole, elle parle couramment les langues de ses origines en plus du français et de l’anglais. Son éducation stricte lui a appris les bonnes manières, elle sait comment converser et se tenir peu importe la classe sociale de son interlocuteur. Cependant, savoir n’est pas synonyme de vouloir, cela ne veut donc pas dire qu’elle se tient correctement tout le temps, surtout depuis qu’elle a quitté le cocon familial. En clair, Livia fait ce qu’elle veut, quand elle le veut. N’ayant manqué de rien, cela en n’a pas fait pour autant une capricieuse, du moins avec ses parents. A présent grande solitaire se débrouillant par ses propres moyens et une partie de son héritage, elle se montre toutefois impatiente et exigeante envers les autres. Si les choses ne se déroulent pas comme elle le souhaiterait, elle peut facilement se montrer boudeuse et blasée. Les tâches ménagères et la cuisine ne sont pas son fort, elle regrette d’ailleurs de ne plus avoir de personnel pour ces choses-là.
« Tu es un peu jeune pour comprendre certaines choses. Mais, tu es assez grande pour que je te parle du masque. »
Son statut social lui a également appris à porter un masque quoiqu’il arrive. Par exemple, lors d’un dîner mondain, si un convive la contrarie, il fallait toujours arborer un large sourire et avoir suffisamment de répartie pour l’envoyer paître poliment. Elle sait manier les mots avec intelligence, bien qu’actuellement une insulte en guise de réponse ferait plus l’affaire. Malgré qu’elle soit moins douée que sa sœur aînée sur cet exercice, elle reste tout de même cultivée derrière ses airs de blonde écervelée et maladroite. Après le décès de sa mère, on lui a répété à plusieurs reprises de rester digne, lui interdisant d’exprimer sa peine en public. Livia a alors appris à sourire qu’importe les épreuves et même s’il doit être accompagné de larmes. On lui dit souvent qu’elle ferait une joueuse de poker hors pair.
« Non, je vis avec cette amertume depuis trop longtemps, je me sentirais seul sans elle. »
Mélancolique, nostalgique, Livia regrette sa vie d’avant avec sa maman. Elle était la prunelle de ses yeux, son mentor, son pilier. La tristesse l’avait remplacée. Quelque part, elle se refuse d’être heureuse car ce serait, pour elle, abandonner le souvenir de sa mère. Elle se rebelle quand on la cherche un peu trop, c’est pour quoi elle évite les conflits. Sortir de ses gonds est pour elle signe de faiblesse. Alors la fuite, c’est ce qu’il y a de mieux. « Faites comme vous voulez, on va ou vous voulez » On pourrait croire qu’elle veut faire plaisir à tout le monde, ce qui lui donne un côté fort sympathique aux yeux des autres mais c’est surtout qu’elle ne veut pas se casser la tête avec ce genre de décision futile. Tout lui va, ça ne changera pas sa vie si on mange plutôt Burger King que McDo.
« À chaque fois que je vois son regard de biche effarouché, je vous jure, je n'ai qu'un regret : celui de ne pas être un chasseur. »
Elle ne supporte pas de voir les gens tristes ou les écouter se plaindre. Il n’y a pas mort d’homme ! Pour elle il faut savoir relever la tête. La mort d’un être cher est la seule raison pour laquelle on puisse se sentir mal et malgré tout, il faut, à son sens, vivre avec et garder cette peine, ce vide pour soit. C’est comme la religion. Livia est pudique et demande aux autres de l’être. Pour elle, sa façon de penser et de procéder est la bonne, à vous de vous en accommoder. Têtue, elle ne perdra pas son temps à expliquer le pourquoi du comment, et prendra la fuite. En amitié, il n’y a pas de seconde chance, soit tu marches avec elle, soit tu disparais de sa vie, sans aucun regret. Cela ne veut pour autant pas dire qu’elle évite les gens. Elle aime sortir, profiter des beaux endroits, flirter comme toute jeune fille de son âge. Elle se montre alors souriante, drôle à sa manière, et de bonne compagnie. Finalement, elle se laisse porter par la vie, au jour le jour, de rencontre en rencontre.
« Parce que vivre loin de ses amis et de ses repères, c’est prendre le risque de se perdre. »
Livia aimait plus que tout sa famille et plus particulièrement sa mère qui lui donnait tant d’amour. Son père quant à lui, se concentrait sur l’éducation de Raffaella, sa grande sœur ce qui créa en elle un soupçon de jalousie. D’ailleurs, l’un des rares cadeaux de son père fût un clown en porcelaine ; depuis Livia en a une peur bleue. Quant à sa belle-mère, si elle pouvait la mettre en sacrifice pour ramener sa maman à la vie… Par la force des choses, des choix des uns et des autres, Livia se retrouva seule dans une famille pleine de conflits d’intérêt, de trahison et d’abandon. Alors elle composa avec et prit le risque effectivement de se perdre. Son style vestimentaire a changé en même temps qu’elle découvrait la vie loin de ses proches. Ce côté rock, parfois pop, en fonction de ses humeurs plus ou moins sombres, reflète plus ou moins ce qu’il se passe à l’intérieur. A 23 ans, elle n’a pas fait le deuil sur la perte de sa mère et temps qu’elle ne l’aura pas fait, elle restera dans cette spirale d’incompréhension. C’est une jeune fille tourmentée, qui essaie tant bien que mal de ne pas perdre pied.
« Pourquoi tu me fais ça ? J’ai de bonnes notes. Je ne me drogue pas. Je ne suis jamais revenue à la maison enceinte. »
C’est ce qu’elle demanda lorsque son père, après sa dépression à la suite du décès de sa mère et du départ de Raffaella, se mit à lui mettre beaucoup plus de pression et d’exigence. Sa belle-mère était forcément derrière tout cela. Raffaella fut évincée, c’était évidemment le tour de Livia. Lui qui ne s’était jamais occupé d’elle, laissant sa femme gérer la petite princesse de la famille, pendant qu’il déversait son savoir sur Raph, découvrait qu’il avait une seconde fille et qu’il serait peut-être temps qu’elle serve à quelque chose d’autre que faire joli. En tout cas, depuis son départ dû principalement à ces histoires de famille, elle s’est effectivement tournée légèrement sur la drogue. Ayant été jusqu’au Master en Botanique pour enfin se rabattre sur l’Herboristerie, Livia aime les plantes et surtout les bonnes herbes… Elle est incollable sur le sujet. Des vertus aux vices, de la graine à la fleur, de la plantation à la récolte. Ça c’était pour le côté drogue, concernant les notes, oui elles sont restées excellentes puisqu’elle décrocha son Master sans grande difficulté et enfin sur la femme enceinte… Livia déteste les enfants. Trop souvent durant les dîners mondains ils voulaient toucher ses cheveux, ou ses belles robes, jouer avec son maquillage, la comparant à une princesse Disney… Livia s’est promis de ne jamais avoir d’enfant !
« Comment le poisson se fait attraper ? En ouvrant la bouche. »
Contrairement à sa sœur Raffaella, Livia ne fuit pas sa famille, elle a pris son envol au plus grand bonheur de sa belle-mère et garde un léger lien téléphonique avec ces derniers quelque part dans son répertoire entre « Papa » et « Connasse ». Son passé elle l’accepte et n’est pas gênée d’être une Di Santi, bien qu’elle ne le cri pas sur tous les toits, cela à quelques avantages quand elle veut manger à l’œil dans un grand restaurant, car tout le monde le sait, plus on est riche, moins on paye. Cependant, elle ne s’étale pas sur sa vie, ou sur ses sentiments. Elle a se coté mystérieux et solitaire. Difficile de savoir ce qu’elle pense réellement. Elle aime dévier l’attention par son humour et sa pseudo joie de vivre que partager ses déceptions et ses peurs.
« J’adore la thérapie. C’est comme une émission télé où je suis l’invitée, et le seul sujet est moi ! »
Une habitude de Princesse lui est tout de même restée. Livia aime être le centre de l’attention. Cela n’en fait pas une bavarde qui va raconter sa vie pour autant, mais elle aime se faire remarquer justement par son coté mystérieux et décalé. Sa thérapie à elle c’est la musique. Elle chante dans un groupe de pop rock qui fait un peu parler de lui sur Paris. Alors elle est loin d’être une star car en 2022, les groupes de pop rock ne sont pas ce qu’il y a de plus vendeur, mais il arrive régulièrement que le groupe se produit lors d’évènement locaux ou festival. C’est sa façon à elle, et au groupe, d’exprimer ses sentiments les plus profonds, de faire part de sa créativité. Une thérapie sous des sons de guitares et de batterie. Elle ne serait pas contre une certification Twitter/Instagram. C’est une passionnée, par la musique mais aussi par le sport. Livia est une grande gymnaste et depuis toute petite. De l’artistique au rythmique, elle fut formée aux différentes pratiques jusqu’à ce qu’elle se spécialise au rythmique avec pour outil, le ruban.
Physique
Livia pratique depuis son plus jeune âge la Gymnastique artistique et rythmique, de ce fait elle dispose d’un petit gabarit svelte et souple. Du haut de son mètre soixante-deux, Livia use et abuse des talons hauts pour remonter sa taille. Elle préfère les talons épais et compensés aux aiguilles, mais elle est également à l’aise dans ce genre de pair. Coté vestimentaire, Livia porte essentiellement des vêtements de marque et de haute couture. Habituée depuis sa tendre enfance aux rendez-vous mondains, et vivant dans la haute bourgeoisie, il n’y a pour elle aucune limite de prix lorsqu’il s’agit de se vêtir.
Seulement, depuis qu’elle a quitté le cocon familial pour vivre seule, Livia arbore un style beaucoup plus rock, parsemé de couleurs éclatantes pour raviver le tout. Les tons sont généralement les mêmes mais elle peut facilement passer d’une petite robe élégante à un legging et gros sweat à capuche au rythme de ses humeurs. Les bijoux sont aussi des éléments à ne pas négliger, elle adore s’accessoiriser ce qui donne l’impression qu’elle n’est jamais habillée pareil.
Concernant son visage, ses traits sont fins, ses lèvres bien dessinées en forme de cœur arrondi sont à peine pulpeuses. Sa peau est relativement blanche, mais ses origines italo-espagnoles font qu’elle bronze facilement au soleil. Chose d’ailleurs qu’elle n’aime pas trop. Elle aime voir son teint aussi blanc qu’une poupée en porcelaine et n’hésitera pas pour utiliser un fond de teint un zest plus clair que ce qu’il lui faudrait réellement. Ses couleurs fétiches sont le rose e le vert pâle qu’on peut retrouver dans ses vêtements, dans son maquillage et parfois même sur ses cheveux blonds. Livia est une adepte de la coloration, ou plutôt de la décoloration, rendant son blond naturel plus clair que ce qu’il devrait être. Enfin, pour ne pas abîmer davantage ses cheveux, elle a opté pour l’utilisation des colorations éphémères qu’elle met généralement au bout de ses longueurs.
Enfin, Livia adore se parfumer et possède une collection incroyable de flacons. En fonction de son humeur, de ses envies et de l’univers qu’elle veut incarner dans un ensemble, elle aime s’amuser à trouver la touche qui rendra son passage inoubliable. Qu’il soit visuel ou olfactif, pour elle, tout réside dans l’originalité ainsi que dans la FinalTouch’ ! A Paris, Livia passe inaperçue car tous les styles se mélangent, en revanche au travail on peut se demander qu’est-ce qu’elle fiche ici bien qu’elle ait largement les compétences.
Seulement, depuis qu’elle a quitté le cocon familial pour vivre seule, Livia arbore un style beaucoup plus rock, parsemé de couleurs éclatantes pour raviver le tout. Les tons sont généralement les mêmes mais elle peut facilement passer d’une petite robe élégante à un legging et gros sweat à capuche au rythme de ses humeurs. Les bijoux sont aussi des éléments à ne pas négliger, elle adore s’accessoiriser ce qui donne l’impression qu’elle n’est jamais habillée pareil.
Concernant son visage, ses traits sont fins, ses lèvres bien dessinées en forme de cœur arrondi sont à peine pulpeuses. Sa peau est relativement blanche, mais ses origines italo-espagnoles font qu’elle bronze facilement au soleil. Chose d’ailleurs qu’elle n’aime pas trop. Elle aime voir son teint aussi blanc qu’une poupée en porcelaine et n’hésitera pas pour utiliser un fond de teint un zest plus clair que ce qu’il lui faudrait réellement. Ses couleurs fétiches sont le rose e le vert pâle qu’on peut retrouver dans ses vêtements, dans son maquillage et parfois même sur ses cheveux blonds. Livia est une adepte de la coloration, ou plutôt de la décoloration, rendant son blond naturel plus clair que ce qu’il devrait être. Enfin, pour ne pas abîmer davantage ses cheveux, elle a opté pour l’utilisation des colorations éphémères qu’elle met généralement au bout de ses longueurs.
Enfin, Livia adore se parfumer et possède une collection incroyable de flacons. En fonction de son humeur, de ses envies et de l’univers qu’elle veut incarner dans un ensemble, elle aime s’amuser à trouver la touche qui rendra son passage inoubliable. Qu’il soit visuel ou olfactif, pour elle, tout réside dans l’originalité ainsi que dans la FinalTouch’ ! A Paris, Livia passe inaperçue car tous les styles se mélangent, en revanche au travail on peut se demander qu’est-ce qu’elle fiche ici bien qu’elle ait largement les compétences.
Histoire
Olivia Bella Di Santi est née le 22 décembre 1998 à Milan en Italie, durant les vacances de noël. La famille résidait en France, plus précisément à Monaco où elle passa la majeure partie de sa jeunesse. Elle est la seconde et dernière fille de la célèbre et fortunée famille « Di Santi ». Son père, ayant souhaité avoir que des fils pour perpétuer l’héritage familial de père en fils, s’est rapidement fait à l’idée et prit sous son aile l’aînée, Rafaella comme future PDG de l’entreprise. Durant toutes ces années, Olivia n’a pas subi de pression de la part de son père en dehors de toutes les obligations mondaines et de son éducation stricte. Sa mère, Maria s’est alors prise d’une affection particulière envers sa fille quelque peu délaissée.
La benjamine développa une légère jalousie envers sa grande sœur ce qui lui valut le doux surnom de « Livia » qui veut dire « Jalouse ». Depuis son plus jeune âge, elle pratiqua la Gymnastique artistique et rythmique. Un sport où elle excelle et qu’elle partageait essentiellement avec sa mère qu’elle aimait tant rendre fière. Jusqu’à ses dix-sept ans, sa vie était proche d’un conte de fée. L’argent ne manquait pas ce qui facilitait son éducation notamment en fréquentant de belles écoles privées, une pratique régulière de son sport préféré et autres extras comme l’apprentissage de plusieurs langues, des balades à cheval, l’apprentissage de l’art et des bonnes manières.
Les Di Santi côtoyaient la haute bourgeoisie Française, Italienne et Espagnole. Pendant que son père accompagné de Rafaella se rendaient à des dîners professionnels importants, Livia et sa mère profitaient quant à elles des défilés de haute couture et de brunchs aux cotés, parfois, de célébrités. Sa vie était, à ses yeux, parfaite si on enlevait cette histoire de jalousie envers sa sœur. Elle ne la détestait pas pour autant, mais elles ne partageaient pas les mêmes choses. Finalement, elles apprenaient à se connaitre à travers les règles, tirées à quatre épingles, mais pas à travers le cœur.
Aimant la nature et les fleurs, Livia rêvait toute petite de devenir fleuriste. Mais chez les Di Santi, on se doit de viser plus haut, et c’est au collège que son futur professionnel se dessina avant même l’obtention du brevet des collèges ; elle deviendra Botaniste. Elle poursuivit son cursus scolaire en ayant de très bons résultats tant sur les notes que sur le comportement. Livia était constamment complimentée par les professeurs et parfois prise pour exemple. Jusqu’à l’obtention de son baccalauréat où sa mère perdit la vie à la suite d’un accident vasculaire cérébral.
Son monde s’écroula. Livia ne parvint jamais à s’en remettre. Sa vie merveilleuse se transformait en un véritable cauchemar et malheureusement, ce n’était que le début. Son père sombra dans une lourde dépression, les affaires étaient de ce fait en danger. Quant à Raffaella, elle prit sur ses épaules, en plus de sa propre douleur, celle de son père et de sa petite sœur. Mais Raffaella eut la lourde tâche de prendre également en main l’entreprise familial et dû rapidement quitter le pays, laissant derrière elle sa famille.
Livia se retrouvait seule avec son père qui ne la laissa pas respirer. Ses notes dégringolaient car elle n’avait plus cœur à l’ouvrage, mais son paternel ne lui faisait pas de cadeau. Elle se reprit en main, cachant sa peine aux yeux de tous car apparemment, cela n’était pas digne d’une Di Santi. Trop rapidement à son gout, Antonio lui ramena une belle-mère. C’était le coup de massue. En plus de ne pas pleurer, elle ne devait plus en parler. Son seul lien avec Maria, sa défunte mère était le sport et ses larmes. Elle vécut en prime le départ de Raffaella comme un abandon supplémentaire. Sa sœur coupa brutalement les ponts aux suites de la trahison de son père et de son époux qui lui vola les droits sur l’entreprise Santi.
L’entente n’était pas bonne entre la jeune fille et l’épouse de son père. Sa belle-mère était étrangement jalouse, Livia représentait la dernière trace d’un amour véritable. Et bien-sûr, son père ne voulait rien savoir et cédait à tous ses caprices. Livia ne pouvait que se taire et encaisser, se noyant dans ses études et le sport. Sa vie d’avant lui manquait terriblement. Les années défilèrent sans grand rebondissement. Antonio offrit un appartement à Paris à la benjamine sous les conseils de son épouse. Un cadeau empoisonné car c’était certainement pour l’éloigner physiquement de ses manipulations.
Loin de sa famille recomposée, Livia sauta le pas en modifiant administrativement son prénom pour retirer le « O » de Olivia. Elle voyait cela comme une preuve supplémentaire qu’elle n’oubliait pas sa douce mère. Enfin, cette année elle prit la décision, après avoir obtenu son Master en Botanique, de ne pas effectuer les trois années supplémentaires la menant au Doctorat. A la place, elle se dirigea vers une magnifique boutique, une Herboristerie. Gagnant son pain par ses propres moyens, elle ne manquait pas d’argent, son héritage était largement suffisant. Il n’est pas rare de la voir à l’aéroport, faisant des allers-retours Paris-Monaco pour se rendre sur la tombe de sa mère, où elle aime y écrire des paroles de chanson et noircir son journal intime.
Depuis un an, les attaques d’un certain Papillon font rages, et Livia est quelque peu intriguée. Elle qui rêverait de retrouver sa maman est stupéfaite face à l’idée qu’on puisse être doté de certain pouvoir. Si elle devait acquérir un tel pouvoir, nul doute qu’elle l’utiliserait pour trouver un moyen de ramener sa mère à la vie. Avoir la possibilité de retourner dans le passé pour changer les choses, quitte à revivre sans cesse la même journée avec sa mère pour l’éternité. Difficile d’en savoir plus sur ces héros et vilains. Disons qu’ils sont occupés avec leurs objectifs propres et qu’ils ne vont pas s’arrêter pour répondre aux questions d’une herboriste. Toujours est-il que si l’occasion se présentait, elle demanderait à acquérir un Miraculous quitte à vendre son âme au Diable. Et par Diable, on parle bien du Papillon, parce que l’amour pour sa mère n’a pas de limite, ni de prix.
« Rafael Di Santi vous dira qu'il a bâti son entreprise à partir de rien. Fils de paysan, il a simplement profité des opportunités de la vie et du contexte de la guerre pour se lancer dans le domaine de l'automobile et faire fortune en Italie. Longtemps rattachée au régime fasciste, c'est Antonio Di Santi qui, en reprenant l'entreprise de son père, a été obligé de faire son mea culpa pour que l'entreprise ne sombre pas dans l'oubli. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il partit s'installer en France et plus précisément à Monaco pour offrir un nouveau départ à cette marque de l'automobile et principalement dans le domaine du sport. » Source : Raphaëlle Despentes
Olivia Bella Di Santi est née le 22 décembre 1998 à Milan en Italie, durant les vacances de noël. La famille résidait en France, plus précisément à Monaco où elle passa la majeure partie de sa jeunesse. Elle est la seconde et dernière fille de la célèbre et fortunée famille « Di Santi ». Son père, ayant souhaité avoir que des fils pour perpétuer l’héritage familial de père en fils, s’est rapidement fait à l’idée et prit sous son aile l’aînée, Rafaella comme future PDG de l’entreprise. Durant toutes ces années, Olivia n’a pas subi de pression de la part de son père en dehors de toutes les obligations mondaines et de son éducation stricte. Sa mère, Maria s’est alors prise d’une affection particulière envers sa fille quelque peu délaissée.
La benjamine développa une légère jalousie envers sa grande sœur ce qui lui valut le doux surnom de « Livia » qui veut dire « Jalouse ». Depuis son plus jeune âge, elle pratiqua la Gymnastique artistique et rythmique. Un sport où elle excelle et qu’elle partageait essentiellement avec sa mère qu’elle aimait tant rendre fière. Jusqu’à ses dix-sept ans, sa vie était proche d’un conte de fée. L’argent ne manquait pas ce qui facilitait son éducation notamment en fréquentant de belles écoles privées, une pratique régulière de son sport préféré et autres extras comme l’apprentissage de plusieurs langues, des balades à cheval, l’apprentissage de l’art et des bonnes manières.
Les Di Santi côtoyaient la haute bourgeoisie Française, Italienne et Espagnole. Pendant que son père accompagné de Rafaella se rendaient à des dîners professionnels importants, Livia et sa mère profitaient quant à elles des défilés de haute couture et de brunchs aux cotés, parfois, de célébrités. Sa vie était, à ses yeux, parfaite si on enlevait cette histoire de jalousie envers sa sœur. Elle ne la détestait pas pour autant, mais elles ne partageaient pas les mêmes choses. Finalement, elles apprenaient à se connaitre à travers les règles, tirées à quatre épingles, mais pas à travers le cœur.
Aimant la nature et les fleurs, Livia rêvait toute petite de devenir fleuriste. Mais chez les Di Santi, on se doit de viser plus haut, et c’est au collège que son futur professionnel se dessina avant même l’obtention du brevet des collèges ; elle deviendra Botaniste. Elle poursuivit son cursus scolaire en ayant de très bons résultats tant sur les notes que sur le comportement. Livia était constamment complimentée par les professeurs et parfois prise pour exemple. Jusqu’à l’obtention de son baccalauréat où sa mère perdit la vie à la suite d’un accident vasculaire cérébral.
Son monde s’écroula. Livia ne parvint jamais à s’en remettre. Sa vie merveilleuse se transformait en un véritable cauchemar et malheureusement, ce n’était que le début. Son père sombra dans une lourde dépression, les affaires étaient de ce fait en danger. Quant à Raffaella, elle prit sur ses épaules, en plus de sa propre douleur, celle de son père et de sa petite sœur. Mais Raffaella eut la lourde tâche de prendre également en main l’entreprise familial et dû rapidement quitter le pays, laissant derrière elle sa famille.
Livia se retrouvait seule avec son père qui ne la laissa pas respirer. Ses notes dégringolaient car elle n’avait plus cœur à l’ouvrage, mais son paternel ne lui faisait pas de cadeau. Elle se reprit en main, cachant sa peine aux yeux de tous car apparemment, cela n’était pas digne d’une Di Santi. Trop rapidement à son gout, Antonio lui ramena une belle-mère. C’était le coup de massue. En plus de ne pas pleurer, elle ne devait plus en parler. Son seul lien avec Maria, sa défunte mère était le sport et ses larmes. Elle vécut en prime le départ de Raffaella comme un abandon supplémentaire. Sa sœur coupa brutalement les ponts aux suites de la trahison de son père et de son époux qui lui vola les droits sur l’entreprise Santi.
L’entente n’était pas bonne entre la jeune fille et l’épouse de son père. Sa belle-mère était étrangement jalouse, Livia représentait la dernière trace d’un amour véritable. Et bien-sûr, son père ne voulait rien savoir et cédait à tous ses caprices. Livia ne pouvait que se taire et encaisser, se noyant dans ses études et le sport. Sa vie d’avant lui manquait terriblement. Les années défilèrent sans grand rebondissement. Antonio offrit un appartement à Paris à la benjamine sous les conseils de son épouse. Un cadeau empoisonné car c’était certainement pour l’éloigner physiquement de ses manipulations.
Loin de sa famille recomposée, Livia sauta le pas en modifiant administrativement son prénom pour retirer le « O » de Olivia. Elle voyait cela comme une preuve supplémentaire qu’elle n’oubliait pas sa douce mère. Enfin, cette année elle prit la décision, après avoir obtenu son Master en Botanique, de ne pas effectuer les trois années supplémentaires la menant au Doctorat. A la place, elle se dirigea vers une magnifique boutique, une Herboristerie. Gagnant son pain par ses propres moyens, elle ne manquait pas d’argent, son héritage était largement suffisant. Il n’est pas rare de la voir à l’aéroport, faisant des allers-retours Paris-Monaco pour se rendre sur la tombe de sa mère, où elle aime y écrire des paroles de chanson et noircir son journal intime.
Depuis un an, les attaques d’un certain Papillon font rages, et Livia est quelque peu intriguée. Elle qui rêverait de retrouver sa maman est stupéfaite face à l’idée qu’on puisse être doté de certain pouvoir. Si elle devait acquérir un tel pouvoir, nul doute qu’elle l’utiliserait pour trouver un moyen de ramener sa mère à la vie. Avoir la possibilité de retourner dans le passé pour changer les choses, quitte à revivre sans cesse la même journée avec sa mère pour l’éternité. Difficile d’en savoir plus sur ces héros et vilains. Disons qu’ils sont occupés avec leurs objectifs propres et qu’ils ne vont pas s’arrêter pour répondre aux questions d’une herboriste. Toujours est-il que si l’occasion se présentait, elle demanderait à acquérir un Miraculous quitte à vendre son âme au Diable. Et par Diable, on parle bien du Papillon, parce que l’amour pour sa mère n’a pas de limite, ni de prix.
Crédit by Alya Césaire
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Marius Wilkins
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Re: Livia Di Santi
Lun 25 Juil - 9:28
Bonjour, petite vilaine~
Re bienvenue à toi !
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J'te cause en #006600 ~ Cthulhu envoie son encre en #99ffff ~ Hydra te défonce en #996600
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Invité
Re: Livia Di Santi
Lun 25 Juil - 9:33
Je vois que les vilains sont en rendez-vous pour m'accueillir XD
Merci à vous ! Love sur vos crânes
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Danitza Price
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Re: Livia Di Santi
Lun 25 Juil - 21:35
Félicitations Livia
te voilà validée !
Re-bienvenue à toi sœurette ! (ouais je suis sous le mauvais compte)
Tout est good dans la fiche alors je peux te valider sans soucis !
Tu connais la maison !
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