Gardien
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Pandémonium
Mer 12 Juin - 21:24
Epreuve 6
Solo - Maledikteur joue au Roi au Château de Versailles
L'Intitulé
Vous faites face à deux cages à barreaux. Vous voyez très bien ce qu’elles renferment : à gauche, la personne qui vous est la plus chère, cette personne sans qui vous ne vous imaginez pas vivre, qui laisserait un trou béant dans votre poitrine, pour toujours, si elle venait à disparaître. A droite, un groupe d’enfants. Vous savez qu’ils ont une famille, qui les attend. Vous savez qu’ils ont été volés à leur foyer pour être enfermés dans cette prison, pour cette expérimentation.
Vous savez que vous devez choisir. Choisir entre l’être aimé ou des innocents. Ou bien, ne pas choisir.
Remarque : le choix semble binaire. Il ne l’est pas. Il y a autant de possibilités qu’il y a de participants ! Laissez votre imagination nous montrer le cheminement de la réflexion du personnage. Trouverez- vous une solution ?
Vous savez que vous devez choisir. Choisir entre l’être aimé ou des innocents. Ou bien, ne pas choisir.
Remarque : le choix semble binaire. Il ne l’est pas. Il y a autant de possibilités qu’il y a de participants ! Laissez votre imagination nous montrer le cheminement de la réflexion du personnage. Trouverez- vous une solution ?
Consignes et limitations
Vous avez une journée pour poster un message de maximum 1500 mots.
Vous devez écrire votre textes en faisant des rimes à chaque fin de phrase (aabb, abab, abba, etc.).
L’épreuve se termine dimanche 16 juin à 23h59 (17h59 au Québec).
Vous devez écrire votre textes en faisant des rimes à chaque fin de phrase (aabb, abab, abba, etc.).
L’épreuve se termine dimanche 16 juin à 23h59 (17h59 au Québec).
Bonus
Vous pouvez présenter au début de votre premier post votre personnage et son univers si vous jugez cela utile. Cela ne compte pas dans les 1500 mots de votre réponse.
Vous pouvez préciser au début de vos posts du vocabulaire spécifique à votre univers. Cela ne compte pas dans les 1500 mots de votre réponse.
Vous n’avez pas besoin d’être inscrit sur Miraculous' Quest pour poster. Il vous suffit d’utiliser le code de transformation (trouvable ici) pour faire apparaître votre pseudo et votre avatar. Pensez à le tester !
Vous avez la possibilité au début de votre premier post ou à la fin de votre dernier post de préciser:
- que vous ne souhaitez pas de commentaires sur votre texte
- que vous souhaitez des commentaires approfondis sur votre texte
- que vous ne souhaitez pas que votre texte soit lu à haute voix
Si vous ne précisez rien, votre texte pourra recevoir des commentaires simples et être lu à haute voix.
À vos claviers !
Vous pouvez préciser au début de vos posts du vocabulaire spécifique à votre univers. Cela ne compte pas dans les 1500 mots de votre réponse.
Vous n’avez pas besoin d’être inscrit sur Miraculous' Quest pour poster. Il vous suffit d’utiliser le code de transformation (trouvable ici) pour faire apparaître votre pseudo et votre avatar. Pensez à le tester !
Vous avez la possibilité au début de votre premier post ou à la fin de votre dernier post de préciser:
- que vous ne souhaitez pas de commentaires sur votre texte
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Si vous ne précisez rien, votre texte pourra recevoir des commentaires simples et être lu à haute voix.
À vos claviers !
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Fye Bellamy
Re: Pandémonium
Dim 16 Juin - 23:17
- Univers de Pandémonium:
- Univers urbain-fantastique, deux fois post-apocalyptique, où cohabitent de multiples races d’humanoïdes différentes. Nous sommes en l’an 3503.
- Fye Bellamy:
- Anciennement cadutie (sorcier à pouvoir unique), Fye a une fâcheuse tendance à faire ce qui lui plaît sans se soucier des conséquences de ses actes. Il a été transformé en vampire un siècle auparavant. Après ça, il s'est tiré pour retrouver Oliver (son père vampirique) qui a quitté la ville en abandonnant sans prévenir - ou presque - derrière lui amis, famille et âme-liée (Adonis). Il vient de rentrer à Pandémonium et n'a pas été très très bien accueillis. Il ne l'a pas spécialement bien vécu.
Il peut contrôler alternativement l'eau en lui donnant la forme qu'il souhaite et le feu en enflammant une surface au toucher.
- Vocabulaire spécifique:
- Âme-liée : la légende veut qu'à l'origine, les humains avaient deux têtes avant d'être séparés en deux, leur âme avec. Par la réincarnation, ces deux moitiés d'âmes peuvent se rencontrer, les individus dans lesquelles elles sont incarnées sont alors appelés des âmes-liées. Fye y fait aussi référence comme sa moitié.
Soif : Appétit instinctif qui pousse un vampire à se nourrir de sang, colorant ses yeux en rouge.
Vampire : Créature humanoïde, autrefois humaine, qui est immortelle tant qu’elle se nourrit de façon adaptée. Autrefois maudits par Creatorem, les vampires ont été graciés il y a 100 ans et peuvent à nouveau sortir sous le soleil sans crainte.
TW : Dichotomie du bien et du mal / Méchanceté gratuite (je ne suis pas sûre, mais mieux vaut prévenir que guérir) / Evocation de choix immoral
« Qu'est-ce que c'est encore, cette idée à la con ? »
D'un côté, Adonis ; sa moitié, l'épine dans son pied, son cestcompliquéposezpasdequestion et depuis peu son patron.
De l'autre, une bande de mômes chouinant qu'ils veulent leurs parents.
« Fermez vos gueules, les gamins !
Je m'entends pas réfléchir et c'est chiant ! »
Par l'enfer, ils se taisent enfin !
Déjà, pourquoi lui.
Il n'a pas de sentiments pour ce fils à papa casse-bonbons au de-là du lien d'âme qui les unit.
Ok, il est moins chiant qu'il ne l'était.
Il a même l'air d'avoir prit un peu de plomb dans la tête durant les cent dernières années.
Il a quand même fait preuve d'une belle amélioration de caractère ; maintenant, il frappe d'abord et parle après !
Il est aussi le seul à lui avoir donner une deuxième chance, sans arrière pensée.
Mais est-ce que perdre Oliver, au pif, ne serait pas pire que ça ?
Bon, Oliver est increvable, c'est pas une référence.
Alors, pourquoi ?
Non, finalement, il ne veut pas savoir d'où lui vient cette incohérence.
Il vaut mieux se concentrer sur le problème en face de lui avant d'avoir envie de tout envoyer paître.
Il gérera le reste plus tard s'il a la foi.
Peut-être.
Ou peut-être pas.
Il doit choisir.
Comme si quelqu'un voulait encore le mettre à l'épreuve afin de savoir s'il est capable de se comporter comme le gentil petit vampire qu'il n'est pas.
N'importe qui le connaissant un minimum ne douterait probablement pas de son choix.
C'est facile quand on ne regarde que celui qu'il était, sans prendre en compte les années qu'il a passées à grandir.
Fye, l'enfoiré de service qui ne fait jamais que ce qu'il veut pour satisfaire ses propres desseins.
Ce qui n'est pas faux, en soi.
Il a toujours été adepte de la maxime « la fin justifie les moyens » et ça lui va toujours très bien.
Peu importe les dommages collatéraux, tant que le résultat est là.
Pourquoi se soucier d'inconnus, enfants ou adultes, quand Adonis est enfermé comme ça ?
« Non mais, depuis quand je réfléchis comme ça, moi ? »
Depuis quand il respecte des règles imposées ?
Depuis quand il n'essaie même pas de les contourner ?
Depuis quand il en a quelque chose à secouer des regards que les autres posent sur ce qu'il fait de ses huit doigts ?
Oui, bon, l'accueil qui lui a été fait à son retour n'était pas des plus chaleureux - à raison, peut-être - mais là ça va pas !
Il fourre les mains dans ses poches et fait le tour des cages.
Il les scrute et les analyse, décortique chaque faiblesse qu'il pourrait exploiter du haut de son jeune âge.
S'il est censé choisir, c'est qu'il ne peut pas les faire sortir un par un.
Il doit ouvrir les deux cages exactement au même moment dans un effort commun.
Un claquement de langue agacé retentit et il vient saisir un barreau sur chacune des deux prisons.
Sous ses doigts, le métal se met à rougir avant de commencer fondre bien moins vite que sa peau et à raison.
Il les relâche et baisse les yeux sur ses mains qui se régénèrent bien trop lentement à son goût.
« Bon bah, plan B, mon loulou. »
D'un geste, il fait sauter le bouchon de la gourde qu'il porte toujours à la ceinture.
Sous sa volonté, l'eau qu'elle contient s'élève et se sépare pour former deux grands cercles sans jointure.
Il les rend plus tranchant qu'un rasoir, aux dents acérées et leur impose une rotation à peine soutenable.
Tant pis si utiliser l'eau aussi finement lui donne une dalle redoutable.
Maintenant, il y a un détail à ne pas négliger.
Surtout s'il ne veut pas se faire encore engueuler.
Ne pas tronçonner les gens dedans.
Adonis survivrait, mais ce serait contre productif de faire de la bouillie d'enfants.
L'eau-tronçonneuse entame les barreaux à bonne vitesse et assèche sa langue sans plaisir aucun.
Il va en bouffer un.
100% il va en bouffer un.
Ou alors, il bouffera Adonis, même si ça n'apaise pas sa faim, ça aura au moins le mérite de calmer ses instincts.
D'un côté, Adonis ; sa moitié, l'épine dans son pied, son cestcompliquéposezpasdequestion et depuis peu son patron.
De l'autre, une bande de mômes chouinant qu'ils veulent leurs parents.
« Fermez vos gueules, les gamins !
Je m'entends pas réfléchir et c'est chiant ! »
Par l'enfer, ils se taisent enfin !
Déjà, pourquoi lui.
Il n'a pas de sentiments pour ce fils à papa casse-bonbons au de-là du lien d'âme qui les unit.
Ok, il est moins chiant qu'il ne l'était.
Il a même l'air d'avoir prit un peu de plomb dans la tête durant les cent dernières années.
Il a quand même fait preuve d'une belle amélioration de caractère ; maintenant, il frappe d'abord et parle après !
Il est aussi le seul à lui avoir donner une deuxième chance, sans arrière pensée.
Mais est-ce que perdre Oliver, au pif, ne serait pas pire que ça ?
Bon, Oliver est increvable, c'est pas une référence.
Alors, pourquoi ?
Non, finalement, il ne veut pas savoir d'où lui vient cette incohérence.
Il vaut mieux se concentrer sur le problème en face de lui avant d'avoir envie de tout envoyer paître.
Il gérera le reste plus tard s'il a la foi.
Peut-être.
Ou peut-être pas.
Il doit choisir.
Comme si quelqu'un voulait encore le mettre à l'épreuve afin de savoir s'il est capable de se comporter comme le gentil petit vampire qu'il n'est pas.
N'importe qui le connaissant un minimum ne douterait probablement pas de son choix.
C'est facile quand on ne regarde que celui qu'il était, sans prendre en compte les années qu'il a passées à grandir.
Fye, l'enfoiré de service qui ne fait jamais que ce qu'il veut pour satisfaire ses propres desseins.
Ce qui n'est pas faux, en soi.
Il a toujours été adepte de la maxime « la fin justifie les moyens » et ça lui va toujours très bien.
Peu importe les dommages collatéraux, tant que le résultat est là.
Pourquoi se soucier d'inconnus, enfants ou adultes, quand Adonis est enfermé comme ça ?
« Non mais, depuis quand je réfléchis comme ça, moi ? »
Depuis quand il respecte des règles imposées ?
Depuis quand il n'essaie même pas de les contourner ?
Depuis quand il en a quelque chose à secouer des regards que les autres posent sur ce qu'il fait de ses huit doigts ?
Oui, bon, l'accueil qui lui a été fait à son retour n'était pas des plus chaleureux - à raison, peut-être - mais là ça va pas !
Il fourre les mains dans ses poches et fait le tour des cages.
Il les scrute et les analyse, décortique chaque faiblesse qu'il pourrait exploiter du haut de son jeune âge.
S'il est censé choisir, c'est qu'il ne peut pas les faire sortir un par un.
Il doit ouvrir les deux cages exactement au même moment dans un effort commun.
Un claquement de langue agacé retentit et il vient saisir un barreau sur chacune des deux prisons.
Sous ses doigts, le métal se met à rougir avant de commencer fondre bien moins vite que sa peau et à raison.
Il les relâche et baisse les yeux sur ses mains qui se régénèrent bien trop lentement à son goût.
« Bon bah, plan B, mon loulou. »
D'un geste, il fait sauter le bouchon de la gourde qu'il porte toujours à la ceinture.
Sous sa volonté, l'eau qu'elle contient s'élève et se sépare pour former deux grands cercles sans jointure.
Il les rend plus tranchant qu'un rasoir, aux dents acérées et leur impose une rotation à peine soutenable.
Tant pis si utiliser l'eau aussi finement lui donne une dalle redoutable.
Maintenant, il y a un détail à ne pas négliger.
Surtout s'il ne veut pas se faire encore engueuler.
Ne pas tronçonner les gens dedans.
Adonis survivrait, mais ce serait contre productif de faire de la bouillie d'enfants.
L'eau-tronçonneuse entame les barreaux à bonne vitesse et assèche sa langue sans plaisir aucun.
Il va en bouffer un.
100% il va en bouffer un.
Ou alors, il bouffera Adonis, même si ça n'apaise pas sa faim, ça aura au moins le mérite de calmer ses instincts.
Accepte les commentaires simples et approfondis ainsi que les lectures à voix haute.
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