Alekos Cousteau ♦ Don't give in without a fight

Il a vu le jour en Grèce, lorsque Tiphaine Cousteau lui a donné la vie dans ce pays, alors qu’elle et sa petite-amie étaient en voyage. Étant toutes deux tombées sous le charme de cet endroit, elles ont décidé d’y rester jusqu’à la naissance d’Alekos. C’est pour cette raison qu’il possède un prénom grec. Son père, un jeune homme Laotien, avait disparu de la vie de Tiphaine aussitôt qu’il eut appris que son ex-copine était enceinte. Il était probablement retourné au Laos, là où la Française était partie à sa recherche lors des premiers mois de sa grossesse. Là-bas, elle avait fait la rencontre d’une jeune femme qui étudiait le français. Parfois, le hasard fait bien les choses, car Tiphaine avait tout de suite plu à Lawan. Depuis, elles sont inséparables.
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Alekos grandit en France, élevé par ses deux mères ; Tiphaine et Lawan. C’est en 2013 que les deux amoureuses prirent la décision de se marier. Le petit a eu une bonne enfance, malgré le fait qu’il repoussait la plupart des enfants qui tentaient de devenir ami avec lui. Il a toujours été bien dans sa bulle et il n’a jamais cherché à retrouver son géniteur, le traitant même de lâche. Bref, Al n’avait pas vraiment de mauvaises notes et il était excellent en sport. Grâce à Lawan, il sait parler le lao (dialecte de Vientiane), en plus de sa langue maternelle qui est le français. Récemment, il a commencé à étudier le grec, intrigué par les origines de son prénom étranger. Il a encore beaucoup de choses à apprendre sur ce sujet, mais il persévère.
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Aujourd’hui, Alek cherche à devenir un vrai héros, tout en continuant de vivre sa vie normalement et de faire ses études en océanographie. Les porteurs de Miraculous l’ont inspiré à suivre un bon chemin et à sauver le plus de gens possible. Du coup, il espère être lui-même quelqu’un en qui les citoyens pourront avoir confiance pour les protéger. Le monde semble en avoir bien besoin, ces temps-ci… Si seulement Alekos pouvait être choisi, lui aussi.
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Il a passé son adolescence à jouer au justicier sans en être un. Il ne faisait qu’aider les autres à régler leurs problèmes banaux et à s’entraîner sans relâche pour le jour où son moment viendra. Par exemple, il sauvait principalement des animaux en difficulté ou des enfants incapables de se défendre face à des brutes, mais Al veut accomplir plus que ça. Il souhaite rendre Paris et le reste du monde plus sécuritaire. Il veut se sentir réellement utile. Et eux, les vilains, qui sont-ils pour transmettre leurs malheurs aux innocents qui n’ont demandé qu’à vivre tranquillement ?
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Le héros en devenir sent la rage s’agiter en lui à chaque fois qu’il voit quelqu’un poser des problèmes. Il perd soudainement sa compassion pour les individus qui cherchent à répandre le mal sur la planète. Son but est de contribuer à les stopper. Personne n’a demandé à souffrir. Il a même perdu une amie qu’il considérait comme une petite sœur. Ça fait déjà quatre ans et Abélia lui manque chaque jour. Elle était sa voisine depuis aussi longtemps qu’il se souvient.
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Pourtant, la mort d’Abélia n’a pas été causée par un akumatisé, mais plutôt par un cambrioleur ordinaire ayant perdu la raison. Après avoir entendu un cri familier dans la nuit, Alek s’est levé en panique et est arrivé juste à temps pour sauver les parents de son amie, ayant assommé le criminel. C'est à la suite de cet événement que le jeune adulte a décidé de devenir officiellement un héros.
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Si un simple intrus peut ruiner une vie aussi rapidement, alors les étranges personnalités (les akumatisés) qui sont apparues à Paris le peuvent également, peut-être plus facilement. Papillon, Pharaon, Miss Négative, Helloween, Chronopathe… Et tous les autres à venir. Ce genre de personne doit se faire arrêter avant que la situation ne devienne pire. Alekos ne supporterait pas le contraire. Ceux qui se laissent posséder et séduire par le mal sont faibles. Il les déteste (en plus des ravages qu’ils ont fait) au plus haut point, bien qu’il risque lui-même de se montrer plutôt cruel, face à eux… Mais ce serait pour la bonne cause, non ?