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On vit dans une société...
Mer 15 Juin - 21:12
Ethan Namikaze et Adrien Agreste
Voilà longtemps qu'il avait réussi à échapper à ce genre de soirée. Hélas, sa technique d'esquive ne peut pas fonctionner à chaque fois avec Nathalie et Gabriel Agreste. Entre les soirées de révisions, les vraies comme les fausses, d'ailleurs, les séances photo, les compétitions, les jours où Adrien refuse catégoriquement de sortir de chez lui, à faire du Netflix and Chill avec Marinette, à jouer du piano pour réfléchir ou à dormir car il a du sommeil à rattraper, le jeune Agreste était un professionnel de l'esquive de la soirée mondaine de la Haute. Mais pas ce soir. La présence d'un Agreste est rigoureusement nécessaire et Gabriel n'a pas jugé vital de se déplacer lui-même. Être le fils du plus grand nom de Paris n'a clairement pas que des avantages. Arrivé au Grand Paris, le jeune blond salue son hôte d'une poignée de main franche et ferme.
- Bonsoir, Monsieur le Maire.
Il a soigneusement esquivé Madame Bourgeois et son double miniature aussi surnommé Voldemort par Adrien. Tellement bien qu'il ne sait même pas si les deux sont présentes à la soirée. Le jeune Agreste souhaite tellement leur absence que c'en est presque insultant. Bien sûr, il sait comment envoyer sur les roses Chloé Bourgeois avec une certaine élégance, depuis le temps qu'il pratique, mais même en étant un maître en chirurgie, se débarrasser d'un furoncle fort disgrâcieux n'est jamais une partie de plaisir. Pour Chloé Bourgeois, c'est la même chose... Sauf que ce furoncle là, il aime bien réapparaître sans qu'on lui demande, comme des orties ou des mauvaises herbes, en somme. Théoxane n'est pas présente à cette soirée, pas plus que Kagami. Adrien espère tant qu'il peut croiser le regarde de Zoé, la délicieuse soeur de Chloé et son exacte opposée, mais hélas, elle non plus n'est pas de la partie.
- Oh, achevez-moi, qu'on en finisse...
Lassé, le jeune homme avec son verre à la main déambule dans le grand salon où a lieu la réception avec une femme qui joue de la harpe classique dorée en plein milieu. Plus rupin que ça, Adrien en vomirait. Oh, bien sûr, ce faste, les conversations des riches, ces rires à cent trente euros et ces bouteilles de vin hors de prix mettent Adrien mal à l'aise. Jamais il n'a aimé le luxe dans lequel on lui a imposé de vivre... Il arrive à accéder au buffet et cherche le canapé le moins élaboré, le plus simple et goûteux que possible. Il rencontre des difficultés rien qu'à faire ça ! Pas moyen de mettre la main sur un banal concassé de tomates à tartiner sur un toast basique. Et Plagg n'est pas là non plus, bien trop occupé à servir de cobaye à Théoxane. Adrien sort son téléphone, écrivant un ou deux messages et buvant une gorgée de son verre. Au milieu de tout ce slalom de bourges à éviter, il faut bien pouvoir se reposer un instant.
- Enfin deux minutes de paix...
Il cherche du regard une dernière fois quelqu'un qui pourrait être un peu amical et qui n'a pas pour seul sujet de conversation "Votre père", "Votre carrière" ou "Regardez comme nous sommes riches, ho ho ho ho ho !" Plus le temps passe et plus le jeune homme envisage de foncer dehors pour prendre l'air. Au moins, il y a de la bonne musique à la soirée, c'est ce qu'il faut se dire...
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Ethan Suzuki
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Re: On vit dans une société...
Ven 17 Juin - 19:03
On vit dans une société...
feat Adrien Agreste
Ça faisait un moment que tu n'avais pas était obligé de survivre à une de ces soirées de bourges agaçante, malheureusement celle-là, tu n'avais pas pu y échapper.
Et malheureusement, cette soirée se passer au Grand Paris, tu ne pouvais donc pas incruster Aki, même si tu doutais qu'il accepte de venir depuis la dernière fois, et tu ne voyais pas victoria, qui devait donc être resté chez elle, elle avait de la chance.
Tu soupiras en regardant ton verre à la main, ils n'y avaient que des salles gosses de riche, ça te donna mal à la tête, et même si joué avec les nerfs de la fifille du maire aurait pu te divertir, tu n'avais pas la volonté de la supporter.
Tu t'étais donc mis dans un coin, le plus proche de l'alcool, pour rester invisible, pas envie de te taper le mépris d'un bourge de suite, enfin vous comment ça se passer, ta mission de rester invisible était plutôt réussi.
"Hé bah ! Quelle soirée à chier !"dis-tu à voix haute en regardant ton verre avant de le boire d'un coup, heureusement que tu tiens bien l'alcool.
Parcontre tu croisas les yeux verts de quelqu'un de très reconnaissable, Adrien Agreste, qui te regardait choquer, probablement pas habituée à entendre ce genre de propos en soirée, pas étonnant vu les bourges ici.
"Yo ?"dis-tu en lui faisant un signe de paix et en le regardant curieusement, tu n'allais pas lui être hostile, après tout tu n'avais pas envie de te prendre Agreste senior au coin de la gueule, et surtout, car vivre un autre mal entendu comme avec Victoria ne t'emballait pas.
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Re: On vit dans une société...
Sam 18 Juin - 12:19
Ethan Namikaze et Adrien Agreste
Adrien, au buffet, toujours en quête d'un canapé acceptable à son palais bien plus modeste que celui des précieuses personnes qui sont conviées à cette soirée. est interpellé par quelqu'un qui ne se gêne pas pour manifester le fait qu'il n'aime pas être à cette soirée. Tiens ? Encore un qui n'est pas là de son plein gré... Presque choqué de trouver quelqu'un comme lui ici, il dévisage le blond qui finit d'un trait son verre. Il s'adresse au fils Agreste, le saluant familièrement avec un geste de la main. Le jeune homme voit le fauteur de troubles de soirées de bourges arriver. Quand il est assez proche, le mannequin reconnaît enfin de qui il s'agit. Le fils Namikaze. Adrien le connaît de réputation, il a tendance à être un peu teigneux et à détester ce genre de soirées. Tant mieux. Un allié supplémentaire dans la ligue des bourges qui n'aiment pas les soirées de la Haute. Adrien, dans sa grande courtoisie salue son interlocuteur, lui serrant la main.
- Bonsoir, Monsieur Namikaze. Nous nous rencontrons enfin. Adrien Agreste, pour vous servir.
Adrien a beau être poli et courtois, le ton employé est légèrement sarcastique, parodiant ainsi les adultes présents ici qui pourraient tous ou presque s'avérer être un cliché parfait pour un personnage de méchant de James Bond. Il ne leur manque plus qu'un chat à poils longs et d'être sur une chaise de bureau qui tourne, et le cliché est respecté à la lettre. Bien sûr, la satire s'adresse directement à la Haute. Adrien a beau en faire partie de par sa naissance, il n'a jamais cautionné le comportement qu'elle a avec le peuple. Comme quoi, la Révolution française n'a rien changé. C'est toujours les riches et les puissants contre la plèbe... Après leur poignée de main, le fils Agreste se tourne vers le buffet, prenant deux flûtes de champagne. Rien que le nom pompeux de la bouteille lui donnerait de l'urticaire, mais hélas, il n'y a que ça à sa portée...
- Permettez que je vous serve un verre ? Champagne. Point de mousseux, ce soir. Trop piètre qualité pour un lieu aussi prestigieux...
Après s'être assuré du consentement de son interlocuteur, Adrien met le verre dans la main d'Ethan. Ils trinquent ensemble, alors qu'Adrien est le premier à porter un toast ironique à souhait dans une assemblée qui ne saisit probablement même pas le second degré de la scène dans la mesure où la même scène s'est produite au premier degré à plusieurs reprises durant la soirée...
- A cette merveilleuse soirée, Monsieur Namikaze !
Les verres s'entrechoquent et Adrien porte le verre à ses lèvres. Le champagne est exécrable. Le Maire Bourgeois a-t-il vraiment goûté ou fait goûter les alcools de la soirée avant de les servir ? Adrien n'a jamais vomi à cause de l'alcool. Mais le champagne de ce soir n'est tellement pas à son goût que ça pourrait arriver... Mais pas pour cause d'ivresse.
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Ethan Suzuki
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Re: On vit dans une société...
Mer 22 Juin - 22:53
On vit dans une société...
feat Adrien Agreste
Tu regardais Agreste avec curiosité, étudiant ces réactions parce que s'il se comportait comme les autres bourges, tu allais fuir, certe d'habitude tu avais l'habitude de faire chier ton monde, mais tu n'étais pas fou non plus, tu ne voulais pas affronter Agreste senior.
Néanmoins celui-ci te tandis la même et se présenta de la manière la plus bourge possible, néanmoins, malgré le ton poli d'Adrien, tu notas comme même la légère pointe de sarcasme dans la voix du jeune homme, cela te fit sourire.
"Bien le bonsoir Monsieur agreste, c'est un plaisir de vous rencontrer enfin"dis-tu avec le même ton poli en lui serrant la main, mais malgré tout, on pouvait entendre une pointe de sarcasme dans tes paroles, tu n'étais pas connu pour te présenter comme ça aux gens et si les autres bourges aurait fait attention à la conversation, ils auraient sûrement pensé que tu préparais un mauvais coup.
Après votre poignée de main, le jeune agreste se tourna vers le buffet pour prendre deux flûtes de champagne, cela attira certainement ton attention, même si à choisir, tu aurais bu une bonne vodka ou un whisky à la place, mais c'était la seule boisson disponibles, et tu avais définitivement besoin d'essayer de te rendre ivre pour survivre à cette soirée.
"Ce sera avec grand plaisir"repondas-tu au jeune homme avant qu'il ne te donne le verre et qu'il ne te souhaite ironiquement une merveilleuse soirée.
"À cette merveilleuse soirée !"dis-tu en répétant les mots du jeune homme, avant de faire entrechoquer vos verres, tu portas ensuite le verre à tes lèvres pour le boire, possiblement cu sec, mais il ne fallait pas se le cacher, le champagne était mauvais, si tu vomissais à cause du champagne, tu pourrais t'enfuir plutôt non ?
"Absolument délicieux"dis-tu en désignant ton verre encore un peu rempli, le sarcasme était palpable dans ta voix et ton sourire était totalement ironique avant de tourner ton regard vers l'autre jeune homme.
"Quel dommage de ne pas avoir assisté souvent à ce genre de soirée, vous ne trouvez pas ?"dis-tu le sarcasme toujours dégoulinant dans ta voix, bien sûr tu ne te moquez pas du jeune homme, mais de la manière des autres bourges, et cela t'amusait beaucoup.
"Alors, que ce qui vous à donner envie de me rencontrer Monsieur agreste ? J'imagine que c'est à cause de ma merveilleuse réputation"dis-tu toujours poliment, mais l'ironie était tellement présente dans ta phrase, tu avais tout sauf une bonne réputation dans la bourgeoisie et ce n'était pas pour te déplaire.
"Si je peux me permettre, que diriez-vous de continuer cette discussion dans un endroit plus calme ?"principalement pour fuir la plupart des bourges ici, mais aussi pour fuir ta chère cousine qui était aussi à cette soirée et Miss bourgeoise qui était sans aucun doute en train de chercher le jeune agreste, et puis ce n'est pas que tu te laissais de te moquer des manières des bourges, mais tu préfèrerais parler normalement et puis ce n'était pas comme si tu le forçais, mais toi tu allais te cacher de Miss bourgeois et de ta cousine, et ça qu'il te suive ou non.
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Re: On vit dans une société...
Lun 27 Juin - 16:29
Ethan Namikaze et Adrien Agreste
Le sarcasme et l’ironie sont omniprésents dans cette conversation entre les deux jeunes gens de la Haute. Ethan boit sa coupe de champagne à peu près au même rythme qu’Adrien qui n’apprécie pas plus le breuvage que son compagnon de survie. Naturellement, Adrien, dans sa grande politesse et courtoisie lâche un petit « exquis » avant de faire un signe de la tête approbateur à celui qui, il l’a décidé, allait devenir son ami pour la vie. Quand on a un ennemi commun, c’est stupide de ne pas s’allier. Surtout dans la mesure où les deux semblent avoir le même état d’esprit. Sans même se concerter, sans se parler avant, ils sont sur la même longueur d’ondes. Adrien répond alors la voix pleine d’ironie.
- Mais bien évidemment ! Je mourrais d’envie de vous rencontrer. Votre réputation sulfureuse vous précède, Monsieur Namikaze et sachez que je vous trouve extrêmement sympathique. On m’avait dressé de vous un portrait parlé, j’ai tout de suite su qu’on s’entendrait !
S’en suit alors une petite conversation durant laquelle le fils Namikaze propose au fils Agreste de changer de lieu pour continuer leur satire du monde de la Haute qui est hélas bien trop ressemblante à l’original pour qu’on puisse vraiment en faire la distinction. Les riches et les nobles aiment tellement user de leur langue de vipère… Les sarcasmes et l’ironie se partagent la couronne dans ce lieu qui suinte l’orgueil et l’argent. Le jeune Agreste n’hésite pas un instant et reprend son ton ironique pour répondre à son camarade de fortune.
- Bien sûr, dans tout ce brouhaha, je peine à vous entendre et à profiter pleinement de notre délicieuse conversation !
Les deux blonds quittent alors le buffet pour finalement se retrouver dehors, dans la nuit, devant l’arrière cour du Grand Paris. Le fils de Gabriel Agreste laisse le vent des nuits d’été lui caresser la joue et reprend enfin la conversation avec un ton qui ne parodie plus personne avec Ethan. La lumière dans les yeux du fils Namikaze lui a dit une chose bien précise : Lui aussi semble subir sa condition d’enfant de la Haute.
- Putain, l’étiquette, cette plaie… Il ne manquerait plus que Voldemort se pointe et ça y est, on a le quinté + de la soirée dégueu. Un peu comme leur champagne, d’ailleurs, il est infect… Sans rire, c’était si compliqué de prendre quelque chose de buvable.. ? Pfeuh. Vivement que toute cette assemblée passe l’arme à gauche, que la nouvelle génération se voit plus respectable...
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Ethan Suzuki
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Re: On vit dans une société...
Sam 2 Juil - 1:39
On vit dans une société...
feat Adrien Agreste
Tu dressas un sourire à Adrien quand il te disait que ta réputation te précédait, Ahhh le tueur de soirée mondaine, c'est comme ça qu'on devrait t'appeler ou encore le bourge racaille parce que tu ne comptais pas le nombre de fois où tu avais gâché une soirée mondaine et ce n'était pas franchement un secret que tu ne te comportais pas comme un bourge classique.
Tu proposais ensuite à Adrien de sortir prendre l'air dehors, pour totalement t'enfuir de cette soirée et principalement de ta cousine qui pour une raison quelconque avait décidé de te coller.
Il accepta et tu ne te fis pas prier pour sortir devant l'arrière-cour du Grand Paris, tes yeux criant la liberté, tu avais subi trop de Bourges depuis quelques heures, tu avais l'impression que tu allais étouffer.
Tu tournas ta tête vers le jeune agreste lorsqu'il parla de nouveau, tu hochas amèrement la tête à ces paroles, bon souhaitais que les vieux passes l'arme à gauche était un peu trop, mais bon l'alcool et la fatigue commençait à te monter à la tête, tu n'avais pas la force de relever cette partie.
"Je ne te le fais pas dire,"oh Ethan, il faut que tu te comportes comme si"ou alors"arrête d'agir comme ça, se n'ai pas digne de quelqu'un de notre rang", franchement cette étiquette ça fait longtemps que je m'en serai débarrassé"dis-tu au jeune blond en imitant tes très chers parents avant de rajouter"heureusement que j'ai ma tante, au moins, elle ne me force pas vivre comme un bourge h24"elle te demandait juste de te comportais et c'était surtout grâce à elle que tu avais arrêté de faire des scandales lors des soirées mondaines, foutre la honte à tes parents oui, mais ta tante, c'est mort même pas en rêve.
"Par contre c'est qui Voldemort ?"demandas-tu curieusement au blondinet, bon vu la remarque, probablement pas quelqu'un d'appréciable et plus du même type que le gars qui a parlé de ta sœur morte lors de la soirée chez les Durand, heureusement que tu avais du sang froid.
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Re: On vit dans une société...
Dim 3 Juil - 12:16
Ethan Namikaze et Adrien Agreste
La satire de la Haute Société continue avec des parodies presque identiques des phrases citées en général par les rupins et les hauts placés. Le jeune Namikaze a une réputation qui le précède et il en est parfaitement digne ! Son imitation de ce qui semble être ses parents ou la personne qui en a la charge provoque le rire d’Adrien, très bon public de ce genre d’humour. Il rebondit sur les propos d’Ethan afin de faire part lui aussi de son vécu. Qu’il est dur d’être le fils de l’homme le plus influent de Paris, même plus que que le Maire lui-même...
- T’inquiète pas, j’ai le même modèle à la maison… Sauf que son truc, c’est plutôt le flicage à distance ou par intermédiaires. Un pur délice...
Il rit jaune. Une vraie plaie, le père Agreste. Adrien l’aime parce qu’il s’agit de son père, mais il abuse franchement de son pouvoir et de son autorité, et ça, le blond n’aime pas. Il n’aime pas du tout. Voilà pourquoi, entre autres, les entretiens entre père et fils sont extrêmement rares puisque tout ou presque passe par Nathalie. Adrien est alors choqué qu’Ethan ne connaisse pas Voldemort. Il éclate de rire un instant avant de lui répondre.
- Allons ! Tu ne connais pas Voldemort ? Mais si, tu connais Voldemort, tout le monde le connaît… Attends, je te l’imite, tu vas comprendre tout de suite !
Il est étonné que les jeunes de son âge faisant partie de la Haute ne connaissent pas le nom qu’il donne à la plus insupportable des pestes de Paris. Il imite alors sa posture, avec une expression faciale douteuse mais curieusement ressemblante à sa cible. Peut-être qu’elle apparaîtra derrière lui comme Beetlejuice ou Bloody Mary. Si ça se trouve, elle a déjà fait un pacte avec le démon pour apparaître précisément à l’endroit et au moment où on veut précisément l’éviter. Il trafique sa voix, la faisant plus aiguë que d’ordinaire, avec le ton adéquat et, avec une démarche de poule fait déjà sa petite représentation.
- Ouais, euh, je veux bien croire que tout le monde ne peut pas avoir mon goût pour la mode, haan, mais même les friperies ne veulent pas du truc immonde que tu as sur le dos, c’est ridicule ! Totalement ridicule !
Il s’arrête de façon théâtrale après la phrase gimmick de sa cible : Chloé Bourgeois, la seule, l’unique et la détestable fille du Maire…
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Ethan Suzuki
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Re: On vit dans une société...
Dim 10 Juil - 17:47
On vit dans une société...
feat Adrien Agreste
Une chose était sûre, c'est que tu étais particulièrement sarcastique quand tu bois un peu trop, et cela ce montré dans ton imitation de tes très chers parents.
Parcontre le jeune agreste semblait étonné que tu lui demandes qui était Voldemort, bah, c'est que fatigué et à moitié bourré, tu n'avais pas les neurones connecter.
Cependant, celui-ci se fit plaisir à t'imiter Voldemort, et tu grimaças à ces paroles en te frottant la tempe.
"Au dieu, je vois, rien que cette imitation me donne mal à la tête, alors je n'imagine pas Voldemort en personne"dis-tu, tu avais bien compris qu'Adrien parlé de Chloé bourgeois, une personne si agréable, franchement, tu comprenais qu'il ne veut pas la voir.
"J'ai de la chance, personnellement, je rase les murs et elle ne me remarque pas, mais bon rien ne faut l'envoyer chier"commenças-tu avant de faire un sourire amer au jeune blond.
"Personnellement, ma Voldemort personnelle ne veut pas me lâcher malgré la faite que je l'envoie boulé régulièrement, et je n'ai pas de chance, ils sont deux"dis-tu à Adrien, franchement, tu ne comprenais pas Alyssa et Ezra, un coup, ils t'ignorent, puis ils viennent constamment te parler, peu importe le nombre de fois où tout les envoie boulés ailleurs.
"De doute façon"commenças-tu de manière amère"la plupart de ces gosses de riches font les fières, mais ils n'ont pas plus de manière que le "bas peuple""dis-tu de manière ironique la partie "bas peuple" avant d'expliquer ton anecdote au jeune blond.
"La dernière fois, j'étais chez les Durand, on m'a bien dit que ma sœur s'était jeté sous une voiture par ma faute, franchement agréable la haute"expliquas-tu, le sarcasme bien présent dans ta voix à la fin de ta phrase "et puis ça ose critiqué les gens de la classe moyenne juste après, franchement ironique"
Sur ce, tu te tais, ruminent d'amertume, heureusement qu'il y avait victoria et que tu ne voulais pas faire honte à ta tante, sinon quelqu'un aurait fini légèrement tabasser.
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Re: On vit dans une société...
Lun 11 Juil - 18:18
Ethan Namikaze et Adrien Agreste
L’imitation de Chloé Bourgeois fait mouche. On pourrait presque croire qu’Adrien l’a travaillée pendant des années ! Peut-être est-ce que c’est justement le cas, au vu du nombre d’années qui sont passées depuis leur première rencontre ? Qu’est-ce qu’il peut la détester, celle-là ! Si Madame de Salois n’était pas déjà la reine, Chloé Bourgeois serait sans doute la première sur le podium des personnes qu’il hait le plus au monde. Ethan aussi manifeste le fait qu’il la déteste. C’est à se demander si ce n’est pas la personne la plus détestée de Paris. Même le Papillon serait plus populaire si l’on faisait un sondage.
- Quelle plaie, celle-là ! Sa mère aurait mieux fait de serrer les cuisses, si tu vois ce que je veux dire !
Cette blague très graveleuse et méchante provoque un rire mauvais chez Adrien qui écoute l’anecdote de son ami concernant ses némesis personnelles. Chacun a son ennemi mortel et il semblerait que le fils Namikaze en ait deux en un seul… Adrien hausse les épaules en écoutant son problème avec des pots de colle. Mais bien vite, il mentionne une soirée qu’il a passée chez les Durand et comment son nom a été insulté. Adrien hausse encore les épaules. Cette conduite ne l’étonne même pas, en réalité ! Il ne porte pas vraiment les Durand dans son cœur, au passage, même s’ils sont à des années lumière de la sœur de Théoxane et Chloé Bourgeois réunies. Il répond en soupirant, blasé par les événements que le fils Namikaze raconte. C’est tellement monnaie courante que le fils Agreste n’aurait même pas écouté l’anecdote prévisible si Ethan n’était pas la seule personne qui lui avait parlé correctement et avec qui il a des atomes crochus à cette soirée barbante.
- Ce sont des ordures, que veux-tu. On ne peut rien dire aux gens qui pètent dans la soie depuis toujours, ils sont méchants avec les gens de leur propre rang social, c’est peine perdue…
Ils passent leur temps à tacler le reste de la Haute pendant de longues minutes, peut-être même une bonne heure ! C’est même étonnant de voir le jeune Agreste baver autant sur les gens de son rang social, lui qui d’ordinaire déteste le faire, sauf sur Madame de Salois qu’il a faite taire et bannir de la maison de sa propre fille. Énerver un Agreste n’est jamais une bonne idée, même si le fils est beaucoup plus coulant que le père… C’est au bout d’une longue conversation qu’Adrien prend finalement la parole, prêt à prendre congé du délicieux et salé fils Namikaze.
- Bon, eh bien sur ce, j’ai fait acte de présence, je peux donc enfin rentrer chez moi. J’ai été ravi de te rencontrer. On se fait une soirée à l’occasion ? Avec des gens cool, on espère...
Il sort une de ses cartes de visite ignobles que tout le monde s’échange à ce genre de soirée avant de changer le numéro qui y figure pour y mettre son vrai numéro, sa ligne directe, en d’autres termes. De toute évidence, il ne gagnera pas grand-chose à appeler Nathalie, autant qu’il passe directement par celui à qui il veut vraiment parler. Ethan n’est probablement pas le genre d’homme à vouloir parler affaires et rien que pour ça, Adrien lui fait confiance. Quelques minutes plus tard, le fils Agreste prend congé des autres invités avant de quitter les lieux, enfin libre de pouvoir rentrer chez lui. Avec de la chance, peut-être que Marinette sera encore réveillée ? En tout cas, Adrien sera loin de cette Haute étouffante et ce sera tant mieux.
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