Un Akumatisé au marché : Trashman, le voilà !

Quand on tient un café, on ne peut pas se mettre d’avoir de mauvais produits, même si le thème du café en question sont les mangas, si ce que l’on propose ne convient pas au palet des clients, ils cesseront de revenir, après tout ce ne sont pas les solution de lecture de manga qui manque en lignes, les gens viennent surtout pour le cadre, le fait que ce soit peu chère et les possibles rencontres.

Et ça ne peut se faire correctement que si tout le monde apprécie ce qu’il mange ou ce qu’il boit, ça signifie des produits frais, de bonne qualité et qui n’ont pas traversé la moitié du globe pour arriver à Paris.
Et donc il faut bien aller parler aux primeurs pour parler affaires et avoir des livraisons de produits régulièrement.

Le meilleur moyen de faire ça est de traîner sur les marchés, rencontrer les primeurs et leur proposer un accord, car autant ce que je peux trouver aujourd’hui peut servir pour demain, mais les produits n’iront pas plus loin, en tous cas si on propose de la qualité.
Comme c’est le cas du Manga-Tori nous sommes exigeant sur le temps de conservation des produits et ce que l’on n’utilise pas pour le café en général fini dans nos assiettes pour éviter les pertes.

Voilà pourquoi je suis en plein marché, et si j’y vais vers midi, c’est pour voir la tronche des produits une fois la matinée passé, car autant le matin tous les produits peuvent paraître correcte, autant il suffit de laisser passer un peu de temps pour que l’on voit les imperfection apparaître et c’est ce qui fera la différence entre les gens auquel je parlerait de nous fournir et les autres.
On serait plus nombreux au Manga-Tori on aurait un chef qui fait le marché tous les matins, mais étant le seul employé il me faut trouver des solutions pour des soucis qui n’ont pas lieu d’exister, cela dit ce ne sont pas des problèmes que l’argent ne peut pas résoudre.. Cela dit, de tels problèmes sont assez rares.

Bref, me voila en train d’échanger quelques mots avec un primeurs, j’ai remarqué que ses pêches étaient particulièrement belle, mais je crains qu’elle soit des O.G.M, je lui posent quelques question sur leurs provenance, après tout ce n’est pas lui qui les fait pousser pour la majorité, elle vient d’espagne apparemment, ça reste assez proche de la France pour que ce soit intéressant, je lui en prends deux afin de les goûter tout en continuant ma balade.

La journée s’annonce bonne, bien que je ne peux me sentir un peu dégoûté de l’état de l’étal du poissonnier qui se trouve un peu plus loin.
Son poisson sens d’ici et ne semble pas très frais, sans parler que les récipients d’origine des dis produit traine ça et là derrière l’étal.