Theodore SCOTT - TERMINÉ

Théodore est un des fils d'une fratrie. Garçon d'une mère artiste musicienne et d'un père mathématicien, enseignant à l'université, le jeune garçon est originaire du Royaume-Uni. Ses parents, très attirés par la France et tout particulièrement la capitale, ont décidé d'y emménager. Theodore avait alors 5 ans lorsqu'il vit pour la première fois la tour Eiffel. Ses parents lui apporte l’amour dont un enfant a besoin, souvent il le surnomme « mon poussin » « mon oiseau », « mon colibri », « mon ara »… et bien d’autre !

Tout petit, il a toujours été attiré par l’art et la musique. Vif d’esprit à l’école (parfois considéré comme un surdoué) et sans problème de discipline, il suit une scolarité ordinaire bien qu’ennuyeuse à ses yeux. C’est d’ailleurs quelqu’un de très apprécier dans sa classe, d’un charisme naturel, il est toujours là pour donner des conseils. Theodore est capable de « percer » les problèmes qui sont pour lui des énigmes à résoudre et ceux, quel que soit le moyen. Un problème de couple ? Comment faire pour le battre ? Les réponses aux contrôles ? Theodore est capable d’identifier le problème et bien souvent cela mène au conflit. Car oui, c’est ce qu’il aime voir : deux individus présentant des convictions différentes qui s’affrontent. Qu’a-t-il en retour ? De la confiance, des présents, un réseau qui se construit petit à petit.

Que ce soit dans sa scolarité, dans les rues de Paris, il observe le comportement des citoyens, les écoute et de plus en plus, le jeune Theodore abhorre l’injustice et les orgueilleux dont le système social régit la société. Il aide les gens du peuple, victimes d'injustices, à se venger de ceux qui les ont fait souffrir, tout ceci à très petite échelle et dont l’impact est totalement personnel. C’est à ce moment-là qu'il lui vient une idée, un projet dont la grandeur pourrait lui faire dépasser ses limites, mettre à l’épreuve sa vitesse de réflexion. Faire oublie les malheurs de Paris, transporter les gens dans un univers si différents et à la fois si réaliste. Mais pour cela, il va devoir leur faire oublier le temps et quoi de mieux qu’un casino.

En même temps que son projet se construit, Theodore entend de plus en plus parler du Papillon et de ses actions au sein de Paris. Sans savoir pourquoi ce dernier s’acharne à récupérer les pouvoirs de Chat Noir et Lady Bug, ce que voit Theodore est un grand potentiel. Cet homme est capable de faire retourner l’esprit de Paris. Qu’a-t-il fait de mal ? Il n’a jamais tué personne ? Il donne une chance au plus désespéré de combattre leur problème et quel honneur ! C’est avec élégance, de manière réfléchie que Papillon agit. Theodore en voit un allié, une ressource qu’il faut utiliser à bon escient. Il doit tromper les gens, les caresser dans le sens du poil, les utiliser en les attirant dans son piège, dans son monde qui permettrait de faire changer les choses…

Theodore est un vilain passif, qui agit dans l’ombre avec son plus beau sourire. Il ne compte plus le nombre de personnes que son visage d’ange à tromper, lui qui parait si innocent et bienveillant, ce cache une menace sous-estimée. Il doit se battre pour contrer les héros qui ne font que montrer aux yeux du peuple de la naïveté, un semblant de justice factice. Produit du système médiatique, le nom de ces héros ne sont alors ni gravé dans la pierre ni peint sur l’émail. Ils portent l’étoffe légère et éphémère que lui offre le papier imprimé. Leurs costumes sont fades aux yeux du jeune Theodore qui n’attend que du sublime et de l’abracadabrant !

« Oublions tout ce malheur et amusons-nous ! »

Le jeune homme de 27 ans aujourd’hui a donc fait une licence professionnelle en management des établissements de loisirs qu’il a poursuivis avec un master en ressources humaines. Il complète ses études par de nombreuses lectures sur la psychologie humaine et quelques bouquins de mentalisme. Il s’entraîne au maquillage devant sa glace : des paillettes, de la peinture, des strass, des ornements, Theodore se fait remarquer avec élégance dans un thème cabaret et fantaisiste.

Son casino est ouvert, êtes-vous prêt à vous plonger dans l’inconnu ?

« Le propre de l'art est de surprendre l'homme en flagrant délit ; même celui qui s'attend à tout, garde toujours un secret effroyable ou grandiose. »

Exemples de tenue :
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