Aelynn no Hoshi
Badges obtenus : badge_14
Messages : 41
Date d'inscription : 01/11/2023
Messages : 41
Date d'inscription : 01/11/2023
Badges obtenus : badge_14
Messages : 41
Date d'inscription : 01/11/2023
Messages : 41
Date d'inscription : 01/11/2023
Fringale de noël [Ft. Theodore Scott]
Jeu 7 Déc - 10:07
Fringale de noël
Le marché de noël, son parfum, ses artisans ... Et sa bouffe. Appelons un chat un chat non ? C'est que, il a beau y avoir beaucoup de belle chose à voir, moi, c'est mon estomac qui me guide le mieux. Et c'est pas le choix des gourmandises qui manque. Mais voilà, avant ça, faut savoir jouer des coudes et là, c'est un peu moins mon point fort. Bonnet blanc sur la tête, une grosse écharpe nacrée toute douce autour du cou, qui me donnerai presque l'impression d'être encore sous ma couverture ... Presque, il manque ce je ne sait quoi. Et pour l'occasion, un gros manteau par dessus tout ça. C'est que oui, je veux profiter mais j'ai aucune envie de finir frigorifiée. J'ai même remisée mes jupes pour une fois.
Reste que je suis comme les gosses, les yeux rivées sur les étals, les lumières, applaudissant en sautillant quand des artistes de rues animent l'espace d'un instant les lieux. J'aime beaucoup ce moment de l'année. C'est aussi l'occasion de faire des emplettes pour mes petits protégées de l'hôpital. Le petit plus que personne n'aura prévu chez eux. La petite surprise. Je sais que c'est pas toujours facile pour eux, et que même le personne voudrais en faire davantage. Certes j'y vais aussi pour apprendre, me former, m'améliorer dans mes gestes médicaux. Ca me permet aussi d'apprendre comment expliquer ce qu'on va faire en choisissant les bons mots. mais aller y lire une histoire de temps en temps, où simplement accompagnés certains vers le bloc, plus loin que là où les proches peuvent aller, ça fait du bien à ces bouts de chou. Et là pour le coup, j'ai déjà pris pas mal de choses pour eux. Boucle d'Oreilles en forme de flocon de neige pour la petite Marie, une grosse écharpe rouge pour Éloïs qui ira à ravir avec sa bonne bouille ronde, j'ai même trouvé un adorable body pour la toute petite Yvana quand elle pourra sortir avec sa maman d'ici deux où trois mois. Et là, je viens de quitter les semelles toute chaude en agneau, bon pas sans en avoir pris trois paires ... une pour moi et deux pour Lenny et Marcelin, mes jumeaux préférés avec leur pitreries et un courage plus grand que celui de bien des adultes.
Reste que maintenant que je me suis chargée pour eux, j'ai droit de penser un peu égoïstement à moi non ? C'est un peu pour ça que je fais la queue au stand de marron chaud, attendant patiemment mon tour pour avoir mon cornet, poussant quand même la gentillesse à laisser une maman me passer devant avec son bout de chou qui doit pas avoir plus de deux ans. Et mon tour arrive ...
- Je suis désolé mademoiselle, va falloir attendre un peu, j'en ai plus de prêt.
Que ... QUOI ?! Je souri mais dedans, je fulmine. Quinze minutes d'attente. De quoi piétiner sur place ... Et marcher sur le pied de quelqu'un en le bousculant en prime...
- Oh, excusez moi, je ne voulais pas ...
Un très gros merci à Mama Lisbeth <3
▼ Badges ▼
Invité
Re: Fringale de noël [Ft. Theodore Scott]
Dim 17 Déc - 13:31
3RP.
Fringale de Noël
« La vie est comme le chocolat, c’est l’amer qui fait apprécier le sucre. »
« La vie est comme le chocolat, c’est l’amer qui fait apprécier le sucre. »
musique d'ambiance : noel marché youtube
Theodore se promenait dans le reste de Paris, près des parcs mais plus précisément dans un marché bien connu pour ses décorations et ses ventes artisanales. Tout était fait pour vous faire apprécier l’esprit des fêtes et de Noël. Les marchands et marchandes s’étaient vêtue de costumes de noël, leurs étales étaient décorés de lumières scintillantes comme les étoiles, des sapins à leurs pieds et la commune avait eu la bonne idée de faire jouer une musique de Noël dans les rues aux pavés. L’air était glacial, le froid, plus intense de jour en jour, piquait cruellement le nez et les oreilles. Theodore s’était vêtue dans une tenue bien plus classique que celle qui portait habituellement dans son casino : finit les paillettes, les capes longues aux couleurs d’un ciel étoilé. Il s’était vêtu d’un manteau marron bien chaud assez long qui lui arriva jusqu’au genoux. En dessous il portait un pull en laine blanc, épais qui le protégea du souffle glacial. Un pantalon gris clair et des bottines marrons pour le protéger du sol givré. C’est ainsi, en tenue d’hiver qu’il se promena dans le marché. Il adorait la foule, le spectacle, le grandiose…
L’odeur du vin chaud et des chocolats attira son attention, mais c’est sans doute en regardant un passant avec des marrons chauds dans les mains qui le fit changer d’avis.
Je gouterai bien cette merveille, pensa-t-il.
Il chercha le stand en question et vit au fur-à-mesure de sa marche un grand nombre de personne avec des marrons chauds dans les mains.
Décidément, c’est qu’ils doivent être délicieux…
Des enfants raient, des familles souriaient tout semblaient bien plus beau que cela ne devrait être en réalité. Theodore le savait bien, sinon il n’aurait pas créé son casino.
Notre oiseau scruta de ses yeux bleu céleste les étales, enfin ! Il avait enfin trouvé le stand en question, mais la queue le fit grimacer, une moue déçue presque enfantin.
« C’est bien ce qu’il me semblait, ces marrons chauds se méritent. »Pensa-t-il à voix haute.
Il avança et fit la queue, une femme enceinte le déplaça pour aller ensuite se positionner devant une jeune femme. Cinq minutes… puis dix… et enfin quinze, le temps était long et paraissait pour notre jeune Ara une éternité ! Il avait faim, l’attente lui avait ouvert l’appétit et il n’avait qu’une envie : déguster ces marrons chauds. Il ne restait plus que la jeune femme et lui mais…
« Je suis désolé mademoiselle, va falloir attendre un peu, j'en ai plus de prêt. »
Observateur, Theodore remarqua que la jeune femme ne tenait plus en place face à cette affreuse révélation. Le grand blond soupira avant de se mordre les lèvres : on lui avait marché sur le pied.
« Oh, excusez moi, je ne voulais pas ... »
Elle s’était retournée et Theodore pu enfin voir à quoi ressemblait la jeune femme. Ses mèches auburn semblaient se débattre face au froid, une couleur assez rare qui attira l’attention de notre colibri. Il ne put s’empêcher de penser à ses tenues de casino qui pourrait lui aller à ravir. Mais cela n’était que minime lorsqu’il croisa son regard. Des yeux en amande, un visage rond et innocent. Ce type de beauté qui lui donnait un cachet si particulier : la tête ovale avec des pommettes un peu rougit par le froid, le nez droit, le teint pur, les yeux d'un bleu clair limpide, au regard doux et pensif, la figure suave avec une expression candide, la taille svelte, les mains fines et allongées, le pied petit et cambré. Theodore était observateur… Un peu trop.
« Ce n’est rien cela arrive. » sourit-il amicalement.
« J’ai cru comprendre que nous devions patienter davantage pour obtenir ces précieux marrons chauds ? Je suis un peu rassuré de ne pas être le seul à attendre ! » ajouta-t-il d’une voix douce avec son regard affectueux.
Le marchand préparait pendant ce temps avec minutie ses délicieux marrons chauds. Soudain, sont visage s’assombrie, peiné de devoir leur annoncer cette terrible nouvelle.
« Madame vos marrons chaud, mais pardonnez-moi Monsieur je n’en ai plus en stock, mes marrons chauds ont été victime de leur succès… j’en suis navré… »
« Oh… » lâcha-t-il simplement, déçu.
Décidément il avait attendu tout ce temps pour rien. Il salua le cuisinier et tourna les talons. Il devait manger, son ventre se tordait de douleur.
Et alors qu’il allait se diriger vers un autre stand, quelqu’un lui agrippa la manche de son manteau. Une odeur de marrons chaud lui frétilla les narines.
Theodore se promenait dans le reste de Paris, près des parcs mais plus précisément dans un marché bien connu pour ses décorations et ses ventes artisanales. Tout était fait pour vous faire apprécier l’esprit des fêtes et de Noël. Les marchands et marchandes s’étaient vêtue de costumes de noël, leurs étales étaient décorés de lumières scintillantes comme les étoiles, des sapins à leurs pieds et la commune avait eu la bonne idée de faire jouer une musique de Noël dans les rues aux pavés. L’air était glacial, le froid, plus intense de jour en jour, piquait cruellement le nez et les oreilles. Theodore s’était vêtue dans une tenue bien plus classique que celle qui portait habituellement dans son casino : finit les paillettes, les capes longues aux couleurs d’un ciel étoilé. Il s’était vêtu d’un manteau marron bien chaud assez long qui lui arriva jusqu’au genoux. En dessous il portait un pull en laine blanc, épais qui le protégea du souffle glacial. Un pantalon gris clair et des bottines marrons pour le protéger du sol givré. C’est ainsi, en tenue d’hiver qu’il se promena dans le marché. Il adorait la foule, le spectacle, le grandiose…
L’odeur du vin chaud et des chocolats attira son attention, mais c’est sans doute en regardant un passant avec des marrons chauds dans les mains qui le fit changer d’avis.
Je gouterai bien cette merveille, pensa-t-il.
Il chercha le stand en question et vit au fur-à-mesure de sa marche un grand nombre de personne avec des marrons chauds dans les mains.
Décidément, c’est qu’ils doivent être délicieux…
Des enfants raient, des familles souriaient tout semblaient bien plus beau que cela ne devrait être en réalité. Theodore le savait bien, sinon il n’aurait pas créé son casino.
Notre oiseau scruta de ses yeux bleu céleste les étales, enfin ! Il avait enfin trouvé le stand en question, mais la queue le fit grimacer, une moue déçue presque enfantin.
« C’est bien ce qu’il me semblait, ces marrons chauds se méritent. »Pensa-t-il à voix haute.
Il avança et fit la queue, une femme enceinte le déplaça pour aller ensuite se positionner devant une jeune femme. Cinq minutes… puis dix… et enfin quinze, le temps était long et paraissait pour notre jeune Ara une éternité ! Il avait faim, l’attente lui avait ouvert l’appétit et il n’avait qu’une envie : déguster ces marrons chauds. Il ne restait plus que la jeune femme et lui mais…
« Je suis désolé mademoiselle, va falloir attendre un peu, j'en ai plus de prêt. »
Observateur, Theodore remarqua que la jeune femme ne tenait plus en place face à cette affreuse révélation. Le grand blond soupira avant de se mordre les lèvres : on lui avait marché sur le pied.
« Oh, excusez moi, je ne voulais pas ... »
Elle s’était retournée et Theodore pu enfin voir à quoi ressemblait la jeune femme. Ses mèches auburn semblaient se débattre face au froid, une couleur assez rare qui attira l’attention de notre colibri. Il ne put s’empêcher de penser à ses tenues de casino qui pourrait lui aller à ravir. Mais cela n’était que minime lorsqu’il croisa son regard. Des yeux en amande, un visage rond et innocent. Ce type de beauté qui lui donnait un cachet si particulier : la tête ovale avec des pommettes un peu rougit par le froid, le nez droit, le teint pur, les yeux d'un bleu clair limpide, au regard doux et pensif, la figure suave avec une expression candide, la taille svelte, les mains fines et allongées, le pied petit et cambré. Theodore était observateur… Un peu trop.
« Ce n’est rien cela arrive. » sourit-il amicalement.
« J’ai cru comprendre que nous devions patienter davantage pour obtenir ces précieux marrons chauds ? Je suis un peu rassuré de ne pas être le seul à attendre ! » ajouta-t-il d’une voix douce avec son regard affectueux.
Le marchand préparait pendant ce temps avec minutie ses délicieux marrons chauds. Soudain, sont visage s’assombrie, peiné de devoir leur annoncer cette terrible nouvelle.
« Madame vos marrons chaud, mais pardonnez-moi Monsieur je n’en ai plus en stock, mes marrons chauds ont été victime de leur succès… j’en suis navré… »
« Oh… » lâcha-t-il simplement, déçu.
Décidément il avait attendu tout ce temps pour rien. Il salua le cuisinier et tourna les talons. Il devait manger, son ventre se tordait de douleur.
Et alors qu’il allait se diriger vers un autre stand, quelqu’un lui agrippa la manche de son manteau. Une odeur de marrons chaud lui frétilla les narines.
▼ Badges ▼
Aelynn no Hoshi
Badges obtenus : badge_14
Messages : 41
Date d'inscription : 01/11/2023
Messages : 41
Date d'inscription : 01/11/2023
Badges obtenus : badge_14
Messages : 41
Date d'inscription : 01/11/2023
Messages : 41
Date d'inscription : 01/11/2023
Re: Fringale de noël [Ft. Theodore Scott]
Dim 17 Déc - 14:24
Fringale de noël
J'étais obligée de relever un peu la tête pour faire face au malheureux sur lequel je venais de marcher. Croisant des yeux d'un bleu plus glace qu'azur, rehausser par des cheveux blond qui donnait à son visage un air mystérieux. Un brin à vous mettre mal à l'aise mais en vérité, c'était surtout de lui avoir marcher dessus qui me mettais dans cet état. Heureusement, pas une brute du genre à s'énerver et je souri en retour, rassurée. Oui, ce sont des choses qui arrive, qui m'arrive trop souvent en vérité.
- Visiblement oui, le stand à été dévalisé.
Je ris doucement, voilà ça aussi ça arrive. Ce serait un crime impardonnable en vérité si j'écoute la voix de mon estomac mais heureusement, j'ai trouver à faire la discussion pour empêcher mon ventre d'être seul à prendre des décisions. Et puis bon, ça permet d'oublier un peu qu'il fait froid.
- Transformons nous ensemble en bonhomme de neige en attendant alors.
Je le sais, je l'entend, ça sonne stupide et enfantin mais c'est noël, avec sa magie donc ça ne compte pas tant. Et puis, ça me permet d'avoir une excuse pour porter mes mains vers mon visage et soufflé sur le bout de mes doigts. Le temps de les réchauffer un brin avant que le marchant ne nous sorte de cette discussion. Plus de marron ? Enfin j'ai mon cornet. Ceci dit, la déception dans la voix de mon "partenaire" d'attente me touche. J'hésite un brin à être égoïste, je l'avoue mais le temps que je prenne décision et je réalise qu'il s'éloigne. En route. Quelques pas vif, avant de tendre la main, serrant l'autre sur mon précieux butin chaud. Un pas de plus, attraper sa manche tout en prenant parole.
- Ca vous dis de partager ?
Oui, c'est le moins que je puisse faire tendis que je relève les yeux pour croiser les siens, froid d'apparence mais avec ce brin de chaleur qui me plaît. La chance que je n'ai pas de place actuellement pour envisager une vie amoureuse. Puis bon, on ne tombe pas ainsi en pamoison devant le premier inconnu qui vient. Reste que, c'est noël, le bon moment pour me montrer encore plus gentille. Pas que je crains de ne pas recevoir de cadeau sinon, mais simplement, petit souvenir qu'on reçoit ce qu'on donne. Et puis, visiter le marché en étant accompagné c'est plus plaisant non ? Peut-être que je pourrai ainsi un peu plus me concentrer sur la beauté du lieu que sur mes pieds qui doucement se change en glaçon. Et j'aurai une bonne excuse en rentrant pour expliquer à mère que j'ai le droit de penser à autre chose qu'à mes études une fois de temps en temps. Père aime cette tradition, mère elle ne vois que l'aspect commercial ... Mais c'est pas le moment de penser à eux ! Je tend le cornet de marron fumant vers le jeune homme, souriant de plus belle.
- Paraîtrait que c'est toujours meilleur quand on les partages.
Comme n'importe quel repas. C'est toujours un peu moins fade quand on a quelqu'un avec qui discuter. Même si c'est pour critiquer le manque d'assaisonnement où ... Mais je m'égare encore dans mes pensées, reste que j'offre généreusement un peu de mes précieux marrons chaud. Et ma petite voix égoïste s'offusque du geste. Pas comme si je l'écoutais souvent ceci dit.
Un très gros merci à Mama Lisbeth <3
▼ Badges ▼
Invité
Re: Fringale de noël [Ft. Theodore Scott]
Mer 20 Mar - 13:32
3RP.
Fringale de Noël
« La vie est comme le chocolat, c’est l’amer qui fait apprécier le sucre. »
« La vie est comme le chocolat, c’est l’amer qui fait apprécier le sucre. »
Theodore avançait à la recherche d’un autre stand de marron chaud. Ce n’est pas le seul stand il y en avait pleins d’autres, parfois un peu trop ressemblant les uns des autres. Alors qu’il fuyait le stand précédent, l’odeur des marrons chauds continuait de se faire sentir, comme si cela se rapprochait de lui. Soudain, quelqu’un lui tira la manche, il s’arrêta et se retourna vers la personne en question. Il s’agissait de la jeune femme de tout à l’heure avec son humour enfantin que Theodore trouvait tendrement innocent.
« Ca vous dis de partager ? »
Theodore sourit, il ne s’attendait pas à ce qu’elle le rattrape pour lui proposer de partager ses marrons chauds. Il en profita pour lui sourire, un sourire charmeur, coquin qu’il prenait un malin plaisir à faire. Il savait comment s’y prendre, ce sourire qui semait le doute si bien qu’il était difficile pour ses interlocuteur de connaitre ses réelles intentions.
« C’est gentil, merci. » dit-il simplement.
Il se servit, la chaleur du marron chaud lui apporta un bien fou à ses doigts gelés et il le savoura d’autant plus lorsqu’il le mit dans sa bouche. Enfin ! lui qui commençait à avoir terriblement faim. Comme quoi, il existait encore quelques personnes bienveillantes dans ce monde corrompu.
« Ils sont délicieux ! Vous ne trouvez pas ? Je regrette de ne pas en avoir pris un sachet… » dit-il en mimant une moue déçue et pensif, assez enfantin.
« Paraîtrait que c'est toujours meilleur quand on les partages. »
Theodore ne dit pas un mot. Cette phrase, il l’était persuadé de l’avoir entendu quelque part il y a bien longtemps…
« Je suis bien d’accord avec vous ! Vous semblez très courtoise et bienveillante. Et si nous continuons un peu cette dégustation ? Je ne veux pas que vous vous sentiez obligée bien entendu. Personnellement je n’ai rien de prévu, juste l’envie de me promener et de profiter des festivités hivernales. »
Theodore était charmeur mais il ne voulait pas non plus de créer de malentendu. Il n’avait pas l’intention de rencontrer l’amour aujourd’hui. Faire des rencontres, pourquoi pas, c’est quelque chose qui lui plait énormément mais il ne souhaitait pas jouer avec les sentiments d’une inconnue, surtout que cela ne lui rapportera pas grand-chose à part quelques marrons chaud en plus, et encore…
Ils avancèrent un peu plus profondément dans le marché. Des chœurs composés d’enfants commencèrent à chanter à leur passage, l’artiste en lui apprécia les efforts fournit par les enfants. La neige tombait avec délicatesse et ils se promenaient, pointant du doigts quelques objets intéressant des stands et en discutant un peu, libérant la parole timidement. Ils avaient l’air d’un jeune couple qui n’en était pas un. Ce noël était un beau morceau de poésie. Si bien que cela paraissait trop irréaliste au gout de notre oiseau du paradis.
« D’ailleurs, je ne me suis pas présenté : Je m’appelle Theodore, Theodore SCOTT. Enchanté Madame… ? » demanda-t-il d’une voix attendrie et mélodieuse.
« Il y a-t-il un stand en particulier qui vous intéresserait ? Ou souhaitez-vous manger quelque part ? J’aimerai vous remercier pour ces délicieux marrons chauds ! » dit-il enjoué, en toute simplicité.
« Ca vous dis de partager ? »
Theodore sourit, il ne s’attendait pas à ce qu’elle le rattrape pour lui proposer de partager ses marrons chauds. Il en profita pour lui sourire, un sourire charmeur, coquin qu’il prenait un malin plaisir à faire. Il savait comment s’y prendre, ce sourire qui semait le doute si bien qu’il était difficile pour ses interlocuteur de connaitre ses réelles intentions.
« C’est gentil, merci. » dit-il simplement.
Il se servit, la chaleur du marron chaud lui apporta un bien fou à ses doigts gelés et il le savoura d’autant plus lorsqu’il le mit dans sa bouche. Enfin ! lui qui commençait à avoir terriblement faim. Comme quoi, il existait encore quelques personnes bienveillantes dans ce monde corrompu.
« Ils sont délicieux ! Vous ne trouvez pas ? Je regrette de ne pas en avoir pris un sachet… » dit-il en mimant une moue déçue et pensif, assez enfantin.
« Paraîtrait que c'est toujours meilleur quand on les partages. »
Theodore ne dit pas un mot. Cette phrase, il l’était persuadé de l’avoir entendu quelque part il y a bien longtemps…
« Je suis bien d’accord avec vous ! Vous semblez très courtoise et bienveillante. Et si nous continuons un peu cette dégustation ? Je ne veux pas que vous vous sentiez obligée bien entendu. Personnellement je n’ai rien de prévu, juste l’envie de me promener et de profiter des festivités hivernales. »
Theodore était charmeur mais il ne voulait pas non plus de créer de malentendu. Il n’avait pas l’intention de rencontrer l’amour aujourd’hui. Faire des rencontres, pourquoi pas, c’est quelque chose qui lui plait énormément mais il ne souhaitait pas jouer avec les sentiments d’une inconnue, surtout que cela ne lui rapportera pas grand-chose à part quelques marrons chaud en plus, et encore…
Ils avancèrent un peu plus profondément dans le marché. Des chœurs composés d’enfants commencèrent à chanter à leur passage, l’artiste en lui apprécia les efforts fournit par les enfants. La neige tombait avec délicatesse et ils se promenaient, pointant du doigts quelques objets intéressant des stands et en discutant un peu, libérant la parole timidement. Ils avaient l’air d’un jeune couple qui n’en était pas un. Ce noël était un beau morceau de poésie. Si bien que cela paraissait trop irréaliste au gout de notre oiseau du paradis.
« D’ailleurs, je ne me suis pas présenté : Je m’appelle Theodore, Theodore SCOTT. Enchanté Madame… ? » demanda-t-il d’une voix attendrie et mélodieuse.
« Il y a-t-il un stand en particulier qui vous intéresserait ? Ou souhaitez-vous manger quelque part ? J’aimerai vous remercier pour ces délicieux marrons chauds ! » dit-il enjoué, en toute simplicité.
▼ Badges ▼