Théoxane de Salois
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Mes amis, mes amours, mes emmerdes [PV Ethan]
Mar 30 Avr - 21:26
Depuis cette attaque, tu n'étais plus la même. Tu t'étais considérablement renfermée sans donner d'explication à qui que ce soit ; la nuit, tu te réveillais en hurlant et paniquant à l'idée de trouver Papillon ou l'un de ses sbires dans ta chambre... prêt à te voler tes Miraculous. Le Grimoire ? Tu l'avais donné à Ezra afin qu'il puisse rester en sécurité. Tu craignais de voir Papillon ou le porteur de l'Araignée débarquer à tout moment pour mettre la main dessus et l'emporter. Tu avais peur pour toi mais surtout pour les autres... Si Papillon te faisait surveiller, il pourrait s'en prendre à tes relations. Aussi bien privées que ceux ayant des Miraculous.
Tu avais séché les cours à la fac des derniers temps... Tu prétextais aux personnes de ta promo que tu étais malade et que tu rattraperais les cours un jour, sans leur donner de date de retour. A vrai dire, tu ne savais même pas si tu allais continuer la fac... Tu ne savais même pas si tu allais rester dans cette maison ! Peut-être que tu ferais mieux de déménager ? Partir loin, dans un autre pays ? Changer d'idées ou... Tu n'avais pas d'idées. Tu ne savais pas quoi faire à part déprimer dans ton lit à chercher des solutions. Maître Fû n'était même pas au courant de ce qu'il s'était passé... Tu redoutais sa réaction car tu avais échoué. Paris avait peut-être été sauvé mais Papillon avait un avantage sur les Gardiens.
Un soir, alors que tu avais prévu de passer une énième soirée cloîtrée dans ta chambre, des amies de la faculté avaient débarqué chez toi pour constater que tout allait bien niveau santé et que, de surcroît, tu pouvais les accompagner à la petite fête prévue avec toute la promo ! Elles étaient montées dans ta chambre, avaient choisi ta tenue, t'avaient fait une belle coupe de cheveux et trainer jusqu'au lieu de la soirée. Tu t'étais posée dans un coin et n'avais parlé à personne. Tu t'étais contentée de boire pour oublier et étais restée sur ton téléphone à regarder les actualités sur les réseaux sociaux... Pourquoi faire ? Aucune idée.
Le lendemain, tu devais aller faire quelques courses... Tu étais peut-être dans un sale état mais tu n'avais pas pour autant décidé de faire une grève de la faim. Alors tu t'étais dirigée vers le Supermarché pour acheter des choses rapides à faire... Les nouilles instantanées étaient étrangement devenues tes meilleures amies. Alors que tu prenais le chemin pour rentrer chez toi, tu entendis une secousse, te faisant tomber au sol tant elle était violente... Tu ne mis pas beaucoup de temps à comprendre qu'il y avait un akumatisé dans le coin... Bébé Auguste avait été une nouvelle fois la victime de Papillon. Sauf que cette fois-ci, tu n'allais pas rester les bras croisés !
Prenant ton courage à deux mains, tu t'approchais de l'akumatisé faisant de grands gestes pour attirer son attention, lâchant des "Eh oh" pour qu'il te regarde ; Papillon devait certainement te voir et t'entendre... Peut-être avais-tu espoir que cela s'arrête ici ? Evidemment, vous n'étiez pas devenus les meilleurs amis du monde et peut-être même qu'il serait ravi d'écraser une ennemie, mais qui ne tente rien n'a rien, n'est-ce pas ?.
Tu avais séché les cours à la fac des derniers temps... Tu prétextais aux personnes de ta promo que tu étais malade et que tu rattraperais les cours un jour, sans leur donner de date de retour. A vrai dire, tu ne savais même pas si tu allais continuer la fac... Tu ne savais même pas si tu allais rester dans cette maison ! Peut-être que tu ferais mieux de déménager ? Partir loin, dans un autre pays ? Changer d'idées ou... Tu n'avais pas d'idées. Tu ne savais pas quoi faire à part déprimer dans ton lit à chercher des solutions. Maître Fû n'était même pas au courant de ce qu'il s'était passé... Tu redoutais sa réaction car tu avais échoué. Paris avait peut-être été sauvé mais Papillon avait un avantage sur les Gardiens.
Un soir, alors que tu avais prévu de passer une énième soirée cloîtrée dans ta chambre, des amies de la faculté avaient débarqué chez toi pour constater que tout allait bien niveau santé et que, de surcroît, tu pouvais les accompagner à la petite fête prévue avec toute la promo ! Elles étaient montées dans ta chambre, avaient choisi ta tenue, t'avaient fait une belle coupe de cheveux et trainer jusqu'au lieu de la soirée. Tu t'étais posée dans un coin et n'avais parlé à personne. Tu t'étais contentée de boire pour oublier et étais restée sur ton téléphone à regarder les actualités sur les réseaux sociaux... Pourquoi faire ? Aucune idée.
Le lendemain, tu devais aller faire quelques courses... Tu étais peut-être dans un sale état mais tu n'avais pas pour autant décidé de faire une grève de la faim. Alors tu t'étais dirigée vers le Supermarché pour acheter des choses rapides à faire... Les nouilles instantanées étaient étrangement devenues tes meilleures amies. Alors que tu prenais le chemin pour rentrer chez toi, tu entendis une secousse, te faisant tomber au sol tant elle était violente... Tu ne mis pas beaucoup de temps à comprendre qu'il y avait un akumatisé dans le coin... Bébé Auguste avait été une nouvelle fois la victime de Papillon. Sauf que cette fois-ci, tu n'allais pas rester les bras croisés !
Prenant ton courage à deux mains, tu t'approchais de l'akumatisé faisant de grands gestes pour attirer son attention, lâchant des "Eh oh" pour qu'il te regarde ; Papillon devait certainement te voir et t'entendre... Peut-être avais-tu espoir que cela s'arrête ici ? Evidemment, vous n'étiez pas devenus les meilleurs amis du monde et peut-être même qu'il serait ravi d'écraser une ennemie, mais qui ne tente rien n'a rien, n'est-ce pas ?.
Alya Kami-sama
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Ethan Namikaze
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Re: Mes amis, mes amours, mes emmerdes [PV Ethan]
Lun 13 Mai - 19:34
Mes amis, mes amours, mes emmerdes
Feat Théo la suicidaire
C'était quoi le délire ? On déprime tous et on le dit pas à Ethan, c'est ça ? Car si c'est le cas, ce n'est pas drôle du tout !
C'est comme si après cette grosse attaque, tout tes proches était déprimé, entre Lucky et Théoxane, tu étais bien servi, et au mieux dieu que tu étais agacé.
S'il y a bien une chose que tu détestes, c'est être ignoré, cela te rappelait ton enfance où tu avais été aussi invisible avant d'être obligé d'être un énorme merdeux pour attirer l'attention, comme un bouffon, oui, on pouvait le dire.
Donc quand tu étais arrivé à cette soirée et que Théoxane avait ignoré ta présence comme si tu étais une mouche, ça t'avait fait très mal et ça t'avait profondément agacé.
Bon certes, elle avait ignoré tout le monde et avait passé son temps sur son téléphone, mais qu'importe, tu aurais aimé qu'elle te regarde, même si ce n'était qu'une seconde, et qu'elle sorte de cette bulle dont elle était enfermée.
Et quand tu l'as revue, elle faisait des grands signes à un akumatiser, et tu sentis rapidement ton agencement brisé pour devenir de la colère.
Elle était devenue folle ou suicidaire ? Ou c'étaient les deux ? Nan mais, car tu aurais aimé penser qu'elle n'était débile pour faire ça à un akuma qui pourrait probablement l'envoyer six pieds sous terre.
Heureusement que tu n'étais pas seul, tu as pu la prendre pour l'emmener ailleurs pendant que les autres héros s'occupaient du môme akumatiser, de toute façon, tu aurais été trop agacé pour t'en occuper.
La délicatesse, ce n'était certainement pas ton fort, mais d'habitude, tu aurais quand même pris soin de ne pas la porter n'importe comment, après tout, c'était Théo, tu n'avais pas envie de la secouer comme un sac.
Cependant, tu étais énervé contre elle, de ce fait, elle finit sur ton épaule sans ménagement alors que tu l'entraînais loin de la bataille, la déposant quand même avec assez de soin pour qu'elle ne se casse pas la gueule sur le sol.
"Alors..."
Elle ne devait probablement pas comprendre pourquoi quelqu'un qu'elle était censée ne pas connaître était si énervé contre elle, mais tu t'en moquais bien, tu voulais juste lui lâcher ce qui te pesait sur le cœur.
"Tu penses que c'est à quel instant tu as perdu la tête exactement ? En tournant dans le coin de la rue, ou tu es né comme ça ?"
C'était méchant, et vue qui tu avais en face, tu t'en voudrais sûrement plus tard, mais putain, c'était frustrant ! Tu avais l'impression que plein de choses tourbillonner dans sa petite tête, mais qu'elle refuser quiconque d'y avoir accès, et tu pouvais respecter cela, mais si c'était pour se comporter comme une conne, ce n'était pas la peine.
"Ce que tu viens de faire, c'était juste inconscient et stupide, tu allais juste te faire blessé inutilement, tu as pensé aux conséquences avant d'être idiote ?"
Nan, mais car tu en avais fait des choses débiles, tu en avais même fait plein, donc tu n'étais peut-être pas bien placé pour lui faire la morale, mais cela n'avait pas d'importance, tu voulais juste qu'elle ne se remette plus en danger.
"Ce n'est pas parce que Sina-Mrû peut soigner les blessés que tu peux te permettre de faire n'importe quoi, personnellement, je m'en fiche bien de si je connais la personne en face ou non, si tu avais été blessée devant moi sans que je ne puisse rien faire, je m'en serais voulue du plus profond de mon cœur."
Et pour le coup, c'était vrai, tu t'en voulais encore de ce qui c'était passé le jour où Miss négative avait fait son apparition, tu ne pardonnerais jamais de ne pas avoir réussi à protéger cette fille du pouvoir de cette garce, forçant sa mère à la gifler.
Et pourtant, tu ne les connaissais pas, alors tu ne pouvais même pas imaginer ce que tu ressentirais avec un proche, si tu étais impuissant à protéger Théoxane et que tu la perdais comme ta sœur, ton cœur serait détruit, bien plus qu'on ne le pense.
C'est comme si après cette grosse attaque, tout tes proches était déprimé, entre Lucky et Théoxane, tu étais bien servi, et au mieux dieu que tu étais agacé.
S'il y a bien une chose que tu détestes, c'est être ignoré, cela te rappelait ton enfance où tu avais été aussi invisible avant d'être obligé d'être un énorme merdeux pour attirer l'attention, comme un bouffon, oui, on pouvait le dire.
Donc quand tu étais arrivé à cette soirée et que Théoxane avait ignoré ta présence comme si tu étais une mouche, ça t'avait fait très mal et ça t'avait profondément agacé.
Bon certes, elle avait ignoré tout le monde et avait passé son temps sur son téléphone, mais qu'importe, tu aurais aimé qu'elle te regarde, même si ce n'était qu'une seconde, et qu'elle sorte de cette bulle dont elle était enfermée.
Et quand tu l'as revue, elle faisait des grands signes à un akumatiser, et tu sentis rapidement ton agencement brisé pour devenir de la colère.
Elle était devenue folle ou suicidaire ? Ou c'étaient les deux ? Nan mais, car tu aurais aimé penser qu'elle n'était débile pour faire ça à un akuma qui pourrait probablement l'envoyer six pieds sous terre.
Heureusement que tu n'étais pas seul, tu as pu la prendre pour l'emmener ailleurs pendant que les autres héros s'occupaient du môme akumatiser, de toute façon, tu aurais été trop agacé pour t'en occuper.
La délicatesse, ce n'était certainement pas ton fort, mais d'habitude, tu aurais quand même pris soin de ne pas la porter n'importe comment, après tout, c'était Théo, tu n'avais pas envie de la secouer comme un sac.
Cependant, tu étais énervé contre elle, de ce fait, elle finit sur ton épaule sans ménagement alors que tu l'entraînais loin de la bataille, la déposant quand même avec assez de soin pour qu'elle ne se casse pas la gueule sur le sol.
"Alors..."
Elle ne devait probablement pas comprendre pourquoi quelqu'un qu'elle était censée ne pas connaître était si énervé contre elle, mais tu t'en moquais bien, tu voulais juste lui lâcher ce qui te pesait sur le cœur.
"Tu penses que c'est à quel instant tu as perdu la tête exactement ? En tournant dans le coin de la rue, ou tu es né comme ça ?"
C'était méchant, et vue qui tu avais en face, tu t'en voudrais sûrement plus tard, mais putain, c'était frustrant ! Tu avais l'impression que plein de choses tourbillonner dans sa petite tête, mais qu'elle refuser quiconque d'y avoir accès, et tu pouvais respecter cela, mais si c'était pour se comporter comme une conne, ce n'était pas la peine.
"Ce que tu viens de faire, c'était juste inconscient et stupide, tu allais juste te faire blessé inutilement, tu as pensé aux conséquences avant d'être idiote ?"
Nan, mais car tu en avais fait des choses débiles, tu en avais même fait plein, donc tu n'étais peut-être pas bien placé pour lui faire la morale, mais cela n'avait pas d'importance, tu voulais juste qu'elle ne se remette plus en danger.
"Ce n'est pas parce que Sina-Mrû peut soigner les blessés que tu peux te permettre de faire n'importe quoi, personnellement, je m'en fiche bien de si je connais la personne en face ou non, si tu avais été blessée devant moi sans que je ne puisse rien faire, je m'en serais voulue du plus profond de mon cœur."
Et pour le coup, c'était vrai, tu t'en voulais encore de ce qui c'était passé le jour où Miss négative avait fait son apparition, tu ne pardonnerais jamais de ne pas avoir réussi à protéger cette fille du pouvoir de cette garce, forçant sa mère à la gifler.
Et pourtant, tu ne les connaissais pas, alors tu ne pouvais même pas imaginer ce que tu ressentirais avec un proche, si tu étais impuissant à protéger Théoxane et que tu la perdais comme ta sœur, ton cœur serait détruit, bien plus qu'on ne le pense.
Ethan pense en : #99cccc-Luppo parle en :#00ffff-Nova parle en : #00ccff
Ethan parle en : #66ffcc-Ethan s'énerve en : #00cc99
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Théoxane de Salois
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Re: Mes amis, mes amours, mes emmerdes [PV Ethan]
Mer 15 Mai - 16:45
Oui bon. Tu te rendais bien compte que ce n'était pas la meilleure des choses à faire mais tu étais désespérée... Peut-être qu'en te voyant, Papillon arrêterait son attaque ? Que tu étais bête... Voilà que tu avais échangé quelques mots avec lui et tu espérais être devenue sa meilleure amie. Il te semblait si humain. Tu sentais qu'il ne faisait pas ça uniquement pour faire souffrir les autres, il y avait forcément quelque chose derrière toutes ses attaques. Et là. Pourquoi agresser un bébé ?
Tu avais donc foncée tête baissée en plein milieu de la rue et faisais de grands gestes pour attirer l'attention de bébé Auguste ; il devait te voir pour se concentrer sur toi uniquement. Peut-être que tu arriverais à lui parler et le calmer ? Pourtant, plus il s'approchait de toi et moins il semblait vouloir s'arrêter... Au contraire, il leva le pied et semblait prêt à t'écraser. Mais tout à coup, tu t'étais retrouvée sur l'épaule d'un porteur qui t'avait sauvé sans ménagement ; tu étais secouée et tu lui demandais de te déposer par terre.
Désormais éloignée de la bataille, tu remarquais qu'il y avait d'autres porteurs présents pour s'occuper de bébé Auguste ; vous étiez assez éloignés et à l'abris des regards. Désormais au sol, tu prends le temps d'observer le porteur... que tu ne connaissais pas. Il semblait être porteur du Miraculous du loup mais tu avais beau cherché, tu n'étais pas certaine de l'avoir déjà rencontré... Pourtant, il semblait te connaître, vu comment il te regardait.
Eh !
Dis-tu sur un ton outré. Pourquoi te parlait-il de cette manière ?! Et puis, qui était-il pour te parler de la sorte ! Tu fis une moue boudeuse... Certes, ce n'était pas des plus prudents mais tu connaissais les akumatisés, Papillon, les Miraculous ! Le porteur en rajoutait une couche en évoquant le fait que ce que tu venais de faire était inconscient et stupide... Tu levais les yeux au ciel. Qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire de toute façon ? Le plus important, c'est que ce bébé ne soit plus akumatisé !
Tu relevais la tête vers lui... Vous vous connaissiez, c'était certain. Mais qui pouvait se trouver sous ce masque ? Tu baissais honteusement la tête, imaginant bien la peine ce que pouvait ressentir la personne... C'est vrai que c'est une terrible situation de ne pas pouvoir sauver une personne que l'on aime. Tu avais quelques noms en tête mais tu ne pouvais pas l'affirmer.
Qui... Qui es-tu ?
Tu ne savais pas si la personne allait accepter de révéler son identité... Tu savais bien que pour les porteurs, protéger leur identité était important... Parce que si Papillon venait à le découvrir, ils risqueraient d'être pris pour cible. Papillon. Finalement, tu te relevais, prise d'une crise d'angoisse à l'idée qu'il t'observe et qu'il obtienne des informations sur ce porteur.
Non... Non.. Je ne dois pas savoir. Ce serait trop dangereux. Il me surveille peut-être et pourrait savoir qui tu es...
Tu avais mal au cœur, mal à la tête, tu peinais à respirer correctement. Depuis les derniers événements, tu faisais de plus en plus de crises d'angoisse... L'akumatisation était quelque chose de si bizarre. Papillon te parlait dans ta tête. Il voyait ce que tu voyais. Peut-être qu'il était encore là d'une certaine manière ? Tu posais tes mains sur ta tête... Non, non. Tu devais partir d'ici. Tu tournais les talons au porteur et t'apprêtais à sortir de ce coin reculé, vous ne deviez pas être ensemble. C'était trop dangereux.
Tu avais donc foncée tête baissée en plein milieu de la rue et faisais de grands gestes pour attirer l'attention de bébé Auguste ; il devait te voir pour se concentrer sur toi uniquement. Peut-être que tu arriverais à lui parler et le calmer ? Pourtant, plus il s'approchait de toi et moins il semblait vouloir s'arrêter... Au contraire, il leva le pied et semblait prêt à t'écraser. Mais tout à coup, tu t'étais retrouvée sur l'épaule d'un porteur qui t'avait sauvé sans ménagement ; tu étais secouée et tu lui demandais de te déposer par terre.
Désormais éloignée de la bataille, tu remarquais qu'il y avait d'autres porteurs présents pour s'occuper de bébé Auguste ; vous étiez assez éloignés et à l'abris des regards. Désormais au sol, tu prends le temps d'observer le porteur... que tu ne connaissais pas. Il semblait être porteur du Miraculous du loup mais tu avais beau cherché, tu n'étais pas certaine de l'avoir déjà rencontré... Pourtant, il semblait te connaître, vu comment il te regardait.
Tu penses que c'est à quel instant tu as perdu la tête exactement ? En tournant dans le coin de la rue, ou tu es né comme ça ?
Eh !Dis-tu sur un ton outré. Pourquoi te parlait-il de cette manière ?! Et puis, qui était-il pour te parler de la sorte ! Tu fis une moue boudeuse... Certes, ce n'était pas des plus prudents mais tu connaissais les akumatisés, Papillon, les Miraculous ! Le porteur en rajoutait une couche en évoquant le fait que ce que tu venais de faire était inconscient et stupide... Tu levais les yeux au ciel. Qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire de toute façon ? Le plus important, c'est que ce bébé ne soit plus akumatisé !
Ce n'est pas parce que Sina-Mrû peut soigner les blessés que tu peux te permettre de faire n'importe quoi, personnellement, je m'en fiche bien de si je connais la personne en face ou non, si tu avais été blessée devant moi sans que je ne puisse rien faire, je m'en serais voulue du plus profond de mon cœur.
Tu relevais la tête vers lui... Vous vous connaissiez, c'était certain. Mais qui pouvait se trouver sous ce masque ? Tu baissais honteusement la tête, imaginant bien la peine ce que pouvait ressentir la personne... C'est vrai que c'est une terrible situation de ne pas pouvoir sauver une personne que l'on aime. Tu avais quelques noms en tête mais tu ne pouvais pas l'affirmer.
Qui... Qui es-tu ?Tu ne savais pas si la personne allait accepter de révéler son identité... Tu savais bien que pour les porteurs, protéger leur identité était important... Parce que si Papillon venait à le découvrir, ils risqueraient d'être pris pour cible. Papillon. Finalement, tu te relevais, prise d'une crise d'angoisse à l'idée qu'il t'observe et qu'il obtienne des informations sur ce porteur.
Non... Non.. Je ne dois pas savoir. Ce serait trop dangereux. Il me surveille peut-être et pourrait savoir qui tu es...Tu avais mal au cœur, mal à la tête, tu peinais à respirer correctement. Depuis les derniers événements, tu faisais de plus en plus de crises d'angoisse... L'akumatisation était quelque chose de si bizarre. Papillon te parlait dans ta tête. Il voyait ce que tu voyais. Peut-être qu'il était encore là d'une certaine manière ? Tu posais tes mains sur ta tête... Non, non. Tu devais partir d'ici. Tu tournais les talons au porteur et t'apprêtais à sortir de ce coin reculé, vous ne deviez pas être ensemble. C'était trop dangereux.
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