Invité
Comme si c'était facile - Yukio
Ven 6 Mai - 23:43
Yukio KaedeIl ne s'agit pas de peindre la vie, mais de rendre la peinture vivante.
Tomo – Genshin Impact
Yuki, Ame
29.06.1996
Masculin
Impartial
Artiste
Miraculous : [X] Réservation [ ] Aléatoire
Ziggy
Akumatisation : [X] Oui [ ] Non
On t'appelle comment sur la toile ? Je suis Crimslower !
Ton p'tit âge ? 22 presque 23 années de vie u_u
Comment nous as-tu connu ? Via top-sites, que j’ai utilisés pour la première fois x)
Un commentaire ? Me semble que quelqu’un avait parlé de cookies, à mon arrivée sur le discord !
Ton p'tit âge ? 22 presque 23 années de vie u_u
Comment nous as-tu connu ? Via top-sites, que j’ai utilisés pour la première fois x)
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Caractère
Du bleu clair, du blanc, un peu de cyan et du brun. L’épaisse couche de neige apparaît dans un petit rectangle, cachant presque un arbre sous une couverture blanche. Comme un hiver gardant la terre à l’abri sous une couche de neige, tu es un jeune homme qui prévient. Protecteur et bienveillant, présent pour les gens qui comptent réellement, et pour ceux qui compteront. Comme l’hiver, tu penses au futur, au renouveau et à ce qui attend après. Peut-être es-tu ce changement, finalement ? Quoiqu’il en soit, la neige hivernale cache souvent une belle ambition, celle d’un avenir plus radieux, et clairement, cela te correspond. Cependant… Le froid de cette saison peut cacher de terribles gelées, rancunier sur les erreurs passées. Gare à ne pas vexer la nature, elle le rendra bien.
Tu observes la case de l’hiver, satisfait. Oui, certainement, c’est une jolie case. Mais ta peinture n’est pas terminée. Déjà, tu dois passer au printemps. Tu réfléchis, pioches beaucoup de vert, du brun. Tu n’hésites évidemment pas à rajouter du rose, du bleu et du blanc, peignant des fleurs au gré de tes envies. Comme le printemps, tu es un être doux et délicat. Et cette peinture le prouve, au vu de tes légers coups de pinceau, précis et sans brutalité. Tu ne t’arrêtes pas de peindre. Comme la saison à laquelle tu offres des couleurs, tu travailles d’arrache-pied pour atteindre l’étape suivante. Si bien que cela te rend parfois un peu trop maniaque, d’un point de vue extérieur. Et ils n’ont finalement pas tort : le désordre, ce n’est pas ta tasse de thé.
Mais cessons de parler de mauvais rangement, puisque, déjà, la case du printemps est achevée. Tu la regardes d’un air fier, alors qu’un sourire étire tes lèvres. Bien, il est temps de passer à l’été. L’été et ses fruits, ses couleurs chaudes et douces, réchauffant tous les cœurs. Un peu comme toi, finalement. Toi qui respire la vie à pleins poumons, aussi chaleureux qu’un rayon de soleil. Toi qui, comme les insectes parcourant l’été, voles souvent au-dessus des problèmes, aussi léger que le vent. Ce qui est amusant, c’est que, de la même manière que la chaleur de cette saison, ton sang bouillonne vite en cas de souci lié à quelque chose qui te tient à cœur. Et cela a déjà été prouvé… Tu es quelqu’un d’impulsif, n’est-ce pas ?
Un nouveau sourire se dessine sur ton visage, alors que tu ignores cette inaudible question. Ton pinceau saisit automatiquement des couleurs rouges, oranges et jaunes. Oui, l’automne est ta saison préférée. Peut-être à cause de ton jeune frère, peut-être pas ? Quoiqu’il en soit, tes mouvements adroits dessinent une pluie de feuilles volantes, qui, finalement, te représentent particulièrement bien. Toi, l’esprit libre, qui vole au-dessus des gens, au-dessus de ses problèmes. Toi qui rêves éveillé, planant la tête dans les nuages. Oui, tu es bien tout ça. Mais tu es plus que cela. Comme des enfants jouant dans les feuilles mortes, tu aimes rire et t’amuser. Et puis tu as ce petit côté taquin que tes proches apprécient particulièrement. Et avec tout cela, tu possèdes l’aura mystérieuse de l’automne. Tes secrets, tu les partages avec elle seule, tes soucis également. Sans doute parce que tu ne souhaites pas inquiéter ton entourage, mais est-ce que cela change quelque chose à tes habitudes secrètes ?
Pas vraiment finalement. Parce que tu es un mélange de toutes ces saisons, que tu as leur essence en toi. Tu es elles et elles sont toi.
Tu observes la case de l’hiver, satisfait. Oui, certainement, c’est une jolie case. Mais ta peinture n’est pas terminée. Déjà, tu dois passer au printemps. Tu réfléchis, pioches beaucoup de vert, du brun. Tu n’hésites évidemment pas à rajouter du rose, du bleu et du blanc, peignant des fleurs au gré de tes envies. Comme le printemps, tu es un être doux et délicat. Et cette peinture le prouve, au vu de tes légers coups de pinceau, précis et sans brutalité. Tu ne t’arrêtes pas de peindre. Comme la saison à laquelle tu offres des couleurs, tu travailles d’arrache-pied pour atteindre l’étape suivante. Si bien que cela te rend parfois un peu trop maniaque, d’un point de vue extérieur. Et ils n’ont finalement pas tort : le désordre, ce n’est pas ta tasse de thé.
Mais cessons de parler de mauvais rangement, puisque, déjà, la case du printemps est achevée. Tu la regardes d’un air fier, alors qu’un sourire étire tes lèvres. Bien, il est temps de passer à l’été. L’été et ses fruits, ses couleurs chaudes et douces, réchauffant tous les cœurs. Un peu comme toi, finalement. Toi qui respire la vie à pleins poumons, aussi chaleureux qu’un rayon de soleil. Toi qui, comme les insectes parcourant l’été, voles souvent au-dessus des problèmes, aussi léger que le vent. Ce qui est amusant, c’est que, de la même manière que la chaleur de cette saison, ton sang bouillonne vite en cas de souci lié à quelque chose qui te tient à cœur. Et cela a déjà été prouvé… Tu es quelqu’un d’impulsif, n’est-ce pas ?
Un nouveau sourire se dessine sur ton visage, alors que tu ignores cette inaudible question. Ton pinceau saisit automatiquement des couleurs rouges, oranges et jaunes. Oui, l’automne est ta saison préférée. Peut-être à cause de ton jeune frère, peut-être pas ? Quoiqu’il en soit, tes mouvements adroits dessinent une pluie de feuilles volantes, qui, finalement, te représentent particulièrement bien. Toi, l’esprit libre, qui vole au-dessus des gens, au-dessus de ses problèmes. Toi qui rêves éveillé, planant la tête dans les nuages. Oui, tu es bien tout ça. Mais tu es plus que cela. Comme des enfants jouant dans les feuilles mortes, tu aimes rire et t’amuser. Et puis tu as ce petit côté taquin que tes proches apprécient particulièrement. Et avec tout cela, tu possèdes l’aura mystérieuse de l’automne. Tes secrets, tu les partages avec elle seule, tes soucis également. Sans doute parce que tu ne souhaites pas inquiéter ton entourage, mais est-ce que cela change quelque chose à tes habitudes secrètes ?
Pas vraiment finalement. Parce que tu es un mélange de toutes ces saisons, que tu as leur essence en toi. Tu es elles et elles sont toi.
Physique
Mais la toile n’est pas encore prête. Nouveau coup de pinceau. Un blond pâle, élégant et chaleureux. Les cheveux que tu peins se dévoilent à vue d’œil. Tu sembles beaucoup apprécier cette couleur, très proche de la réalité. Les coups de pinceau suivants se transforment en une tignasse, à peine coiffée en queue de cheval. Et même si tu ne sais pas pourquoi tu gardes cette coiffure, tu refuses de couper un seul de ces cheveux. Sans doute était-elle importante à l’ancien toi ?
Quoiqu’il en soit, ton pinceau finit par aller chercher un beige très clair. Et s’il te faut plusieurs mélanges pour atteindre la teinte parfaite, à la fois pêche et douce, il faut bien avouer que le résultat est charmant. Et d’autant plus lorsque tu peins un jeune homme élégant et plutôt musclé. On t’a conseillé de te peindre, pour tester, et c’est ce que tu fais, au milieu des quatre saisons. Tu n’as clairement pas la carrure d’un bodybuilder, certes, mais on ne peut nier que tu prends soin de ses formes. Pour autant, tu n’en viens pas à peindre réellement cela, puisqu’un long kimono rouge vient tomber jusqu’à tes pieds.
Et après avoir terminé ledit kimono, tu vas piocher un bleu, doté d’une pointe de violet. Associé à toutes les couleurs dont tu as besoin, le visage sur la peinture vient à apparaître. Tu recules légèrement, cherchant une petite erreur, et contemples ainsi un visage doux et souriant, aux traits asiatiques et dotés de deux yeux clairs et expressifs. Un œil averti pourrait d’ailleurs noter une fine cicatrice sur le nez, vestige d’une bataille dont tu n’as aucun souvenir. Quoiqu’il en soit… Non, ta peinture n’a pas besoin de retouche.
Cela ne te satisfait pourtant pas, puisque son objectif se révèle avoir échoué. Mais bon. Tu trouveras, d’une autre manière.
Quoiqu’il en soit, ton pinceau finit par aller chercher un beige très clair. Et s’il te faut plusieurs mélanges pour atteindre la teinte parfaite, à la fois pêche et douce, il faut bien avouer que le résultat est charmant. Et d’autant plus lorsque tu peins un jeune homme élégant et plutôt musclé. On t’a conseillé de te peindre, pour tester, et c’est ce que tu fais, au milieu des quatre saisons. Tu n’as clairement pas la carrure d’un bodybuilder, certes, mais on ne peut nier que tu prends soin de ses formes. Pour autant, tu n’en viens pas à peindre réellement cela, puisqu’un long kimono rouge vient tomber jusqu’à tes pieds.
Et après avoir terminé ledit kimono, tu vas piocher un bleu, doté d’une pointe de violet. Associé à toutes les couleurs dont tu as besoin, le visage sur la peinture vient à apparaître. Tu recules légèrement, cherchant une petite erreur, et contemples ainsi un visage doux et souriant, aux traits asiatiques et dotés de deux yeux clairs et expressifs. Un œil averti pourrait d’ailleurs noter une fine cicatrice sur le nez, vestige d’une bataille dont tu n’as aucun souvenir. Quoiqu’il en soit… Non, ta peinture n’a pas besoin de retouche.
Cela ne te satisfait pourtant pas, puisque son objectif se révèle avoir échoué. Mais bon. Tu trouveras, d’une autre manière.
Histoire
Tu observes ton reflet dans la toile. Ton reflet qui certes n’est pas encore sec, mais te représente bien, alors même que tu ne t’en rends pas compte. Tu t’assieds sur ton lit, observant les détails de la peinture. Ton visage est presque boudeur, peiné. Ce n’est pas qu’elle ne te plait pas, non. Mais si tu l’as faite, ce n’est pas spécialement parce que tu voulais te peindre au milieu des saisons. On t’a conseillé de le faire, mais visiblement, cela ne servait à rien.
Sans doute que, pour comprendre, il faudrait remonter dans le temps. Un voyage de vingt-six années, jusqu’en 1996. Tu es un enfant qui n’était pas à plaindre. Issu d’une famille aisée, tes parents ont toujours eu suffisamment d’argent pour te permettre de vivre correctement. Tu es né à Grenoble, d’un père japonais et d’une mère française, qui t’ont toujours aimé. Pendant sept années, tu as grandi en étant le petit trésor de ses parents. Tu ne manquais de rien. Tu étais déjà un enfant sage et adorable, et tous t’aimaient beaucoup. Ton petit minois, ta gentillesse et ton amour débordant rendaient tes parents fiers.
Et puis, à sept ans, ton univers a changé. Il n’y avait plus juste toi et tes parents. Il y avait aussi lui. Et si certains se sont demandé si tu allais réagir jalousement, tes parents avaient confiance en toi. Dès l’annonce d’un petit frère, tes yeux ont brillé de joie. C’était sûr ! Tu voulais devenir le héros de ce bambin, son grand frère préféré, et toujours le garder avec toi. Peut-être lui apprendre des bêtises, aussi, comme un grand frère digne de ce nom, mais… ça, tu le gardais secret.
Lorsque ton petit frère est né, tu n’as pas changé d’avis. Aussitôt après l’avoir rencontré, sans même juger sa chevelure blanche — après tout, ta maman avait les mêmes —, tu le voulais dans tes bras, lui montrer tes jouets. Il a fallu calmer tes ardeurs, t’expliquant que ton petit frère n’était pas encore assez âgé pour cela. Alors tu t’es contenté de lui promettre de lui présenter toutes tes peluches, une fois assez grand. Tes parents étaient heureux.
Puis, évidemment, le temps a continué à passer. Vous avez déménagé à Paris, et même si tu étais triste de quitter tes amis, tu n’en as pas fait tout un foin. Après tout, tu voulais aller où ta famille allait, pas là où tes copains étaient. Toi et ton petit frère, vous grandissiez à vue d’œil. Tu voulais toujours jouer avec lui, tu voulais tout lui dire et être son professeur de tout. Et puis, lui faire des blagues, le taquiner et l’embêter. Comme un grand frère, finalement.
Tu as développé ton amour pour le dessin grâce à ton petit frère. Bien sûr, à cet âge-là, au début il y avait beaucoup de ratés, et les dessins étaient… Enfantins. Mais tu voulais que ton petit frère puisse voir de belles choses, lorsqu’il serait assez grand. Déjà à l’époque, il semblait emballé par les traits colorés de tes feuilles de papier. Tu as vite fait des progrès, vite adoré cela, et jamais tu ne t’es arrêté.
Mais, lorsque le petit est entré à l’école et qu’il a commencé à être embêté pour ses cheveux… Bien sûr que tu as vu rouge. Tu étais en colère contre ces gamins. Même si toi et ton frère n’étiez pas dans la même école, tu allais l’attendre devant le grillage, prêt à le défendre et à frapper le premier petit con qui osait s’en prendre à lui. Et vu la différence de taille et d’âge entre ces gamins et toi, ils n’osaient pas souvent. Bien sûr, tu savais qu’il y avait des limites à ne pas dépasser. Mais eux ne les voyaient pas, ces limites.
Parallèlement, tu as continué à dessiner. Parfois pour te calmer après avoir manqué de faire avaler leurs dents à ces mioches, parfois pour le plaisir. Et cela s’est vu comme une évidence… Tu voulais faire ta vie dans l’art. Tu savais que ça n’allait pas être facile, mais tu étais confiant. Que ce soit avec des crayons, des feutres, un pinceau ou un stylet, tu te débrouillais bien, très bien.
Alors que ton petit frère était au collège, et que tu avais passé la vingtaine, tes parents ont décidé quelque chose d’autre. Ils voulaient une petite fille. Tu ne leur as jamais donné tort. L’idée d’avoir une petite sœur te plaisait. Et qu’elle soit adoptée ou de sang, cela t’importait peu, puisqu’elle ferait partie de votre famille. Mais lorsque tu as appris qu’elle aussi avait les cheveux blancs… Il faut avouer que tu t’es senti un peu angoissé. Elle aussi aurait à subir les moqueries et les jugements des autres. Elle aussi, il faudrait l’attendre devant le collège et menacer tous les gamins avec un regard froid. Et puis… Tu t’es rendu compte qu’elle le vivait peut-être déjà, cet enfer.
Et vous avez fini par rencontrer cette petite bouille. Petite bouille qui a tenté de fuguer le premier jour, pour se faire attraper par des policiers, puis récupérer par vous. Et même si vous avez tous été extrêmement inquiets, vous ne pouviez pas lui en vouloir. Déjà, vous saviez, puisqu’on vous avait prévenus, et ensuite… Elle débarquait dans un nouveau monde. Vous le saviez, qu’il faudrait un temps pour apprendre à vivre tous ensemble.
Et vous n’avez pas abandonné. Finalement, la petite s’est habituée à vous et vous vous êtes habitués à elle. Des années plus tard, tout allait bien pour vous. Si tu n’avais pas pris ton indépendance, tu travaillais farouchement pour défendre ton métier d’artiste freelance. Et même si tu avais le soutient de tes parents et que tu avais toujours su qu’il te faudrait du temps, tu avais aussi des clients, ce qui te convenait bien. Tu allais toujours aider ton frère, tu avais ajouté ta petite sœur sur la liste des personnes à protéger des abrutis d’enfants. Mais vous étiez heureux, malgré tout.
Et puis… Ce fut à leur tour d’arriver. Papillon et ses méchants. Laadybug, Chat Noir, et les autres héros. Tous ces Super. Ils ne te faisaient pas perdre confiance. Tu savais que tu n’hésiterais jamais à défendre ton frère et ta sœur contre eux. Et puis… Les dégâts n’étaient pas encore trop grands, puisque Ladybug réparait les erreurs de son comparse à fourrure et de leurs adversaires.
Mais Roi-Dio est arrivé. Que faisais-tu au Louvre ce jour-là ? Tes proches ont sûrement dû s’en vouloir de t’avoir laissé aller voir les œuvres d’art. Tu ne cherchais qu’une inspiration, un déclic. Tu errais dans les allées lorsqu’il est apparu, cet animateur radio. Tu avais un œil sur une petite fille, d’environ dix ans, qui traînait seule, distançant toujours ses parents et ses frères, plus loin derrière vous. Inconsciemment, tu la suivais discrètement, un peu comme si tu voulais veiller sur elle. Sans doute une habitude prise, à trop vouloir protéger ton frère et ta sœur. Lorsque les vitres ont explosé, lorsque le Roi-Dio a commencé son bordel, tu étais toujours dans le Louvre.
Tu ne sais pas exactement ce qu’il s’est passé ce jour-là. Mais les parents de la gamine ont tenté de la rejoindre, et vous ont découverts, inconscients. Tu la tenais dans tes bras, il y avait des morceaux de verre partout, des œuvres tombées. Alors qu’ils vous emmenaient en sécurité, tu t’es réveillé. Et très vite, ils ont dû se rendre compte d’un léger souci… Tu ne savais même plus ton nom. Sans doute que tu avais pris quelque chose sur la tête.
Lorsque tu es allé voir l’hôpital pour être certain que ta vie ne soit pas en danger et pour comprendre ce qu’il s’était passé, tu es tombé sur un médecin qui, visiblement, avait passé une sale journée. Sans même te conseiller d’aller faire de la psychothérapie, après avoir constaté que tu avais seulement reçu un sale coup sur la tête, il t’a répondu d’attendre et t’a dit que ta mémoire finirait par revenir d’elle-même. Il t’a fait sortir, avant de faire entrer un autre patient.
Tu es resté avec la famille suite à cela, elle qui avait accepté de t’aider, après que tu as sauvé leur petite fille. Elle n’avait pas perdu la mémoire, contrairement à toi, et se rappelait bien de ce qu’il s’était passé. Mais comme tu n’avais pas de nom et qu’aucune de tes affaires n’avait été retrouvée, il fallait bien trouver une manière de t’appeler. Tu as tenu à ce que les enfants choisissent un prénom adapté, mais… Au vu de ton apparence asiatique, les esprits aiguisés des trois bambins eurent plusieurs choix. Et alors que tu te trouvais à choisir ce que tu préférais entre Naruto, Son Goku et Luffy, les parents se sont permis un conseil, visiblement peu enclins à te donner l’un de ces noms, sans que tu ne comprennes pourquoi. Et après avoir trouvé un autre dessin animé qu’ils appréciaient, tu a finalement été renommé Ame.
Quant à tes pensées... Elles ont évidement défilé sur ces soi-disant "supers". Souvent, tu as pris un crayon en pensant à eux. Tu as beaucoup dessiné les deux héros les plus connus. Par amour ? Pas forcément. Concernant les méchants, ton avis était tranché. Évidemment. Pouvait-il en être autrement ? Le Roi-Dio était un super-vilain et, par sa faute, tu avais perdu ta mémoire. Bien sûr, sans ce malheur, tu n'aurais peut-être pas gardé le contact avec la famille mais... Tu n'aimais pas ces vilains. Du moins, pas le Papillon. Après tout, les autres avaient eu un moment de faiblesse. C'était humain. Ils n'auraient pas dû répondre positivement à Papillon mais... Tu arrivais à comprendre, finalement. Quant aux héros... Bien sûr qu'il les fallait bien pour se battre contre les méchants. Si trouver Papillon était si facile, ce serait déjà fait. Et dans ce genre de guerre, l'armée aurait causé plus de mal que les héros. Surtout avec une Coccinelle qui, on ne sait comment, répare les dégâts. Dommage seulement qu'elle ne soigne pas les gens. Quoiqu'il en soit, si ton avis était tranché pour le cas de Papillon... Et même si tu ne doutais pas de l'utilité des héros... Cette recrudescence de nombre de supers t'inquiète. Comment se fait-il qu'il y en ait autant ?
Et puis la vie a continué. Mais malgré toutes les tentatives pour t’aider à retrouver la mémoire ou ta famille, toi et ceux qui partageaient ta vie n’arrivèrent à rien. Ta mémoire revenait partiellement, quand elle le désirait. Tu savais que tu avais un frère ou une sœur — peut-être les deux, mais tu ne savais pas — qui t’attendait quelque part, que tu l’avais aimé de tout ton cœur, mais… C’était tout. Tu t’étais souvenu de bribes de ton histoire, qui ne te permirent pas de t’aider. Et sans le savoir, tu habitais à l’autre bout de Paris, et même pas dans la ville même.
Tu alternes les petits boulots, en attendant, pour ne pas vivre totalement aux dépens de ceux qui t’aident. Tu participes aux tâches ménagères et ils semblent beaucoup t’apprécier, mais… eux comme toi souhaitent savoir d’où tu viens et qui tu es. Et à l’aide d’internet, ils ont eux-mêmes trouvé ce que le médecin ne t’avait pas dit, concernant le psychothérapeute. Et après avoir recherché, tu as rencontré l’une d’entre eux. Et si pour le moment les progrès ne sont pas flagrants, tu sais que ça ne saurait tarder. Ou du moins, tu l’espères. Après tout, une grande partie de tes salaires vont dans ses poches.
Mais toi… Tu restes là, planté devant ta peinture, sans te souvenir de quoi que ce soit de ta vie d’avant. Ce tableau n’a servi à rien, du moins pour le moment. Tu souffles, avant de décider d’aller manger une gaufre. Celles de la mère de famille sont absolument divines. Ce qui est dommage, c’est que tu ne te souviens même pas du goût des takoyakis que tu aimais tant. Surtout ceux de ton papa.
Sans doute que, pour comprendre, il faudrait remonter dans le temps. Un voyage de vingt-six années, jusqu’en 1996. Tu es un enfant qui n’était pas à plaindre. Issu d’une famille aisée, tes parents ont toujours eu suffisamment d’argent pour te permettre de vivre correctement. Tu es né à Grenoble, d’un père japonais et d’une mère française, qui t’ont toujours aimé. Pendant sept années, tu as grandi en étant le petit trésor de ses parents. Tu ne manquais de rien. Tu étais déjà un enfant sage et adorable, et tous t’aimaient beaucoup. Ton petit minois, ta gentillesse et ton amour débordant rendaient tes parents fiers.
Et puis, à sept ans, ton univers a changé. Il n’y avait plus juste toi et tes parents. Il y avait aussi lui. Et si certains se sont demandé si tu allais réagir jalousement, tes parents avaient confiance en toi. Dès l’annonce d’un petit frère, tes yeux ont brillé de joie. C’était sûr ! Tu voulais devenir le héros de ce bambin, son grand frère préféré, et toujours le garder avec toi. Peut-être lui apprendre des bêtises, aussi, comme un grand frère digne de ce nom, mais… ça, tu le gardais secret.
Lorsque ton petit frère est né, tu n’as pas changé d’avis. Aussitôt après l’avoir rencontré, sans même juger sa chevelure blanche — après tout, ta maman avait les mêmes —, tu le voulais dans tes bras, lui montrer tes jouets. Il a fallu calmer tes ardeurs, t’expliquant que ton petit frère n’était pas encore assez âgé pour cela. Alors tu t’es contenté de lui promettre de lui présenter toutes tes peluches, une fois assez grand. Tes parents étaient heureux.
Puis, évidemment, le temps a continué à passer. Vous avez déménagé à Paris, et même si tu étais triste de quitter tes amis, tu n’en as pas fait tout un foin. Après tout, tu voulais aller où ta famille allait, pas là où tes copains étaient. Toi et ton petit frère, vous grandissiez à vue d’œil. Tu voulais toujours jouer avec lui, tu voulais tout lui dire et être son professeur de tout. Et puis, lui faire des blagues, le taquiner et l’embêter. Comme un grand frère, finalement.
Tu as développé ton amour pour le dessin grâce à ton petit frère. Bien sûr, à cet âge-là, au début il y avait beaucoup de ratés, et les dessins étaient… Enfantins. Mais tu voulais que ton petit frère puisse voir de belles choses, lorsqu’il serait assez grand. Déjà à l’époque, il semblait emballé par les traits colorés de tes feuilles de papier. Tu as vite fait des progrès, vite adoré cela, et jamais tu ne t’es arrêté.
Mais, lorsque le petit est entré à l’école et qu’il a commencé à être embêté pour ses cheveux… Bien sûr que tu as vu rouge. Tu étais en colère contre ces gamins. Même si toi et ton frère n’étiez pas dans la même école, tu allais l’attendre devant le grillage, prêt à le défendre et à frapper le premier petit con qui osait s’en prendre à lui. Et vu la différence de taille et d’âge entre ces gamins et toi, ils n’osaient pas souvent. Bien sûr, tu savais qu’il y avait des limites à ne pas dépasser. Mais eux ne les voyaient pas, ces limites.
Parallèlement, tu as continué à dessiner. Parfois pour te calmer après avoir manqué de faire avaler leurs dents à ces mioches, parfois pour le plaisir. Et cela s’est vu comme une évidence… Tu voulais faire ta vie dans l’art. Tu savais que ça n’allait pas être facile, mais tu étais confiant. Que ce soit avec des crayons, des feutres, un pinceau ou un stylet, tu te débrouillais bien, très bien.
Alors que ton petit frère était au collège, et que tu avais passé la vingtaine, tes parents ont décidé quelque chose d’autre. Ils voulaient une petite fille. Tu ne leur as jamais donné tort. L’idée d’avoir une petite sœur te plaisait. Et qu’elle soit adoptée ou de sang, cela t’importait peu, puisqu’elle ferait partie de votre famille. Mais lorsque tu as appris qu’elle aussi avait les cheveux blancs… Il faut avouer que tu t’es senti un peu angoissé. Elle aussi aurait à subir les moqueries et les jugements des autres. Elle aussi, il faudrait l’attendre devant le collège et menacer tous les gamins avec un regard froid. Et puis… Tu t’es rendu compte qu’elle le vivait peut-être déjà, cet enfer.
Et vous avez fini par rencontrer cette petite bouille. Petite bouille qui a tenté de fuguer le premier jour, pour se faire attraper par des policiers, puis récupérer par vous. Et même si vous avez tous été extrêmement inquiets, vous ne pouviez pas lui en vouloir. Déjà, vous saviez, puisqu’on vous avait prévenus, et ensuite… Elle débarquait dans un nouveau monde. Vous le saviez, qu’il faudrait un temps pour apprendre à vivre tous ensemble.
Et vous n’avez pas abandonné. Finalement, la petite s’est habituée à vous et vous vous êtes habitués à elle. Des années plus tard, tout allait bien pour vous. Si tu n’avais pas pris ton indépendance, tu travaillais farouchement pour défendre ton métier d’artiste freelance. Et même si tu avais le soutient de tes parents et que tu avais toujours su qu’il te faudrait du temps, tu avais aussi des clients, ce qui te convenait bien. Tu allais toujours aider ton frère, tu avais ajouté ta petite sœur sur la liste des personnes à protéger des abrutis d’enfants. Mais vous étiez heureux, malgré tout.
Et puis… Ce fut à leur tour d’arriver. Papillon et ses méchants. Laadybug, Chat Noir, et les autres héros. Tous ces Super. Ils ne te faisaient pas perdre confiance. Tu savais que tu n’hésiterais jamais à défendre ton frère et ta sœur contre eux. Et puis… Les dégâts n’étaient pas encore trop grands, puisque Ladybug réparait les erreurs de son comparse à fourrure et de leurs adversaires.
Mais Roi-Dio est arrivé. Que faisais-tu au Louvre ce jour-là ? Tes proches ont sûrement dû s’en vouloir de t’avoir laissé aller voir les œuvres d’art. Tu ne cherchais qu’une inspiration, un déclic. Tu errais dans les allées lorsqu’il est apparu, cet animateur radio. Tu avais un œil sur une petite fille, d’environ dix ans, qui traînait seule, distançant toujours ses parents et ses frères, plus loin derrière vous. Inconsciemment, tu la suivais discrètement, un peu comme si tu voulais veiller sur elle. Sans doute une habitude prise, à trop vouloir protéger ton frère et ta sœur. Lorsque les vitres ont explosé, lorsque le Roi-Dio a commencé son bordel, tu étais toujours dans le Louvre.
Tu ne sais pas exactement ce qu’il s’est passé ce jour-là. Mais les parents de la gamine ont tenté de la rejoindre, et vous ont découverts, inconscients. Tu la tenais dans tes bras, il y avait des morceaux de verre partout, des œuvres tombées. Alors qu’ils vous emmenaient en sécurité, tu t’es réveillé. Et très vite, ils ont dû se rendre compte d’un léger souci… Tu ne savais même plus ton nom. Sans doute que tu avais pris quelque chose sur la tête.
Lorsque tu es allé voir l’hôpital pour être certain que ta vie ne soit pas en danger et pour comprendre ce qu’il s’était passé, tu es tombé sur un médecin qui, visiblement, avait passé une sale journée. Sans même te conseiller d’aller faire de la psychothérapie, après avoir constaté que tu avais seulement reçu un sale coup sur la tête, il t’a répondu d’attendre et t’a dit que ta mémoire finirait par revenir d’elle-même. Il t’a fait sortir, avant de faire entrer un autre patient.
Tu es resté avec la famille suite à cela, elle qui avait accepté de t’aider, après que tu as sauvé leur petite fille. Elle n’avait pas perdu la mémoire, contrairement à toi, et se rappelait bien de ce qu’il s’était passé. Mais comme tu n’avais pas de nom et qu’aucune de tes affaires n’avait été retrouvée, il fallait bien trouver une manière de t’appeler. Tu as tenu à ce que les enfants choisissent un prénom adapté, mais… Au vu de ton apparence asiatique, les esprits aiguisés des trois bambins eurent plusieurs choix. Et alors que tu te trouvais à choisir ce que tu préférais entre Naruto, Son Goku et Luffy, les parents se sont permis un conseil, visiblement peu enclins à te donner l’un de ces noms, sans que tu ne comprennes pourquoi. Et après avoir trouvé un autre dessin animé qu’ils appréciaient, tu a finalement été renommé Ame.
Quant à tes pensées... Elles ont évidement défilé sur ces soi-disant "supers". Souvent, tu as pris un crayon en pensant à eux. Tu as beaucoup dessiné les deux héros les plus connus. Par amour ? Pas forcément. Concernant les méchants, ton avis était tranché. Évidemment. Pouvait-il en être autrement ? Le Roi-Dio était un super-vilain et, par sa faute, tu avais perdu ta mémoire. Bien sûr, sans ce malheur, tu n'aurais peut-être pas gardé le contact avec la famille mais... Tu n'aimais pas ces vilains. Du moins, pas le Papillon. Après tout, les autres avaient eu un moment de faiblesse. C'était humain. Ils n'auraient pas dû répondre positivement à Papillon mais... Tu arrivais à comprendre, finalement. Quant aux héros... Bien sûr qu'il les fallait bien pour se battre contre les méchants. Si trouver Papillon était si facile, ce serait déjà fait. Et dans ce genre de guerre, l'armée aurait causé plus de mal que les héros. Surtout avec une Coccinelle qui, on ne sait comment, répare les dégâts. Dommage seulement qu'elle ne soigne pas les gens. Quoiqu'il en soit, si ton avis était tranché pour le cas de Papillon... Et même si tu ne doutais pas de l'utilité des héros... Cette recrudescence de nombre de supers t'inquiète. Comment se fait-il qu'il y en ait autant ?
Et puis la vie a continué. Mais malgré toutes les tentatives pour t’aider à retrouver la mémoire ou ta famille, toi et ceux qui partageaient ta vie n’arrivèrent à rien. Ta mémoire revenait partiellement, quand elle le désirait. Tu savais que tu avais un frère ou une sœur — peut-être les deux, mais tu ne savais pas — qui t’attendait quelque part, que tu l’avais aimé de tout ton cœur, mais… C’était tout. Tu t’étais souvenu de bribes de ton histoire, qui ne te permirent pas de t’aider. Et sans le savoir, tu habitais à l’autre bout de Paris, et même pas dans la ville même.
Tu alternes les petits boulots, en attendant, pour ne pas vivre totalement aux dépens de ceux qui t’aident. Tu participes aux tâches ménagères et ils semblent beaucoup t’apprécier, mais… eux comme toi souhaitent savoir d’où tu viens et qui tu es. Et à l’aide d’internet, ils ont eux-mêmes trouvé ce que le médecin ne t’avait pas dit, concernant le psychothérapeute. Et après avoir recherché, tu as rencontré l’une d’entre eux. Et si pour le moment les progrès ne sont pas flagrants, tu sais que ça ne saurait tarder. Ou du moins, tu l’espères. Après tout, une grande partie de tes salaires vont dans ses poches.
Mais toi… Tu restes là, planté devant ta peinture, sans te souvenir de quoi que ce soit de ta vie d’avant. Ce tableau n’a servi à rien, du moins pour le moment. Tu souffles, avant de décider d’aller manger une gaufre. Celles de la mère de famille sont absolument divines. Ce qui est dommage, c’est que tu ne te souviens même pas du goût des takoyakis que tu aimais tant. Surtout ceux de ton papa.
Crédit by Alya Césaire
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Invité
Re: Comme si c'était facile - Yukio
Ven 6 Mai - 23:50
" Non, j'ai pas encore fini, il est tard et j'ai beaucoup papoté sur le Discord " Franchement, c'est abusé ces personnes qui déconcentrent les nouveaux dans la rédaction de leur fiche, pfeuh. (oui c'est moi Aki mais je me cache sous ce compte pour éviter qu'on m'accuse de déconcentrer les gens)
Bref, bienvenue de manière plus officielle ! Hâte de voir ton p'tit perso en action!
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Invité
Re: Comme si c'était facile - Yukio
Ven 6 Mai - 23:59
C'est complètement abusé, ils ont vraiment aucun respect pour les p'tits nouveaux, quand même. Regarde, à cause d'eux j'ai carrément pas commencé l'histoire ! A-bu-sé ! XD (J'ai rien vu, je dirai pas que tu m'as déconcentrée, t'inquiète )
Merci, en tout cas ! J'ai hâte de la jouer aussi :3
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Marius Wilkins
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Re: Comme si c'était facile - Yukio
Sam 7 Mai - 11:09
Bienvenue plus officiellement, la gameuse en herbe !
Bonne chance pour ta fiche, même si certains ou certaines t'empêchent d'avancer...
Bonne chance pour ta fiche, même si certains ou certaines t'empêchent d'avancer...
J'te cause en #006600 ~ Cthulhu envoie son encre en #99ffff ~ Hydra te défonce en #996600
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Invité
Re: Comme si c'était facile - Yukio
Sam 7 Mai - 12:12
La gameuse en herbe te répondrait un truc du genre « Quand tu veux, j’te montre si j’suis en herbe, newbie ! » Mais moi je me contente d’un merci plus officiel ! UwU
Et re-merci ! Oui, et faut surtout pas citer de noms ! XD
Et re-merci ! Oui, et faut surtout pas citer de noms ! XD
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Invité
Re: Comme si c'était facile - Yukio
Dim 8 Mai - 14:23
Bonjour et bienvenue à toi de manière officielle sur le forum !
Nous avons bien lu ta fiche et il n'y a qu'un petit obstacle à sa validation : L'avatar.
En effet, l'avatar que tu as choisi est relativement trop cartoonesque pour bien se fondre dans la masse des personnages du forum, ainsi donc nous te demandons soit de changer d'image de ton personnage qui puisse mieux coller au forum, soit changer d'avatar directement, ce qui pourrait s'avérer plus simple...
C'est la dernière étape, bon courage, la validation est proche ! Si tu as besoin, nous sommes disponibles !
Nous avons bien lu ta fiche et il n'y a qu'un petit obstacle à sa validation : L'avatar.
En effet, l'avatar que tu as choisi est relativement trop cartoonesque pour bien se fondre dans la masse des personnages du forum, ainsi donc nous te demandons soit de changer d'image de ton personnage qui puisse mieux coller au forum, soit changer d'avatar directement, ce qui pourrait s'avérer plus simple...
C'est la dernière étape, bon courage, la validation est proche ! Si tu as besoin, nous sommes disponibles !
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Invité
Re: Comme si c'était facile - Yukio
Jeu 12 Mai - 14:09
Merci à tous les deux !
Concernant l'avatar, je vais attendre quelques jours pour avoir quelque chose qui convienne au style du forum !
Edit : Du coup, comme dit sur le discord, je mets Sonea en attente, le temps d'avoir un bel avatar qui convient ! Je vais prendre un predef comme premier perso (je vous laisse deviner lequel )
Edit 2 : Et toujours sans double-post, je vous annonce que j'ai terminé ma fiche ! :3
Concernant l'avatar, je vais attendre quelques jours pour avoir quelque chose qui convienne au style du forum !
Edit : Du coup, comme dit sur le discord, je mets Sonea en attente, le temps d'avoir un bel avatar qui convient ! Je vais prendre un predef comme premier perso (je vous laisse deviner lequel )
Edit 2 : Et toujours sans double-post, je vous annonce que j'ai terminé ma fiche ! :3
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Invité
Re: Comme si c'était facile - Yukio
Jeu 12 Mai - 22:12
je reposte mais
MON FRERE MON FRERE MON FRERE VGFDHEZJSD?NCBV
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Invité
Re: Comme si c'était facile - Yukio
Jeu 12 Mai - 22:27
Je double post (honte à moi krkrk)
La fiche est nickel !
Néanmoins on aimerait un peu plus de détails sur le post-attaque de Roi-Dio si possible!
Que pense Yukio de tout ça ? A-t-il un avis précis ? Que penses-t-ils des vilains / héros (vu que c'est le pourquoi il a perdu la mémoire !)
Après ça ce sera bon ! (n'oublie pas de modifier ton profil pour rajouter les infos de Yukio!)
La fiche est nickel !
Néanmoins on aimerait un peu plus de détails sur le post-attaque de Roi-Dio si possible!
Que pense Yukio de tout ça ? A-t-il un avis précis ? Que penses-t-ils des vilains / héros (vu que c'est le pourquoi il a perdu la mémoire !)
Après ça ce sera bon ! (n'oublie pas de modifier ton profil pour rajouter les infos de Yukio!)
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